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Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-24T16:05:36+01:00

Tata Lucie était une garce !... « Une vieille garce, même ! » précisait mon père. Et il avait l'air de s'y connaître en « vieilles garces », car cela faisait trois bonnes heures qu'il dissertait sur le sujet tout en assassinant Tata Lucie... verbalement, bien sûr ! Remarquez, elle n'avait plus grand-chose à craindre vu que l'on se rendait à son enterrement. Pourtant, deux jours plus tôt, il avait accueilli l'annonce du décès de notre tante avec la gravité qui sied à pareil événement, mais aussi, et sur le coup, presque, presque... une certaine tristesse. D'ailleurs, pour preuve, son œil droit s'était humidifié ; ma mère avait bien remarqué ce détail... elle est si sensible.

Mon père avait absolument tenu à rendre un dernier hommage à Tata Lucie, argumentant qu'il ne l'avait pas revue depuis des années (c'était effectivement une bonne occasion de retrouvailles). Il était également désireux de s'occuper de la maison de notre tante jusqu'à ce que la succession soit établie. Louable intention.

Ma mère avait bien un peu tiqué en apprenant qu'il faudrait sacrifier une partie des vacances du mois de juillet, surtout pour se rendre au village de Moncaubet, dans les Pyrénées-Atlantiques, distant de huit cents kilomètres de Paris. Mais mon père, usant de certains arguments convaincants, murmurés à l'oreille maternelle — la pudeur, sans doute —, avait réussi à la décider... Je dirais même plus, à l'enthousiasmer.

Comme je m'étonnais à vive voix de nous voir ainsi faire un tel détour — nous avions initialement décidé de passer le mois à Hossegor, sur le littoral atlantique — pour assister aux obsèques de Tata Lucie que mon père, rappelais-je, avait toujours traitée de « vieille toquée » — entre autres termes —, ce dernier avait tapé des deux poings sur la table de la cuisine où nous achevions de souper en rugissant :

« Et le sentiment familial !... Qu'est-ce que tu en fais du sentiment familial ?... »

Je dois ajouter que, le lendemain matin, une lettre recommandée venant des Pyrénées et adressée à mon père par Me Gérard Lafarge, notaire à Lembeye, n'avait fait qu' encourager le « sentiment familial ».

Je ne saurais préciser le contenu de la lettre, mais il sembla combler de joie son destinataire ; celui-ci, fendu d'un large sourire, le regard rempli d'une gratitude et d'une tendresse subitement retrouvée, avait ordonné que l'on précipite le départ pour Moncaubet.

Je maugréais et traînais les pieds en préparant mes bagages, car je n'avais nulle envie de finir mes vacances dans ce village que j'imaginais comme un trou perdu en pleine cambrousse... Un trou où nous allions enterrer Tata Lucie. Réjouissante perspective ! En plus, moi, la défunte, je ne la connaissais même pas si ce n'est à travers le parfum de scandale qui semblait entourer sa vie.

Les adultes évitaient d'ailleurs soigneusement d'évoquer ce sujet devant les enfants lors des repas familiaux, mais j'avais néanmoins réussi à me faire une vague idée du personnage en saisissant quelques bribes de phrases la concernant :« Quelle honte pour la famille !... Comment a-t-elle pu en arriver là ?... Si cela venait à se savoir !... Chaque famille porte sa croix ! »

Telles étaient les réflexions habituelles que ma mère et mes tantes lâchaient avec force contrariété et mines désolées. Fort curieusement, il suffisait que leurs époux se mêlent à la conversation et celle-ci se terminait toujours en bruyantes démonstrations de rires grivois et de clins d'œil entendus.

Alors qu'un jour, profitant perfidement d'une fin de repas arrosée, je demandais, du haut de mes treize ans, quelque éclaircissement à mon oncle Émile, j' appris plusieurs faits surprenants de sa bouche.

Il m'informa que : « Maintenant j'étais un homme avec du poil sous le nez, sous les bras (et dans des endroits moins avouables de mon anatomie) et qu'en conséquence, cette pilosité envahissante m'autorisait à entrer dans le monde des adultes et à savoir que Tata Lucie... avait fait la vie ! Et, d'après lui, elle devait même être morte d'avoir TROP fait la vie ! »

J'avoue que, sur le moment, mon jeune esprit avait buté devant ces sibyllines déclarations ; comme j'invitais mon oncle à préciser sa pensée, il éclata de rire et répondit en me tapant sur le dos : « Si tu veux l'exacte vérité, mon garçon, notre chère tante, elle avait toujours eu le feu au cul et aucun besoin des pompiers pour l'éteindre ! Un feu qu'elle propageait chez toute la gent masculine du coin ! »

Malencontreusement, ma mère avait saisi la fin de sa phrase et, d'un avertissement impérieux de la tête adressé à Tonton Émile, avait interrompu notre discussion.

Je m'étais fait une idée assez précise du personnage, mais, voulant avoir quelques éclaircissements (curiosité malsaine de mon adolescence, bien entendu), je m'étais donc tourné vers mon frère, alors âgé de vingt ans et donc certainement plus au fait des aptitudes pyromanes de Tata Lucie.

À l'énoncé de ma question, Yves m'avait regardé d'un air navré en me traitant, je le cite, de « puceau » et d'« artichaut » !

Puis il avait lui aussi fini par éclater de rire. Humilié, j'avais décidé une fois pour toutes de ne plus m'intéresser à Tata Lucie : paix à son postérieur.

Un an plus tard, Me Lafarge convoquait mon père à son étude, le deux juillet, juste après l'enterrement de notre tante. Ah ! il fallait voir le paternel se répandre en soupirs attendris et reconnaissants ; ma mère elle-même admit que Tata Lucie, malgré une existence marginale, avait cependant gardé le sens de la famille.

« Le sentiment familial, c'est ce que je disais ! commenta mon père ; et dans la vie, il n'y a rien de plus important... Il est vrai que, de ses quatre neveux, j'ai toujours été son préféré ; ce sont des choses qu'on sent au plus profond de soi... Mais si j'avais pu deviner, s'attendrit-il... si j'avais pu deviner qu'un jour... »

Euphorique, il se jeta soudain sur ma mère, la prit par la taille et entama une valse grossière autour de la pièce en improvisant à tue-tête sur l'air de Plaisir d'amour :

« Tata Lulu... Comment aurais-je pu...

Savoir qu'un jour, tu m' ferais don de tes écus ? »

Mon frère et moi, emportés par l'enthousiasme débridé de notre père, reprenions en riant le refrain qui mettait du soleil dans nos cœurs :

« Tata Lulu... À nous tes beaux écus ! »

Et ma mère, virevoltant autour de la pièce, changeait de cavalier en s'esclaffant comme une gamine. Le visage de mon père — de tempérament déjà sanguin — avait viré à l'écarlate. Il applaudissait à tout rompre devant mes efforts incertains pour accompagner la valseuse.

Cette touchante scène de famille fut brutalement interrompue par la sonnerie du téléphone ; ma mère, encore secouée d'éclats de rire, décrocha le combiné posé sur le poste de télévision. Après une courte formule de politesse, elle tendit gaiement le combiné à mon père :

« Tiens, c'est pour toi, ton frère Gustave !... Il veut te parler. »

Il empoigna le combiné et s'écria :

« Dis donc, le philosophe, on t'a pas souvent au bout du fil ! Ça fait toujours plaisir d'avoir des nouvelles de la famille ! Alors, continua-t-il sans visiblement laisser à son interlocuteur la chance de placer une parole, toujours à la recherche de la Sagesse ? Sacré Glus ! Quand je pense qu'à l'école, t'étais le plus déluré d'entre nous ! Tout le temps en train de reluquer sous les jupes des filles !... Ah ! où va se nicher la recherche de la Sagesse, hein ?... »

Et il partit d'un rire gargantuesque. C'est qu'il avait son humour, mon père. Il était d'ailleurs souvent son meilleur public. Un humour qui ne brillait pas par sa finesse, certes, mais qui avait le don de le mettre en joie. Heureux homme.

Alors qu'il monopolisait toujours la conversation, ma mère papillonnait autour de lui en le pressant avec force gestes d'abréger ses plaisanteries : les bagages ne se feraient pas tout seuls.

Mais mon père se figea soudain en blêmissant et interrompit d'un regard impérieux le manège de son épouse.

« Quoi ?... Qu'est-ce que tu dis ? Tu peux ré... répéter ? » se mit-i1 à balbutier. Le sang refluait de son visage au fur et à mesure que ses propos perdaient de leur cohérence. « Quoi... que... co... pourq... oui, non, oui... C'est ça, au revoir... à bientôt... »

Livide, il reposa le combiné, considéra pensivement l'écran noir de la télé, puis se tourna lentement vers nous :

« Gustave vient de m'apprendre une terrible nouvelle !... Terrible ! »

Ma mère porta la main à sa bouche dans un geste d'angoisse, craignant sans doute qu'un nouveau décès ne vienne endeuiller la famille. Mon frère et moi nous étions rapprochés, déjà inquiets... quant à la suite de nos vacances.

« Gustave, Émile et Michel ont également reçu une convocation de Maître Lafarge, égrena-t-il d'une voix blanche.

— Oh ! mon Dieu, ce n'est pas vrai ? s'écria ma mère, partagée entre le désarroi et le soulagement. J'ai cru un instant que... mais, d'un autre côté, c'est terrible ! »

Ne saisissant pas le côté « tragique » de la situation, je hasardai une malencontreuse question :

« Qu'est-ce qui se passe ?... On part plus en vacances ?...

— En vacances, en vacances ! Qu'est-ce que tu nous emmerdes avec tes vacances ? vociféra mon père. Mais tu te rends pas compte, non ?...

— Il est trop jeune pour s'intéresser aux affaires d'argent », tenta de le raisonner ma mère.

Elle savait par expérience qu'il fallait éteindre le feu naissant de la colère de son mari avant qu'il ne devienne incendie dévastateur.

« C'est pas la peine de t'énerver et puis...

— Trop jeune ? Trop con, oui ! la coupa-t-il en continuant à rugir. Ah ! la salope ! Ah ! la vieille salope ! Me faire ça, à moi... moi qui l'ai accompagnée dans sa vieillesse ! (En pensée, peut-être, et de loin, sûrement.) Moi ! son neveu préféré, elle le disait toujours !... J'avais même pissé sur sa robe quand j'étais tout gamin et elle en rigolait, et elle en rigolait ! Vous savez ce qu'elle disait à mon sujet : "Regardez ce grand dadais, quand on pense que je l'ai tenu dans mes bras et qu'il m'a pissé dessus !" C'est pas une preuve d'affection, ça ? Hein ?... Et voilà tout le remerciement ! »

Sa voix montait crescendo au fur et à mesure que le feu revenait à ses joues. Il tournait maintenant autour de la table de la cuisine en jurant comme un fou :

« Ah ! la vieille garce !... Me désavantager par rapport à mes frères ! »

Nous l'observions de loin : moi plutôt méfiant, notre mère catastrophée et mon frère, franchement hilare.

« Allons, papa, intervint ce dernier, n'exagère pas... Elle t'a pas désavantagé puisque tu es convoqué au même titre qu'eux.

— Elle m'a pas avantagé ! hurla-t-il... C'est la même chose ! Dans cette maison, personne réfléchit, mais qu'est-ce qu'il va nous rester après le paiement des droits de succession, hein ? Rien !... que dalle ! Une baraque pourrie dans un bled pourri et le tout divisé par quatre ! Et quatre fois que dalle, ça fait pas grand-chose... surtout venant d'une sorcière dépravée !

Le « sentiment » familial devait se retourner dans sa tombe.

« Tata Lulu, se mit à chantonner Yves, je crois que tes beaux écus... nous les avons définitivement dans le... pom pom pom ! »

Il aurait mieux fait de se taire, car cette improvisation lui coûta les vacances sur la côte landaise. Alors que nous finissions de préparer les bagages, je lui expliquai en essayant de le consoler qu'avec les cambriolages qui se multipliaient, il valait mieux que quelqu'un reste pour garder la maison.

J'ai toujours su trouver les mots pour consoler les gens.

En cette matinée de juillet, Paris bâillait dans l'indifférence générale et s'apprêtait à s'endormir pendant deux longs mois. Deux longs mois pour ceux qui restaient dans la capitale, évidemment ; pas pour ceux qui partaient se détendre en s'entassant dans les campings et les plages à la mode.

Depuis notre départ, mon père ne décolérait pas ; d'abord nous avions dû attendre Tonton Émile, sa femme Nathalie et Caroline (leur infernale progéniture) plus d'une heure à l'entrée de l'autoroute. Mon père n'avait pas voulu entendre les explications superflues qu'allait lui présenter son frère sur les embouteillages qui l'avaient retardé et, d'un geste impatient, l'avait invité à franchir le poste de péage.

« On aurait quand même pu leur dire bonjour, avait observé ma mère.

— Pourquoi, tu les vois pas assez souvent ? T'auras tout le temps pour ça quand nous serons arrivés ! »

Une fois le ticket en poche, mon père appuya sauvagement sur l'accélérateur, et la voiture bondit en avant.

Il eut un sourire de satisfaction en constatant qu'il avait cloué son frère sur place ; il faut dire que nous avions une Renault 25 turbo-diesel : le diesel pour l'économie et le turbo pour emmerder Tonton Émile qui ne possédait que la version diesel atmosphérique.

Et comme mon père avait pu, en tant que concessionnaire Renault, acquérir le turbo-diesel au prix du diesel simple, son plaisir était double.

Malheureusement pour lui, la satisfaction qu'il éprouva fut de courte durée, car, cent mètres plus loin, deux gendarmes jaillissaient d'une camionnette banalisée et nous ordonnaient de nous garer sur le côté.

« Pute borgne ! tonna mon père. (C'était là une gaillarde expression qu'il utilisait pour les grandes occasions) Manquait plus que ça ! Qu'est-ce qu'ils me veulent, ces cons ?... »

Il baissa la vitre de sa portière et présenta un visage avenant aux forces de l'ordre. Bonne volonté bien mal récompensée, car l'un des gendarmes, se penchant en avant, jeta d'un ton sec et impérieux :

« Carte grise, carte verte, permis de conduire et talon de vignette ! »

Alors que mon père présentait humblement les papiers demandés, je vis Tonton Émile passer devant nous, hilare. Le turbo l'avait dans le dos !

L'autre gendarme tournait autour de notre voiture comme une mouche autour du cul d'une vache, espérant sans doute découvrir un pneu lisse ou tout autre défaut qui puisse être verbalisable. À chacun son plaisir.

Dépité – sans doute de n'avoir pu terminer son carnet de contravention –, il adressa de la tête un signe maussade à son collègue et rejoignit la camionnette. L'autre rendit les papiers à mon père en maugréant :

« Vous aviez l'air bien pressé tout à l'heure ?...

— C'est que nous nous rendons à un enterrement, Monsieur l'agent, tenta de plaider ma mère.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-06-19T15:13:01+02:00

- (...) Se laver à l'endroit où l'on fait la vaisselle ! Je ne vous raconte pas l'hygiène (...)

- C'est pourtant bien pratique (...) On se lave, ensuite on lave ses petites affaires et, si l'eau est pas trop sale, on peut s'occuper de la vaisselle. Ça fait des économies d'eau, pour sûr.

Un frémissement de dégoût parcourut le rang des femmes.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-06-19T15:12:24+02:00

J'ai souvent repensé à cette pauvre Maïté qui n'avait dû découvrir l’amour qu'à travers l'attention affectueuse de sa patronne, et le sexe, que par les caresses éphémères et volages d'une culotte trop serrée.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-06-19T15:11:42+02:00

[...] Moi, Lucie Castet, laisse à Mademoiselle Maïté Passy-Coucet la somme de quatre millions de nouveaux francs. (Nous n’étions pas encore passés aux “joies” de la conversion en euros.) Cela devrait lui permettre de trouver un organisme d’accueil haut de gamme : son argent, évidemment, devra être géré par un tuteur. Je lui demande simplement en souvenir de notre amitié de prendre soin de mon chat Joyeux. Je l’ai recueilli il y a bien longtemps alors qu’il venait d’être abandonné par des salauds et je ne voudrais pas que d’autres salauds l’abandonnent à nouveau à la SPA ou ailleurs. Il n’est pas bien intelligent, mais il ne mérite pas de finir avec une piqûre au cul.

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Extrait ajouté par mymy37 2017-06-19T15:11:19+02:00

Ah ! la salope ! Ah ! la vieille salope ! Me faire ça, à moi… moi qui l’ai accompagnée dans sa vieillesse ! (En pensée, peut-être, et de loin, sûrement.) Moi ! son neveu préféré, elle le disait toujours !… J’avais même pissé sur sa robe quand j’étais tout gamin et elle en rigolait, et elle en rigolait ! Vous savez ce qu’elle disait à mon sujet : “Regardez ce grand dadais, quand on pense que je l’ai tenu dans mes bras et qu’il m’a pissé dessus !” C’est pas une preuve d’affection, ça ? Hein ?… Et voilà tout le remerciement !

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Extrait ajouté par Amelimelo 2015-12-30T12:30:40+01:00

C'est loin comme quand j'ai envie d'aller au bistrot mais c'est près comme quand je dois aller à confesse ou au dentiste.

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