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"- Bordel, tu n'es pas loin de la canonisation, tu le sais ? Tu es toujours là quand j'ai besoin de toi. Toujours. Même quand je...

- même quand tu quoi ?

- Tu sais bien.

- Quoi ?

- Merde. Même quand j'étais amoureux de toi.

Butch plaqua ses mains sur sa poitrine.

- Étais ? Étais ? Je ne peux pas croire que tu te sois lassé de moi ! ( Il jeta un bras devant ses yeux dans un geste théâtral, digne de Sarah Bernhardt.) Tu brises les rêves que j'avais de notre futur.

- Ferme-la, flic."

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V. s'adossa contre les oreillers et étudia la ligne sévère de son menton.

- Enlevez votre blouse.

- Pardon?

- Enlevez-la.

- Non.

- Je veux que vous l'enleviez.

- Eh bien, vous pouvez toujours courir. Suis-je bête! Dans votre état, vous ne pouvez même pas courir. Quel dommage!

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— Merde… Merde… Et merde…

— Que se passe-t-il, mon Frère ?

— J’ai un cours à donner et je suis déjà en retard. (Zadiste attrapa dans le frigo un sachet de petits pains, un pilon de dinde et de la crème glacée.) Merde.

— Et c’est ça ton déjeuner ?

— Quoi ? C’est presque un sandwich à la dinde, non ?

— Je ne pense pas que la glace fasse office de mayonnaise.

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- je t'aime et je t'aimerai même lorsque tu ne sauras plus que j'existe.

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A moi.

Ces mots surgirent de nulle part, accompagnés de toute une cargaison de pensées meurtrières. Il était tellement indigné qu'il ouvrit grand les yeux.

Il tourna la tête et vit une femme humaine grande et élancée aux cheveux courts et blonds. Elle portait des lunettes sans monture, mais ni maquillage ni bijoux. Le nom brodé en lettres noires sur sa blouse blanche était "Dr Jane Whitcomb, chef du service de traumatologie".

- Manny, déclara-t-elle, c'est de la folie.

Le regard de V. se posa sur un mâle humain aux cheveux bruns. Le type portait lui aussi une blouse blanche et un badge épinglé à son revers droit indiquait: "Dr Manuel Manello, professeur en chef du service de chirurgie".

- Ce n'est pas fou du tout. (La voix de l'homme était basse, insistante, et il regardait la chirurgienne de V. avec une terrible intensité.) Je sais ce que je veux. Et je te veux, toi.

Elle est à moi, pensa V. Pas à toi. A MOI.

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Mmm... Tout qu’il voulait ? Il examina le costume médical qu’elle portait encore. Il voulait la voir nue.

— V, dit-elle à voix basse. Que regardes-tu au juste ?

— Ma femelle.

Elle eut un rire rauque.

— Et tu penses à quelque chose en particulier ?

— Peut-être.

— Je me demande bien ce que c’est ?

Une chaude odeur émana d’elle – qu’il perçut immédiatement, ce qui déclencha son besoin immédiat de la faire sienne, aussi fort que si elle avait été nue et écartelée devant lui. Il lui prit la main et la posa sur l’avant de son pantalon de cuir.

— Devine.

— Oh… oui… encore.

— Toujours.

Avec un parfait naturel, il feula en exposant ses longues canines, puis mordit l’encolure de sa chemise et déchira le vêtement en deux. Elle portait un soutien-gorge en coton blanc et, grâce au ciel, ce foutu truc avait une fermeture sur l’avant. Il l’ouvrit et plongea sur l’un de ses seins exposés tout en la soulevant du comptoir.

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Tomber en disgrâce et tomber amoureux, c'était un peu la même chose en fin de compte : les deux chutes vous dépouillaient de tout et vous laissaient totalement vulnérable.

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"il irait tout droit chez Jane et ferait un truc romantique. il ne savait pas encore vraiment quoi, des fleurs peut-être. enfin des fleurs et puis l'installation d'un système de sécurité. parce que rien ne disait mieux "je t'aime" qu'un bouquet de détecteurs de mouvement." (p.581)

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Elle s’arrêtait quand son portable sonna. Sa messagerie certainement.

— Whitcomb.

— Bonjour, doc. C’est ton homme.

— Salut, ajouta-t-elle en souriant, du soleil dans la voix.

— Tu es où ? (Elle entendit le froissement étouffé des draps quand V. se retourna dans son lit.)

— En route pour l’hôpital. Et toi ?

— Dans mon lit.

Oh, mon Dieu, elle imagina la splendeur de son corps entre les draps noirs.

— Dis-moi… Jane ?

— Oui ?

— Qu’est-ce que tu portes ? demanda-t-il d’une voix plus profonde.

— Ma tenue de chirurgien.

— Hmmmm. Sexy.

— C’est à peine mieux qu’un sac ! dit-elle en riant.

— Pas quand c’est toi qui le porte, non.

— Et toi, qu’est-ce que tu portes ?

— Rien… et devine où se trouve ma main, doc.Le feu passa au vert et Jane dut se concentrer pour démarrer.

— Où ça ? demanda-t-elle d’une voix entrecoupée.

— Entre mes jambes. Tu peux me dire sur quoi elle est posée ?

Oh… là… là… Elle appuya sur l’accélérateur et reprit le dialogue.

— Sur quoi ?

Il lui donna la réponse et elle faillit emboutir une voiture garée le long du trottoir.

— Viszs…

— Dis-moi quoi faire, doc. Dis-moi ce que je dois faire avec ma main.

Jane déglutit, se rangea sur le côté… et lui donna des instructions précises.

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Il posa sa main nue contre sa joue et sentit la douceur et la chaleur de son visage. Il savait que, lorsqu'il allait sortir de la pièce, il laisserait son cœur mutilé avec elle. Oh bien sûr, quelque chose battrait dans sa poitrine et ferait circuler son sang mais, à compter de ce moment-là, son cœur ne remplirait plus qu'une fonction mécanique.

Mais, au fait, c'était déjà le cas avant de la rencontrer. Elle avait donné vie à son cœur pendant un court moment, c'était tout.

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