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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:46:05+01:00

Fidèle à sa parole, le révérend Coinneach Murray rendit visite aux parents de chacun des garçons et des filles qui étaient dans la maison cette nuit-là, et tout le monde le paya cher. Sauf moi. Ma tante était du genre plutôt excentrique et, dans une communauté craignant à ce point Dieu, il était tout à fait normal qu'elle soit une athée convaincue. Elle dit au révérend, en termes clairs, moins cependant que ceux de Donald, où il pouvait se mettre sa juste indignation. Il lui répondit qu'elle irait à coup sûr en enfer. "On s'y retrouvera, alors" répondit-elle en lui claquant la porte au nez.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:45:50+01:00

Nous allions être en retard. Je m'apprêtais à laisser tomber lorsque j'entendis un énorme fracas provenant du côté de la maison située à côté du tas de tourbe. Les poumons sifflants, Artair surgit de l'obscurité, tentant de se débarrasser d'un seau en plastique dans l'anse duquel il s'était pris le pied. Il courut à travers l'herbe et exécuta presque un saut périlleux par-dessus la clôture, propulsé dans les airs par un fil de fer qu'apparemment il n'avait pas vu.

Il s'écrasa à mes pieds, sur le dos, me souriant dans le clair de lune.

"Tout en finesse, remarquai-je. Mais qu'est-ce-que tu fichais ?

-Mon vieux est allé se coucher il y a seulement une demi-heure. Et il a les oreilles aussi sensibles qu'un putain de lapin.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:45:37+01:00

Le problème, lorsqu'on se venge par jalousie, c'est que même si on inflige de la douleur aux autres, cela n'atténue en rien celle que l'on ressent soi-même. Au bout du compte, tout le monde est malheureux.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:44:46+01:00

Le sentiment qu'ils avaient tous gâché leurs vies, qu'ils avaient d'une certaine manière laissé passer leurs chances par stupidité ou négligence, lui pesait sur les épaules.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:44:33+01:00

Le temps changeait constamment. La lumière et l'ombre se succédaient en permanence, l'une derrière l'autre, pluie, soleil, ciel d'orage, ciel bleu.

Et les arcs-en-ciel.
Mon enfance en est pleine. En général, par paire.

Nous en vîmes un ce jour-là, qui se formait rapidement au-dessus des tourbières. Ses couleurs éclataient contre le plus noir des ciels d'orage.

Une beauté qui vous laissait muet.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:44:21+01:00

Il n'y avait pas de mots pour décrire la tristesse qu'il éprouvait à voir son ami d'enfance aussi amer.

La vie passait en un éclair, comme un bus pendant une nuit pluvieuse à Ness.

Il fallait s'assurer d'être vu pour qu'il s'arrête et que vous puissiez y monter, sans quoi il partait sans vous, et vous vous retrouviez obligé de rentrer chez vous à pied, dans le vent et sous la pluie.

Il se disait qu'à sa manière, il était comme Artair, poursuivi par l'idée de ce qui aurait pu être, d'avoir raté ce bus.

Rendu amer par ses échecs. Le regarder lui renvoyait sa propre image, et il n'aimait pas ce qu'il y voyait.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:44:09+01:00

Bien que les yeux de Fin fussent clos, ils étaient grands ouverts pour la première fois en dix-huit ans. Cette sensation qu'il avait eue durant toute sa vie d'adulte, qu'il y avait quelque chose qu'il ne pouvait voir, quelque chose qui avait disparu au-delà de son champ de vision. Le choc était physiquement douloureux. La tension le raidissait. Comment pouvait-il avoir oublié ? Soudain, sa conscience était inondée de souvenirs, comme les scènes d'un cauchemar qui reviennent au réveil. Il sentait la bile monter en lui, tandis que les images défilaient sur sa rétine, comme un vieux film de famille.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:43:51+01:00

Le sentiment qu'ils avaient tous gâché leurs vies, qu'ils avaient d'une certaine manière laissé passer leurs chances par stupidité ou négligence, lui pesait sur les épaules. Et ce n'étaient pas les nuages noirs qui s'accumulaient au-dessus du Minch, ni le froid de l'Arctique porté par un vent de plus en plus puissant qui pouvaient lui remonter le moral

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:43:36+01:00

Le monde, Marsaili, c'est comme le temps. On ne le change pas. Et on ne le façonne pas. C'est lui qui nous façonne.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-21T23:43:19+01:00

Les gens nés dans les années cinquante décrivent parfois leur enfance en évoquant des tons bruns. Un monde sépia. J'ai grandi dans les années soixante et soixante-dix et mon enfance fut violette

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