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La chambre était une véritable porcherie. Des sacs de courses s'amoncelaient sur le lit le plus proche de la porte ; des vêtements et d'autres articles en sortaient. Des étiquettes jonchaient le sol.

Niniane était étendue sur le dos, sur l'autre lit qui était défait. Elle avait poussé les oreillers, qui étaient tombés par terre. Elle était vêtue d'une espèce de treillis bon marché, digne d'un mauvais porno: un shorty scandaleusement court et un minuscule tee-shirt moulant qui ne descendait même pas jusqu'à sa taille mince. Sa tête pendait au bout du lit et elle tenait une bouteille de vodka dans une de ses petites mains. Bouteille qui n'était plus très remplie. Niniane serrait une télécommande dans l'autre main. Une cigarette finissait de se consumer dans un cendrier à moitié plein et un sac de chips

éventré était posé à côté d'elle sur le lit.

Son corps menu, mais voluptueux, était exposé comme une offrande à un dieu païen. Étant donné qu'il en avait été un, il savait de quoi il parlait, et il appréciait le spectacle. Sa tête pendant au-dessus du sol accentuait la courbe avantageuse de ses seins pleins et ronds. Un anneau d'or brillait à son nombril, suppliant d'être léché. Ses hanches gracieuses et l'arc de son bassin étaient soulignés par un short que le Congrès aurait dû déclarer hors-la-loi. Des jambes fines aux cuisses fuselées, des petits pieds aux orteils recouverts d'un vernis rose provocant et il sentit son sexe se gonfler en hommage à chacune des parties délicieuses du corps de la fée.

Son regard s'assombrit, déstabilisé par sa réaction intense et inopportune. Sous la puanteur de la cigarette, il sentait un parfum féminin et... est-ce que c'était une odeur de sang ?

- Oh, tu n'aurais pas dû faire ça, s'exclama doucement Niniane. (De grands yeux essayaient de se focaliser sur lui, depuis leur position renversée.) Entrer par effraction, c'est contraire à la loi.

Elle pouffa.

Tiago chassa ses pensées grivoises de sa tête et bascula sur le ton bien plus familier de la remontrance :

- Qu'est-ce que tu fabriques? demanda-t-il. Qu'est-ce que tu veux dire par « rentre à New York »? Est-ce que c'est du sang que je flaire?

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-Je t'aime.

Elle l'entendit l'écho dans la chambre et sut qu'elle avait prononcé les mots à voix haute.

Il se pencha au-dessus de son visage et prit sa bouche tout en allant et venant en elle.

C'est donc ce qu'on appelle l'amour, haleta-t-il.

(la petite mort.)

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-A moi, gronda-t-il.

-A toi, répéta-elle.

Il la couvrait et l'enveloppait.Il se mit à aller et venir en elle avec frénésie. Elle jeta les mains en avant pour se stabiliser.

-Mienne, lui glissa-t-il à l'oreille.

-Oui gémit-elle.

Il l'attrapa par le menton et la tourna pour qu'elle le regarde.

Ses yeux lançaient des éclairs blancs canapé. Il lui montra les dents.

Tu y es. Ses lèvres formèrent les mots, mais elle n'avait plus de souffle. Il était tellement fatal, tellement beau, tellement sexy, tellement tout.

-Mienne, siffla le monstre.

Oh, mon Dieu oui.

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Et tous les mâles qui se pressaient dans la salle l'avaient bien entendu remarqué. La pièce empestait l'excitation sexuelle. Partout dans le bar, des mâles aguichés et séduisants l'observaient tandis qu'elle dansait. Tous la déshabillaient du regard. Il émit un grondement guttural.

(italique: Elle est à moi.)

Le prédateur montra les dents et se promit de tous les massacrer en avançant vers elle.

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Enfin elle avait utilisé un mascara gris foncé qui faisait sur elle un effet du tonnerre.Il faisait ressortir encore d'avantage ses yeux et leurs conférait un aspect tout à fait fascinant.

On aurait dit qu'ils absorbaient et reflétaient la lumière de la pièce.

Ils avaient en outre une expression de calme et de sang-froid distant qui le rendait fou. Il la dévisagea d'un air furieux autant que sidéré.Le désire qu'il avait pour elle le rendait dur comme du roc, mais tout ce qu'il avait fait pour l'amener au paroxysme de la sensualité et du désir, eh bien tout cela s'était volatilisé.

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Comme Tiago le disait, le monde pouvait attendre. Peuh. Elle se demandait s'il apprécierait qu'on lui impose une telle devise. Mais non, elle savait déjà comment il réagirait - M. Bulldozer tenterait de démolir chacune des objections qu'elle serait susceptible d'émettre

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- Votre Wyr se montrait querelleur et irrespectueux, répliqua Carling. (L'expression de la vampire sembla la transformer en une somptueuse sculpture de glace.) Il fallait lui donner une leçon.

Niniane crispa les mains, luttant contre la colère. Son Wyr. C'était presque comme si Carling avait parlé de Tiago en l'appelant « votre toutou ». Elle nota le sourire discret et inexplicable de Carling

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— Les fers, dit-il. Elle tressaillit.

— Aryal a les deux jeux et la clef. Elle jure qu'elle trouvera le moyen de les détruire. Elle dit souvent « mon précieux » et parle de les jeter dans un volcan.

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“Don’t you ever do that again,” she said. What her thready voice lacked in strength, she made up for in anger. “Don’t risk yourself by tasting for poison. It’s hard enough to live with you putting yourself on the line doing bodyguard detail for me.”

He cocked an eyebrow at her and tilted the bottle so that she was forced to drink or let the water dribble down her chin. She gargled and swallowed. He said, “That’s not your call to make, your snippiness.”

“Tiago,” she said. She sounded like her patience was severely tried. “Who is going to be Queen? Me, not you. You are not in charge here. You can’t be. Get over it or go home.”

“Like that’s going to happen,” he told her, tilting the water bottle at her again. She was forced to drink more while storm clouds gathered in those amazing eyes. “You asked for my help, and you got it. Deal with it and shut up.”

She pushed her chin up and turned her mouth away from the bottle, and he let her. She huffed, “Your bedside manner is sociopathic.”

“Trying to care about that,” he said. He cocked his head and widened his eyes. “Huh. I guess I’m not managing it.”

Sarcastic son of a bitch. “Thanks for everything you’ve done tonight. I really appreciate it. I’ve changed my mind about you staying. You’re fired.”

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— Chut. Tout va bien. Tu es en sécurité, nous ne faisons rien. Tout baigne.

— Tiago, murmura-t-elle.

Ses lèvres et ses cuisses tremblaient. Elle essaya de prendre une goulée d'air.

Il se dressa au-dessus d'elle, un colosse à la peau de bronze qui éclipsait la lumière du jour.

— Tu es tellement belle, souffla-t-il contre sa bouche tremblante. Je pourrais te manger. Je veux goûter chaque partie de ton corps. Je veux te déguster toute la journée. Mais je sais qu'il faut que nous nous rendions à cette réunion.

Quelle réunion ?

Sa bouche s'accrochait à la sienne et ses jambes s'enroulaient autour de lui. Elles voulaient le ceinturer avec ses cuisses pour qu'il aligne son membre rigide contre l'ouverture frémissante de son fourreau. Elle enfonça ses ongles dans sa nuque et il se cambra contre elle avec un rire tremblant qui envoya son souffle humide et chaud sur ses lèvres.

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