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Un livre sans temps mort, avec des descriptions authentiques : de l’époque évoquée, des turpitudes des uns et des autres, de l’âme humaine en temps de guerre, de l’histoire de la seconde guerre mondiale à Paris. Bref, un roman époustouflant dans la veine des précédents et dans l’attente du suivant ! Instructif, donnant matière à réflexion et malgré tout passionnant.

Roman policier. L'histoire se passe pendant la seconde guerre mondiale à Paris. Le personnage principal est Léon Sadorski. L'auteur nous parle de ce qui s'est passé pendant l'occupation allemande à Paris à travers les aventures de cet inspecteur de Police.

Une lecture dans laquelle j’ai mis un peu de temps à rentrer mais qui m’a beaucoup plu au bout du compte. Notre cher inspecteur Sadorski est toujours aussi dénué de scrupule et répugnant par ses actes et ses pensées, et pour une fois, il est puni un peu plus sévèrement que d’habitude...

Les tout derniers chapitres décrivant la libération de Paris sont particulièrement intenses et émouvants, et bien chargés en rebondissements et suspense jusqu’à la toute dernière ligne. Il me tarde de lire la conclusion de cette trilogie.

Spoiler(cliquez pour révéler)Il a fallu que j’arrive environ aux 2 tiers de ma lecture pour arriver à pleinement me plonger dedans. Non pas que le récit m’ennuyait jusque là mais l’action n’était sans doute pas assez intense pour que je l’apprécie autant que l’intrigue relatée dans le précédent tome, dans lequel j’avais adoré les scènes de violence totalement décomplexée. Cette ambiance ultra-virulente de chaos perpétuel ne se retrouve à mes yeux qu’à partir de l’arrestation de Sadorski par la Gestapo et plus particulièrement à partir de sa rencontre avec l’impitoyable Friedrich Berger, qui a vraiment existé en tant que chef gestapiste au 180 rue de la Pompe à Paris. J’ai particulièrement aimé la dimension luciférienne que l’auteur lui confère à lui ainsi qu’à ses sbires qui sont décrits comme de véritables démons surgis des enfers.