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- Il est très aventureux et un peu sauvage, mais c'est un jeune mâle adorable. Quelle honte, ce que sa famille lui a infligé.

Blay tripota le nœud de son peignoir.

- Tu l'as toujours bien aimé, hein. C'est drôle, je ne pense pas que beaucoup de parents l'apprécieraient... à bien des égards.

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Il avait cru avoir tout le courage dont il avait besoin, que la façon dont il avait grandi l'avait rendu plus coriace et plus fort que quiconque. Que la façon dont il accomplissait son travail, en se précipitant à l'intérieur d'immeuble en feu ou en sautant aux commandes d'un vieil avion déglingué, en était la preuve. Que le détachement dont il faisait souvent montre dans sa vie signifiait qu'il était fort. Signifiait qu'il était en sécurité.

Mais la véritable mesure du courage l’attendait encore.

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On avait pas besoin de se recroqueviller dans un coin, de trembler comme une mauviette et de pleurnicher. Oh non. On pouvait être un gros balèze avec une attitude de méchant, un visage plein de piercings et l'envie d'en remontrer à la terre entière, et n'être rien d'autre qu'un enfoiré de lâche.

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Les vies violentes avaient tendance a connaître une fin en rapport.

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Les hypocrite avaient leur utilité dans le vaste plan de l'univers.

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-Laisse-moi résumer la situation, dit V. d'une voix doucereuse à l'autre bout du fil. Tu as perdu ton Hummer.

Vhif eut envie de lui fracasser le crâne contre une vitre.

-Oui. C'est ça. Alors est-ce que tu pourrais..;

-Comment as-tu pu perdre un véhicule de trois tonnes et demie?

-Ce n'est pas important...

-Eh bien, en fait ça l'est si tu veux que j'accède au GPS pour te dire où retrouver ce satané engin ; ce qui est la raison de ton appel, pas vrai? A moins que tu croies que la confession sans les détails est bonne pour l'âme, ou une connerie du genre?

Vhif resserra sa prise sur son téléphone.

-Jailaissélesclésdedans.

-Je te demande pardon? Je n'ai pas compris.

Tu parles.

-J'ai laissé les clés dedans.

-C'était parfaitement idiot, fiston.

Sans déconner.

-Alors est-ce que tu peux m'aider...?

-Je viens de t'envoyerle lien par mail. Juste une chose: quand tu auras récupéré ton véhicule...

-Oui?

-Vérifie que les voleurs n'ont pas pris un moment pour avancer le siège... tu sais, pour se mettre à l'aise, tout ça. Parce qu'ils n'étaient sans doute pas pressés, vu qu'ils avaient les clés. (Entendre les ricanaments de Viszs était comme se faire frapper dans les couilles avec un pare-choc.) Ecoute, je dois y aller. J'ai besoin de mes deux mains pour me tenir le ventre pendant que je me fous de ta gueule. A plus.

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-Il est sourd? demanda le caissier en chuchotant.

Comme si quelqu'un parlant en langue des signes étaient une espèce de fou.

-Non. Aveugle.

-Oh.

Comme l'homme continuait à dévisager John, Vhif eut envie de le cogner.

-Vous vous activez, ou quoi?

-Oh... oui. Hé, vous avez un tatouage sur le visage. (...) Vous savez?

Vraiment.

-Je ne l'aurais pas cru.

-Vous êtes aveugle, vous aussi?

Ce mec était stupide. Vraiment.

-Ouais.

-Oh, c'est pour ça que vos yeux sont bizarres.

-Oui. C'est ça.

(...)

-Et votre monnaie? lui lança le caissier.

-Je suis également sourd. Je ne vous entends pas.

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Au même moment, derrière lui, la porte de sa chambre s’ouvrit en grand sans préavis – ni toc-toc, ni bonjour, ni « hey-tu-es-décent ? ».

 Et Qhuinn se tenait dans l’embrasure le mec avait le souffle court, comme s’il avait couru tout le long du couloir aux statues.

 Merde, est-ce que Layla avait finalement perdu son bébé ?

Les yeux dépareillés du mâle fouillaient la pièce.

 —   Tu es seul ? S’enquit-il.

 Quoi… ? Que diable voulait-il dire… Oh, Saxton, bien sûr. 

—   Oui.

 Qhuinn fit trois enjambées, les mains en avant… puis il agrippa Blay et l’embrassa à lui en faire perdre sa putain de tête.

 Le baiser fut de ceux dont on se souvient toute une vie, une connexion forgée avec tant d’intensité que tout – depuis la sensation du corps plaqué au sien, des lèvres chaudes pressées sur sa bouche, jusqu’au pouvoir et au contrôle –, se grave profondément dans la mémoire…

 Blay y répondit sans poser de questions.

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Dans le contexte du langage, certains mots avaient plus d’importance que d’autres. Certains mots étaient puissants, historiques ; certains faisaient la différence entre la vie et la mort. Il y avait des mots à multiples syllabes qui réclamaient une parfaite énonciation pour émaner correctement d’une bouche ; des mots déclenchaient des guerres, d’autres signaient la paix… Il y avait même des mots poétiques ou ésotériques qui, en quittant les lèvres, résonnaient comme une symphonie.

 En général, « bien » ne faisait pas partie de ces termes inoubliables. En fait, en tant qu’adverbe, il s’agissait souvent d’un ajout banal, pour accentuer une idée ou un propos. Ce n’était qu’un accessoire, tellement utilisé qu’il en devenait galvaudé.

 Et pourtant, dans un certain contexte, ce petit mot – ces quatre lettres – changeait absolument tout.

 Par exemple, quand il s’accordait au verbe « aimer ».

 Parce qu’il y avait une différence immense entre « aimer bien » quelqu’un et l’« aimer » tout court. Oui, c’était comme comparer un trottoir au Grand Canyon ; une tête d’épingle au Midwest tout entier ; un soupir à un ouragan.

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 Rhage se jeta sur son Frère à terre, mettant son propre corps en rempart contre toute nouvelle agression.

 —   Z ? Zsadist ? Oh sainte mère de la race…

 Blay sortit son téléphone et passa un appel. Quand Manny Manello répondit, il ne perdit pas une seconde.

 —   Nous avons un Frère à terre. Un coup de feu en pleine poitrine.

 —   Attends !

 Ce fut pour tous une vraie surprise d’entendre la voix de Zsadist. Plus encore de voir le bras du Frère jaillir pour écarter de lui la lourde stature de Rhage.

 —   Merde, dégage. Tu m’écrases.

 —   Mais je comptais te faire du bouche-à-bouche.

 —   Rhage, je préférerais crever. Pas question que tu me roules un patin. Arrête tes conneries.

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