Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 792
Membres
1 013 864

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Au milieu des rires, Rhage regarda Kolher. Sans dire un mot, tous deux s’étreignirent et, quand ils s’écartèrent, Kolher présenta à son frère l’équivalent mâle d’une excuse : une bonne claque sur l’épaule. Puis il se tourna vers Z., qui hocha la tête. Ce qui était son raccourci pour accepter les excuses du roi.

Difficile de savoir qui avait commencé, mais quelqu’un passa le bras sur les épaules de quelqu’un d’autre, puis un autre fit de même, et ils finirent regroupés comme une équipe de foot. Le cercle qu’ils formaient dans le vent froid était hétérogène, composé de différents gabarits, de poitrines plus ou moins larges et de bras aux longueurs inégales. Mais grâce au lien qui les attachait, ils formaient une entité.

Serré entre ses frères, Kolher estima que ce qu’il avait autrefois considéré comme acquis était rare et exceptionnel : la Confrérie était de nouveau réunie.

— Eh, vous voulez partager votre histoire d’amour fraternel avec moi ?

La voix de Lassiter leur fit relever la tête. L’ange se tenait sur les marches de la demeure, son halo projetant une douce lumière dans la nuit.

— Est-ce que je peux le frapper ? demanda V.

— Plus tard, répondit Kolher en rompant le cercle. Et plein, plein de fois.

— Pas exactement ce à quoi je pensais, marmonna l’ange tandis qu’ils se dématérialisaient les uns après les autres et que Butch prenait la voiture pour les retrouver.

Afficher en entier

Kolher observa le médecin traverser la petite salle des moniteurs et sortir dans le couloir. Un instant plus tard, elle était de retour avec le grand et mince praticien.

Havers s’inclina devant eux à travers la vitre puis se dirigea vers les écrans.

Tous deux prirent une pose identique : penchés, les mains dans les poches, en pleine réflexion.

— Est-ce qu’ils leur apprennent à faire ça en fac de médecine ? demanda Beth.

— C’est marrant, je me posais la même question.

Un long moment. Une longue attente. Les deux médecins, de l’autre côté de la paroi vitrée, parlaient beaucoup et pointaient l’écran de leurs stylos. Ils finirent par se redresser et opiner.

Ils entrèrent ensemble.

Afficher en entier

Il jouait d’un air absent avec le Rubis des Ténèbres de Beth, roulant la lourde pierre entre ses doigts.

— Rends-moi un service, chuchota-t-il.

La prise de Beth se resserra sur sa main.

— Tout ce que tu veux. De quoi as-tu besoin ?

— Chante-moi le générique de Qui veut gagner des millions.

Il y eut un silence. Puis Beth éclata de rire et lui frappa l’épaule.

— Kolher…

— En fait, déshabille-toi et chante-le en faisant la danse du ventre. (Quand sa shellane se pencha pour l’embrasser sur le front, il la regarda au travers de ses lunettes de soleil.) Tu crois que je plaisante ? Allez, on a tous les deux besoin de distraction. Et je te promets que je te donnerai un bon pourboire.

— Tu n’as jamais de liquide.

Il se passa la langue sur la lèvre supérieure.

— J’ai l’intention de payer en nature.

— Tu es scandaleux. (Beth lui sourit.) Et ça me plaît.

Afficher en entier

(...)les symphathes traitaient tout comme une partie d’échecs… jusqu’au moment où ils capturaient votre roi, prostituaient votre reine et brûlaient vos tours.

Afficher en entier

Kolher dégaina de nouveau son calibre .40 et s’aplatit contre le mur près de la fenêtre. De la main, il défit le loquet et entrouvrit la vitre.

L’accent de Boston du flic était à peu près aussi subtil qu’un haut-parleur.

— Hé, Raiponce, tu fais descendre tes cheveux, ou quoi ?

— Chut, tu veux réveiller les voisins ?

— Comme s’ils pouvaient entendre quoi que ce soit avec la télé ! Eh, c’est l’épisode de la chauve…

Kolher laissa Butch parler tout seul, remettant son arme à sa ceinture et ouvrant la fenêtre en grand avant de se diriger vers le placard. Il ne donna qu’un seul avertissement au flic quand il balança la première caisse de cinquante kilos hors de l’immeuble :

— Prépare-toi, ma grande.

— Nom de D…

Le juron fut interrompu par un grognement.

Kolher passa la tête par la fenêtre et chuchota :

— T’es censé être un bon catholique. C’était pas du blasphème ?

À sa voix, on aurait dit que quelqu’un venait de foutre le feu au lit de Butch.

— Tu me balances une demi-voiture sans rien d’autre qu’une citation de Madame Doubtfire :

— Enfile ta gaine et au boulot.

Afficher en entier

— Tu sais que nombre de nos frères de sang ont été abattus au cours des attaques des éradiqueurs.

— Et moi qui croyais qu’on m’avait fait menheur du Conseil seulement à cause de mon charme naturel.

Montrag lui jeta un regard furieux par-dessus son épaule, prenant une pose aristocratique.

— J’ai perdu mon père et ma mère, ainsi que tous mes cousins germains. J’ai enterré chacun d’entre eux. Tu crois que ça m’a plu ?

— Toutes mes condoléances.

Vhen posa la main droite sur son cœur et inclina la tête, même s’il n’en avait rien à foutre.

Afficher en entier

Quand elle travaillait comme assassin, elle ne voyait que du rouge. Et puis, après un temps, le visage horrifié d'un mourant était toujours le même-des yeux exorbités et une bouche ouverte sur un dernier cri étouffé à jamais

Afficher en entier

Il est vrai que les sympathes étaient immolées par le feu pour s'assurer qu'ils étaient bien morts. Certains l'étaient. D'autres simulaient. Ça valait le coup de vérifier.

Afficher en entier

- Très bien, je vais prendre votre tension sur l'autre bras. Et je vais devoir vous demander de retirer votre chemise. Le docteur voudra voir jusqu'où remonte l'infection.

Un sourire s'étira sur le visage de Vhengeance quand il mit les doigts sur le bouton du haut.

- Si vous continuez, je finirai nu.

Afficher en entier

Je me suis sentie en sécurité. (Elle se tourna vers lui). Tu sais ce que tu m'as fait avec ce mensonge ? Tu m'as volé ce sentiment. Je n'ose plus faire confiance à ce que j'avais cru posséder. Ma réalité est à nouveau faussée. Tu vois, ma vie tourne autour de toi. Toute ma vie. Tu en es le pivot. Et notre union est pour moi le monde entier.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode