Extraits

Curran: Ca suffit, lança Curran

Kate: Je suis désolée, est-ce le moment où je tombe à genoux et tremble de peur, Ta Majesté Poilue? Quelle idiote, je n'ai pas reçu le mémo.

dialogue entre Kate et Curran

Curran: Pas pressée de résoudre la dispute?

Kate: Je préférerais manger de la terre. C'est entre Mark et les les vétérans, et ils se détestent mutuellement. Ils veulent juste s'envoyer des saloperies par dessus une table de conférence.

Curran: Tu pourrais toujours utiliser le plan B.

Kate: Tabasser tout le monde jusqu'à ce qu'ils la ferme et coopère?

Curran: Exactement.

Kate: Je pourrais toujours la faire à ta manière, à la place. Gronder jusqu'à ce que tout le monde se pisse dessus.

Curran: Connerie. Je suis parfaitement raisonnable et je ne gronde presque jamais. Je ne me rappelle même pas ce que ça fait de cogner deux têtes l'une contre l'autre.

Kate: Très progressif de ta part, Ta Majesté.

- On va juste rentrer et leur parler.

- Et ne pas tuer quelqu’un, ajouta-t-il.

- Ou quoique se soit.- Et ne pas casser des trucs.- Parce qu’on ne veut pas recevoir une énorme facture de la part du Peuple.

- Oui. Le visage de Curran était lugubre.

- Je ne leur donnerai pas un centime de l’argent de la Meute. J’acquiesçai.

- On sera gentils, on n’aura pas à payer pour un quelconque dommage, ensuite on s’en ira et on prendra une bonne douche.

- Pour effacer la puanteur. Je peux sentir les suceurs de sang d’ici.

- Je peux les ressentir d’ici.

- Non.

- Tu dis toujours ce mot, fit-il. C’est supposé vouloir dire quelque chose ?

- Ça veut dire que je ne veux pas que tu viennes avec moi.

Je n’avais aucune vie privée. J’étais la Compagne de la Meute. C’était le prix à payer pour être avec Curran, mais je n’avais pas à l’apprécier pour autant.

Sa Majesté but son thé.

- Pas pressée de résoudre la dispute ?

- Je préfèrerais manger de la terre. C’est entre Mark et les vétérans menés par les Quatre Cavaliers, et ils se détestent mutuellement. Ils ne sont pas intéressé par un consensus. Ils veulent juste s’envoyer des saloperies par-dessus une table de conférence.

Une lueur diabolique brilla dans ses yeux.

- Tu pourrais toujours utiliser le Plan B.

- Tabasser tout le monde jusqu’à ce qu’ils la ferme et coopèrent ?

- Exactement.

Cela me ferait me sentir bien mieux.

- Je pourrai toujours le faire à ta manière, à la place.

Curran haussa ses sourcils blonds.

- Gronder jusqu’à ce que tout le monde se pisse dessus.

Une ombre de satisfaction personnelle traversa son visage et disparut, remplacé par l’innocence.

- Conneries. Je suis parfaitement raisonnable et je ne gronde presque jamais. Je ne me rappelle même pas ce que ça fait de cogner deux têtes l’une contre l’autre.

Le Seigneur des Bêtes d’Atlanta, un monarque gentil et compréhensif.

-Je peux toujours conduire jusqu’à un Mac Do à la place.

- Oh, alors tu me jetterais un burger dans la bouche et tu espérerais me prendre sur le siège arrière ?

Il sourit.

- On peut le faire sur le siège avant à la place, si tu préfères. Ou sur le capot de la voiture.

- Je ne le ferai pas sur le capot de la voiture.

- C’est un défi ?

“Where is the bane of my existence ?"

"In the shower, freshening up."

Damn it all to hell. "Oh God, who did Ascanio screw now ?"

"No, no, he's covered in blood."

"Oh good." Wait a minute. "The kid is covered in blood and we're relieved. There is something wrong with us.”

“Don't worry, he's coming with me to investigate things."

"In the city ?" Jim asked.

"Yes."

"That's a great idea. You both should go. To the city."

Curran and I looked at each other.

"He's trying to get rid of us," I said.

"You think he's planning a coup ?" Curran wondered.

"I hope so." I turned to Jim. "Is there any chance you'd overthrow the tyrannical Beast Lord and his psychotic Consort ?"

"Yeah, I want a vacation," Curran said.

Jim leaned toward us and said in a lowered voice, "You couldn't pay me enough. This is your mess, you deal with it. I have enough on my plate."

He walked away.

"Too bad," Curran said.

"I don't know, I think we could convince him to seize the reins of power."

Curran shook his head. "Nahh. He's too smart for that.”

“Enough," Curran said. An unmistakable command saturated his voice. Jim clicked his mouth shut. I crossed my arms. "I'm sorry, is this the part where I fall to my knees and shiver in fear, Your Furriness ? Silly me, I didn't get the memo.”

– Tu sais quoi, je m’en fous, je vais toujours te botter le cul, mais je l’aime bien donc je ne te tuerai pas.

Les yeux de Curran virèrent au doré.

– Merci.

Dagfinn fit un geste des mains vers lui.

– Bon, allez. Fais ton truc de transformation.

– Pas besoin.

– Oh, il y a besoin, lui assura Dagfinn.

– Tu vas bavasser toute la journée ? Je suis homme plutôt occupé, lui répondit Curran.

– Très bien, j’ai pigé.

De la glace se condensa sur les cheveux de Dagfinn. Sa peau vira au noir. Il grandit, gagnant cinquante centimètres de plus, ses épaules s’élargissant.

– Amusez-toi bien, bébé, criai-je.