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Tu aimerais savoir comment le monde se débrouil­lera sans toi ? Eh bien, je vais te le dire. Les choses suivront leur cours. Les gens pleureront, puis ils panseront leurs plaies et ils se remettront à vivre. Ils t'oublieront, tu peux en être certain. Bientôt, et à moins que tu aies accompli de ton vivant une chose absolument extraordinaire, il ne restera plus sur Terre que quelques personnes pour se sou­venir de toi. Et puis, un jour, il n'y en aura plus une seule. Tu disparaîtras, définitivement. C'est là une loi immuable.

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La scène est irréelle, écrasante. Il n'y a aucune leçon à en tirer, sinon celle-ci : la douleur est un brasier qu'un simple soupir suffit à attiser. Ce que je ressens n'est pas la réalité de ma mort. C'est la souffrance de ces gens.

Une souffrance trop humaine.

Je recule. Je ne veux pas savoir ce qu'il est advenu de Patience et des autres. J'imagine très bien. D'autres cercueils, d'autres puits de ténèbres - d'autres pères d'argile, d'autres mères de cendre.

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Encore hésitant, je pose une main sur le crâne de l'animal. Ravi, celui-ci ferme les yeux. Les altars, me confiera Scarlett plus tard, sont des créatures à nulle autre pareilles. Patients, attentifs, ils accordent toute leur confiance à leur maître et, une fois le pacte scellé, s'en remettent entièrement à lui. En définitive, déclare-t-elle, ils ressemblent à de gros chiens. Z ceci près que les chiens ne volent pas.

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"Dans les moments qui précèdent les grandes catastrophes, certains détails ne vous paraissent essentiels qu'après coup. ce ciel trop bleu, contemplé depuis la fenêtre de votre bureau new-yorkais du quatre-vingt-seizième étage, un certain 11 septembre 2001. Ce silence trop parfait sur la plage de Phuket tandis que vos traces dans le sable s'effacent, au matin du 26 décembre 2004. Ces chiens d'habitude si calmes qui, soudain, aboient sans raison en descendant les ruelles de Port-au-Prince, à l'aube du 12 janvier 2010.

Des avertissements. Des signes.

Peut-être y a-t-il eu tel un présage, ce mardi-là, dans cette rame de métro de la ligne 6 traversant la Seine à la hauteur de la tour Eiffel. Mais si c'est le cas, il faut croire que je n'ai pas été assez attentif."

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Il ne s'agit pas de mettre pied à terre : pour ce monde-ci, nous n'existons pas. Pas d'yeux, mais nous voyons ; pas d'oreilles, mais nous entendons. Des fantômes, des témoins que personne ne soupçonne.

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Le pire, c'est cette absence de tristesse, cet engourdissement de l'âme.

Une phrase de mon père murmuré à L'enterrement de mon grand-père, me revient en mémoire : "C'est pour ceux qui restent que la mort est difficile".

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« — Ce fameux secret…

Il grimace.

— C'est un secret qui ne nous concerne plus, nous, les Egarés, et encore moins maintenant - un secret qui concerne la Terre.

J'ouvre les mains, impuissant. Starck s'assoit en tailleur sur la pierre.

— Oublie cela.

— Quoi ?

— Nous ne pouvons rien changer à ce qui va se passer.

Il a fermé les yeux, comme pour profiter du vent. Il ne parlera pas - pas aujourd'hui. Ma tête pleine de doutes, je quitte mon perchoir.»

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« Le pire, c'est cette absence de tristesse, cet engourdissement de l'âme. Une phrase de mon père, murmurée à l'enterrement de mon grand-père, me revient en mémoire : "C'est pour ceux qui restent que la mort est difficile." »

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Une nouvelle vie commence. Un nouveau départ. Il y a des leçons à tirer de cette amitié, la plus improbable qu'on puisse imaginer. Un exilé et un fuyard, un Chinois et un Français, un vieil homme et un presque adulte.

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Rain se lève, lui prend la bouteille des mains, ouvre la fenêtre et la jette dans la rue, où elle explose. Son père l'insulte, veut la ceinturer, trébuche. Elle le repousse et part s'enfermer à double tour dans sa chambre.

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