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Extrait ajouté par josica16 2013-07-10T17:19:02+02:00

C'est quand la chose est faite que le naïf comprend.

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Extrait ajouté par elodiev_ 2019-09-03T20:28:57+02:00

Achille continuait de pleurer son ami Patrocle. Chaque jour à l'aube, après une nuit d'insomnie, il attelait ses chevaux à son char. Trois fois de suite, il traînait le corps d'Hector autour du tertre de Patrocle, puis le laissait étendu, le front dans la poussière.

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Extrait ajouté par Azza9 2016-12-18T12:49:55+01:00

« Il ne vit pas longtemps celui qui lutte contre les Immortels. » (cinquième rhapsôdie).

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Extrait ajouté par anonyme 2021-05-08T22:14:37+02:00

Mais quand sa grande voix jaillissait du fond de son torse, flopée de mots semblable aux flocons de la neige hivernale, nul mortel alors n'aurait pu lutter contre Ulysse, et nous n'admirions plus seulement la carrure de l'homme.

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Extrait ajouté par BMT33 2019-09-26T21:43:54+02:00

Chant I : Agamemnon, le chef des Achéens, retient prisonnière la fille d’un prêtre troyen d’Apollon et le dieu a envoyé la peste sur l’armée. Le devin Calchas révèle la cause du mal et Achille adjure de rendre la prisonnière. Agamemnon finit par y consentir, mais prend en dédommagement Briséis, la captive d’Achille. Furieux, celui-ci se retire sous sa tente et invoque sa mère, la déesse Thétis. Celle-ci obtient de Zeus la promesse d’une victoire troyenne.

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Extrait ajouté par NathAries 2019-03-06T19:03:16+01:00

Il dit, et il songeait contre le divin Hector à d'indignes forfaits. Il lui perça par-derrière, de la cheville au talon, les deux tendons des pieds ; il y noua des lanières de cuir qu'il attacha au char, laissant traîner la tête du cadavre. Puis, montant sur son char, après avoir chargé les armes glorieuses, il fouetta et lança ses chevaux, et ceux-ci de bon cœur s'envolèrent. Un nuage de poussière se soulevait de ce corps entraîné ; ses cheveux d'un bleu noir s'allongeaient sur la terre, et sa tête entière, naguère pleine de grâce, gisait dans la poussière. Zeus accordait alors aux ennemis d'Hector de l'outrager sur le sol de sa propre patrie. (traduction de Mario Meunier, édition Livre de Poche)

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Extrait ajouté par Nochu 2017-04-17T20:36:00+02:00

Chacun est exposé à perdre un être cher, plus proche qu'un ami, un frère sorti du même sein, un fils : la part une fois faite aux pleurs et aux sanglots, il s'en tient là ; les Parques ont fait aux hommes un cœur apte à pâtir. Mais, à celui-là, il ne suffit pas d'avoir pris la vie du divin Hector ; il l'attache à son char, il le traîne tout autour du tombeau de son ami. Ce n'est là ni un beau ni un bon parti.

Chant XXIV, discours d'Apollon.

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Extrait ajouté par josica16 2013-07-10T17:20:10+02:00

A ces mots, il mit son fils dans les bras de sa femme. Elle le reçut sur son sein parfumé, et son rire se remplit de larmes... Son mari l'aperçut et fut pris de pitié. Il la caressa de la main et lui dit en détachant les mots :

"Que ton coeur, ma divine, ne s'afflige pas sur moi à l'excès. Aucun homme ne me précipitera chez Hadès, outrepassant le terme assigné. Il n'est pas d'homme, je pense, le bon autant que le mauvais, qui ait échappé à son destin, dès l'instant qu'il est né.

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Extrait ajouté par josica16 2013-07-10T17:18:21+02:00

L'Aurore sortait de son lit. ... Zeus envoya aux nefs rapides des Achéens la terrible déesse des combats tenant dans sa main le signe de la guerre. Elle s'arrêta près de l'énorme nef noire d'Ulysse, qui se trouvait au centre, pour que l'on fût entendu dans les deux directions : jusqu'aux pavillons d'Ajax, fils de Télamon, ou jusqu'à ceux d'Achille. Ils avaient tiré leurs nefs bien balancées aux extrémités, se fiant à leur courage et à la maîtrise de leurs bras. La déesse s'étant arrêtée là, poussa un grand cri, terrifiant, droit dressé...

Tels des moissonneurs, quand, se faisant face, ils mènent les andains, à travers le champ de froment ou d'orge; d'un homme opulent, et que tombent, serrées, les poignées d'épis,.... Comme des loups, ils s'élançaient avec fureur, et le dieu des combats, cause de gémissements sans nombre, mettait sa joie à les contempler...

Un lion n'a pas de peine à mettre d'un coup en pièces les tout jeunes petits d'une biche rapide que, de ses dents puissantes, il a saisis, étant entré dans leur gîte,et à qui il a enlevé leur tendre coeur. La biche peut bien se trouver toute proche, elle ne peut leur être un secours. Car un tremblement terrible en elle s'insinue. Vite elle s'élance à travers les bois, à travers l'épaisse forêt.

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Extrait ajouté par josica16 2013-07-10T17:17:25+02:00

De même, lorsque les deux vents Boréas et Zéphyros, soufflant de la Mrèkè, bouleversent la haute mer poissonneuse, et que l'onde noire se gonfle et se déroule en masses d'écume, ainsi, dans leurs poitrines, se déchirait le coeur des Akhaiens. Et l'Atréide, frappé d'une grande douleur, ordonna aux hérauts à la voix sonore d'appeler, chacun par son nom, et sans claineurs, les hommes à l'agora. Et lui-même appela les plus proches. Et tous vinrent s'asseoir dans l'agora, pleins de tristesse. Et Agamemnôn se leva, versant des larmes, comme une source abondante qui tombe largement d'une roche élevée.

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