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Comme toutes les personnes autour de lui, Henry tourna la tête dans la direction indiquée.

Pourtant, son regard passa sur le comte sans le voir vraiment et s'arrêta sur sa cavalière.

Elle était éblouissante. Sa tenue mettait en valeur sa taille mince et sa silhouette élancée, tout en dévoilant des rondeurs charmantes. Mais ce qui attirait le plus chez elle, c'était son expression radieuse, son sourire si franc et chaleureux, qui semblait déclarer à la terre entière qu'elle était heureuse d'être ici, à cet instant.

Une telle spontanéité lui fit l'effet d'une brise printanière,et il oublia tout ce qui le troublait. Il avait le sentiment d'assister à un spectacle rare.

Une figure força la danseuse à évoluer dans sa direction et, quand elle leva la tête, leurs yeux se rencontrèrent.

Son coeur cessa de battre...

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Il avait beau être déjà passé devant en journée et avoir arpenté, comme tous les Parisiens, ses jardins par beau temps, sa façade éclairée de nuit par des milliers de chandelles était incroyable. On se serait cru dans une de ces demeures fantastiques de contes de fées. La foule se pressait pour entrer, compte tenu de l’étroitesse du vestibule et des escaliers menant à la salle.

Une heure sonna à l’église Saint-Honoré toute proche. Il risquait vraiment d’être en retard ! Il allait se résoudre à se frayer un chemin pour arriver à temps, quand une main s’abattit sur son épaule.

— Je me doutais bien que vous étiez là ! s’exclama dans un parfait anglais Louis, l’ami qui l’avait convaincu de se rendre à ces festivités.

Henry haussa les épaules.

— Que voulez-vous, il a bien fallu suivre vos commandements… Tenez, j’ai même revêtu un costume qui fera couleur locale, ajouta-t-il en changeant de langue.

Son interlocuteur éclata de rire. Henry portait un habit à la française gris anthracite qui s’accordait à ses yeux et avait complété sa tenue d’un masque noir très simple. Le bal de ce soir étant moins formel que d’autres événements mondains, il avait délaissé la perruque poudrée pour nouer ses cheveux noirs en catogan.

— Vous m’en voyez ravi ! Mais je crains que votre accent ne trompe personne…

— Et moi qui croyais pouvoir rester incognito pour observer le spectacle à mon aise ! se lamenta Henry.

Tout en devisant gaiement, ils avaient avancé jusqu’à la porte, qu’ils franchirent après avoir montré leurs billets.

— Vous ne serez pas déçu ! On prétend que le comte d’Artois, frère de Sa Majesté, viendra ce soir, avec quelques dames et gentilshommes de sa suite. La famille royale n’est officiellement jamais présente à ces divertissements trop populaires, mais ce ne serait pas la première fois…

Henry hocha la tête en silence, trop occupé à détailler la grande salle dans laquelle ils venaient d’arriver.

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"-Mademoiselle d'Arsac, ce sont là de nobles idéaux, et vous n'avez pas à en avoir honte. Toutefois..., ajouta-t-il en se penchant à son oreille, apprenez d'abord ce qu'est l'amour avant d'en parler en si mauvais termes.

Il allait sortir, quand Elisabeth le rattrapa et le força à lui faire face. Elle souhaitait avant tout dissimuler son trouble, mais les paroles s’échappèrent naturellement.

-Et vous monsieur? Que savez-vous donc de l'amour? Que c'est un joli mot qui permet de gagner le cœur d'une dame à moindre frais?"

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"La toucher était une torture, s'en empêcher était pire."

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"-Pardonnez mon comportement, mais sachez que je ne me soucie guère de vos convenances. Elles ont leur charme, il faut l'admettre, mais elles étouffent toute originalité. Et ne craignez pas que je vous juge ; j'estime qu'il est nécessaire d'écouter toutes les idées, d'où qu'elles viennent, et d'en tirer ce qui est intéressant."

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"Y avait-il quelque chose d'anormal chez elle? se demanda-t-elle soudain. Pourquoi était-elle incapable de se contenter de ce qu'elle avait? Pourquoi fallait-il qu'elle entretienne de telles chimères? Elle avait pourtant conscience que ses idées l'éloignaient de son entourage..."

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La mélodie des violons

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