Commentaires

J'ai adoré ce livre, cet univers sombre, un peu steampunk ! Super rythme, pas le temps de s'ennuyer !

La fabrique des poupées est un livre issu d'un univers sombre et à la fois plein d'espoirs. Deux sœurs jumelles confrontées à la pauvreté dont l'une souhaite s'en sortir plus que l'autre. Pourquoi rester dans ces conditions alors que nous pouvons nous en sortir ?

Un amour se mêle dans cette histoire sombre et vibrante. Tout en douceur, l'une d'entre elle réussira à faire battre le cœur de deux hommes. En premier un homme qui lui voudra que du bien, celui-ci va lui ouvrir les portes d'un artiste; l'autre devient possessif d'elle, pense qu'ils s'aiment énormément !

Très bon livre qui ne te laissera pas sans pensées.

C'est d'abord le titre et la couverture qui m'ont attiré vers ce roman et au final j'ai adoré. L'ambiance est extrêmement bien rendue, les personnages complexes et l'intrigue captivante. Un vrai plaisir de suivre Iris vers le chemin de la liberté.

J’ai eu beaucoup de mal avec le début de ce livre… Tout d’abord à cause des activités macabres du taxidermiste (coeurs sensibles: s’abstenir de lire ce livre!) mais surtout pour son univers très, voire trop, sombre!

Mais on se laisse prendre par l’histoire grâce aux caractères particuliers des personnages: Silas est mentalement dérangé, Louis est mystérieux, Albie est un petit garçon à l’espoir constant d’un meilleur lendemain, Rose est blessée et Iris est un oiseau dans une cage qui a besoin de liberté afin de découvrir le monde et ses capacités…

L’histoire est très bien ficelée et l’intrigue se porte autant sur la relation entre les personnages que sur le destin de chacun!

On finit par s’y plonger et avoir l’envie pressante de connaitre le dénouement.

L’ambiance oppressante ressentie à la lecture de ce livre est très réaliste avec les faits et n’est plus si dérangeante que ca sur le long terme…

C’est, au final, un très bon livre pour les coeurs pas trop sensibles!

Un roman dérangeant que j'ai adoré

L'intrigue de ce roman se divise en plusieurs arcs qui ne m'ont pas tous intéressés au même degré : j'ai beaucoup aimé suivre Iris, moins Silas et Albie. Mais je reconnais que l'ensemble obéit à une logique thématique.

La première chose que je me dis à la fin de ce livre c'est : Spoiler(cliquez pour révéler)merci mon dieu! Elle a réussi à s'en sortir! Jusqu'au bout j'ai vraiment cru que cela n'arriverait pas!

L'époque victorienne est une époque qui fascine, haute en couleur, si vivante, remplie d'espoir, à la hauteur de la grandeur de l'Angleterre de l'époque.

Les différents personnages montrent autant de facette de la société de l'époque et ils interagissent de manière intelligente.

Enfin la maladie mentale si bien illustrée, son fonctionnement par une vision distordue de la réalité montre à quel point elle peut être dangereuse et malheureuse.

Londres, 1850.

L'époque de l'exposition universelle, Iris & Rose sont deux soeurs jumelles qui sont employées dans un magasin de poupées. Silas lui, taxidermiste, est amateur de macabres & autres curiosités. Louis Frost, jeune peintre préraphaélite, va bientôt élargir le champs des possibles pour Iris, qui rêve de devenir artiste peintre, en lui proposant de devenir son modèle. Elle va découvrir grâce à cette proposition l'art et l'amour. Mais Silas rode, tapi dans l'ombre...

Le décor est planté et ce Londres de fin 19ème j'adore! Pour le reste, j'ai eu beaucoup de mal. Je n'ai "sympathisé" avec aucun personnage. J'ai trouvé beaucoup de longueurs. J'ai également eu du mal quant au fait du rapport entre le titre du livre et l'histoire qui y est raconté. En effet, on ne parle que très peu de La fabrique de poupées. Même le côté psychologique de Silas ne m'a pas réellement convaincu. Pas assez poussé je pense pour moi qui lit beaucoup de thriller. Bien que ce n'était pas le but du roman puisque pas du tout un thriller 😅 Mais voilà c'était pour moi, soit trop, soit pas assez...

Je pense que les personnages, l'histoire étaient bien trop loin de ce que j'aime lire, bien trop loin de ce qui marche avec moi.

En ouvrant ce livre, je m'attendais à une histoire terriblement sombre, noire presque effrayante. Ce n'est pas exactement ça. C'est bien plus en réalité. C'est une histoire de rencontre, de retrouvaille familiale, d'art aussi. Et puis, d'obsession, sombre, entêtant, dramatique. Plus particulièrement les 150 dernières pages. On est dans cette noirceur, cette fascination qui mène à l’impensable.

L'autrice a écrit une histoire forte, passionnante. Elle distille au fil des pages une atmosphère brumeuse, lourde qui rend le récit troublant. J’ai beaucoup aimé !

Je dois avouer que j’avais d’abord craqué pour la couverture et le titre de ce livre, sans trop m’attarder sur le résumé. J’ai finalement un avis un peu mitigé sur ma lecture.

Dans ce livre, on suit l’histoire de Iris, une jeune femme avec une déformation de la clavicule qui travaille avec sa sœur dans un magasin de poupée. Passionnée par la peinture et pas vraiment heureuse dans sa vie actuelle, Iris ne va pas attendre longtemps avant d’accepter l’offre d’emploi proposée par Louis. Cependant, même si un bel avenir semble se profiler pour elle, un danger la guette...

J’ai plutôt apprécié l’histoire, mais j’ai trouvé qu’elle traînait un peu en longueur. Faire monter la tension en montrant petit à petit que le danger se rapproche, c’est bien, mais quand ça traîne pendant des dizaines de chapitres et que ça stagne par moment, ça devient un peu lourd. Sinon, l’histoire est somme toute très simple et suffisamment prenante pour qu’on ait envie de lire ce livre jusqu’à la fin.

Côté personnages, j’ai aimé la façon dont l’autrice fait évoluer ceux-ci. Par exemple, au début de l’histoire, Iris est une jeune femme qui respecte les conventions de la haute société et qui ne s’épanouit clairement pas en tant que femme. Mais par la suite elle s’émancipe et s’autorise enfin à être elle-même, à faire ce qu’elle aime. Les autres personnages évoluent aussi de façon tout à fait réaliste compte tenu de ce qu’ils vivent.

Bref, ce livre était sympathique, mais je reste tout de même un peu mitigée quant à son rythme.