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La douleur me transperce, déchirant mon cœur en deux. Ma compagne. « Taylor ». Je me laisse aller et je me retourne pour la voir sur les escaliers, son corps flasque et l’épée obsidienne rentrée dans sa poitrine.

— Taylor ! dis-je dans un rugissement en me précipitant vers elle pour la prendre dans les bras tandis que ses yeux palpitent.

— Non, non, non.

Je touche l’épée obsidienne qui tombe de ses mains. Son sang précieux se répond sur sa robe bleu nuit. Il est chaud sur mes doigts tandis que le lien entre nous commence à diminuer, à se faner comme une fleur.

— Taylor, non, dis-je en retirant ses cheveux de son front. Pourquoi ? fais-je alors que ma vision se trouble tandis que la bataille fait rage autour de nous.

Ça n’a plus d’importance. Rien n’a plus d’importance.

— Pourquoi, fillette ? dis-je en lui tapotant la joue.

Ses yeux bleus, d’ordinaire si brillants, regardent dans mon âme, dans mon cœur déchiré.

— Devais détruire l’horcruxe de Shathinor. Le collier. Me contrôlait. Voulait que je te tue. Voulait mon Cœur.

Une tache de sang noir venant du phylactère détruit se mélange au sien, tachant sa peau claire de mort.

— Ne pars pas, fais-je en la berçant. Valen !

Mon cri se transporte sur un vent d’hiver.

— Je suis désolée, fait-elle alors que des larmes coulent du coin de ses yeux et que je les essuie.

— J’ai mal, dit-elle en essayant de toucher l’épée, mais sa main retombe.

Je sens la vie s’échapper d’elle comme de l’eau entre mes doigts, le courant trop rapide pour que je puisse l’attraper. Cela me démolit, ma volonté s’effondre pendant que je la tiens.

— Ne sois pas désolée, dis-je en m’allongeant pour embrasser doucement ses lèvres. Elles sont trop fraiches.

— Ne sois jamais désolée. Tu m’as amené à la vie.

— Tu es à moi, murmure-t-elle. Et je suis à toi, ses yeux se ferment.

— Non, crié-je pour appeler Valen à nouveau. Reste. Valen peut te sauver. Il peut...

— Delantis m’appelle, dit-elle en fronçant les sourcils. Elle appelle, et je dois partir.

Je halète, la souffrance m’entoure comme un poing tandis que sa respiration ralentit.

— Taylor, par pitié. Fillette. Ne pars pas chez les Ancêtres. J’ai besoin de toi ici. J’ai besoin de toi. Pitié.

— Tu l’entends ?

Un filet de sang coule du coin de sa bouche.

— Oh, non. Ma Reine, crie Valen en dévalant les escaliers à côté de nous, le visage ensanglanté.

— Elle est...

— Aide-la, dis-je sans pouvoir retenir les larmes éplorées qui s’échappent, je ne peux rien faire d’autre pour aider ma compagne. Sa souffrance est mienne, et je ferai n’importe quoi pour supprimer sa douleur.

— Je suis vidé, mais je peux essayer. Mais d’abord...

Il attrape l’épée obsidienne et la retire.

Son cri déchire ma conscience tandis que je la serre contre moi, la berçant tandis que Valen invoque un faible globe vert et qu’il l’appuie sur sa blessure.

Elle n’arrive plus à respirer, son corps devient raide, son cœur se bat pour battre.

Je ne peux que la tenir et prier les Ancêtres pour sa vie. Mon amour. Mon tout. Je ne vis que pour elle, et je serais heureux de donner ma vie pour qu’elle puisse voir un autre jour.

— Quelque chose la tire loin de nous, dit Valen en s’effondrant sur les escaliers, sa peau est maladivement blanche. L’épée est trop puissante. Je n’arrive pas à la stopper.

— Essaie encore ! hurlé-je. S’il te plaît, ne pars pas.

J’ai l’impression d’être coupé en deux, le lien entre nous est aussi sombre qu’une tombe tandis que son sang continue de couler sur mes mains, mouillant ma chemise avec sa vie qui faiblit.

Valen se met à genoux et invoque une autre boule de guérison et essaie à nouveau, même s’il lève les yeux. Il l’appuie sur sa blessure, l’éclat vert entrant dans sa peau quand il retombe en arrière, ayant épuisé toute sa magie.

Elle tousse, le sang coule sur son menton, tandis que quelques larmes supplémentaires s’échappent de ses yeux.

— Léandre, ça fait mal.

Son murmure se répand dans un souffle, le dernier qu’elle rende.

— Taylor, je la serre contre moi. Taylor, non. Ma lumière. Par pitié, reste.

Je ressens le moment exact où le lien se coupe, ce lien entre nous disparaissant comme une volute de fumée dans une nuit sombre et froide. Il n’y a rien. Juste un vide qui ne peut être rempli, un néant d’obscurité qui ne touchera jamais plus la lumière. Elle est au-delà de ma portée, blottie dans l’étreinte jalouse de la Mort.

Mon rugissement de douleur secoue les montagnes jusqu’à leurs pieds.

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Léandre fronce les sourcils, mais je n’ai pas le temps de lui expliquer, pas quand mon besoin de lui efface toute pensée rationnelle. J’effleure ses abdos avant d’atteindre son pantalon.

— Ma compagne, murmure-t-il en m’embrassant fougueusement, sa queue est comme une tige de fer recouverte de la soie la plus douce au creux de ma main.

— J’ai envie de toi.

Je recule et j’enlève ma chemise.

Il me regarde, ses yeux sont affamés quand je retire mon pantalon et que je me retrouve nue devant lui.

Quand je me mets à genoux et que je l’attire vers moi, il touche à nouveau mes ailes.

— Tu es une Fae ? Comment ?

Je n’ai pas envie de parler. Pas maintenant. Je sors sa queue de son pantalon pour lécher son extrémité.

Il grogne et passe sa main dans mes cheveux.

— Fillette, nous devons partir. Tu n’es pas en sécurité.

Je le prends jusqu’au fond de ma gorge, ma langue appuyée sur sa verge pendant que je commence à agiter ma tête.

Son gémissement crée une humidité sensuelle entre mes cuisses, et je caresse mon clitoris pendant que je le suce jusqu’à ce que mes joues soient creuses.

Dans un rugissement, il me relève et me porte jusqu’au lit.

— Taylor, que se passe-t-il ? demande-t-il en me regardant dans les yeux, le désir et la confusion sont en conflit à l’intérieur de lui.

J’écarte largement mes jambes et je me colle contre lui.

— J’ai envie de toi, mon roi. J’ai besoin que tu sois en moi, j’ai besoin de m’accoupler, d’être aimée.

Son ronronnement grave vibre à travers moi.

Mes crocs s’allongent, et sans remord, je les enfonce profondément dans son épaule. Il rugit et entre en moi, il me remplit pendant que je crie contre sa peau chaude, son sang coulant sur ma langue. Ses mains attrapent les miennes pour me tenir pendant que je prends tout ce qu’il m’offre – son corps, son sang, le lien entre nos âmes.

Je me laisse aller et je me lèche les lèvres tandis qu’il prend à nouveau ma bouche, son corps pousse au fond du mien et secoue le lit à chaque puissante secousse.

— À moi.

Il me mord les lèvres tandis qu’il me possède encore et encore, son corps puissant est fait pour moi et moi seule. Quand il relâche mes mains, il attrape mes cheveux et les tire jusqu’à ce que je me cambre pour qu’il puisse sucer ma gorge.

Enfonçant mes ongles dans son dos, je m’accroche pendant qu’il s’enfonce en moi, mes seins picotant de plaisir pendant qu’il domine chaque partie de moi, sa poitrine puissante se frottant à moi juste comme il faut.

Attrapant un de mes seins, il passe sa langue sur mon mamelon, puis serre plus fort, ses hanches me travaillent tandis que je halète et que je tortille ses cheveux avec mes doigts. Je gémis quand il aspire le bouton dans sa bouche, sa langue massant le sommet tandis que mes jambes s’écartent encore plus. Chaque moment de contact entre nous est comme une petite étincelle d’électricité, des millions d’entre elles m’éclairant de l’intérieur.

Il se retire, ses yeux sont noirs, et il attrape mes hanches. D’un coup sec et brusque, il me retourne et me met à genoux. Avec une brusque poussée, il me pénètre par-derrière. Je crie quand il s’allonge sur moi, sa poitrine contre mes ailes repliées tandis qu’il me remplit avec des coups durs.

Mes orteils se contractent quand il lèche l’arrière de mon cou, qu’ensuite il mord, déchirant la peau avec ses crocs. Il s’agrippe à moi comme à un animal, me tenant exactement là où il veut pendant qu’il me donne tout ce que je veux. Quand il passe sa main entre mes jambes et caresse mon clitoris, je commence à me tortiller, mon plaisir s’enroule à l’intérieur de moi comme un fil sur une bobine.

Le bruit de sa peau frappant la mienne ricoche dans la chambre et le lit cogne contre le mur, à cause de ce rythme impossible. Je pousse contre lui, le faisant entrer plus profondément en moi tandis que ses doigts pianotent sur mon point sensible. Il mord plus fort, la douleur est comme de l’essence sur le feu qui brûle déjà entre nous. Mes hanches en profitent et je halète pendant que ma libération arrive, le plaisir se répand à travers moi, m’inondant jusqu’à ce que je puisse à peine respirer, que je ne sente presque plus rien sauf la tension qui se relâche dans des vagues de plaisir alanguies.

Léandre grogne contre ma peau, avant de s’enfoncer dur et profond. Sa queue est à l’intérieur de moi et il fait gicler sa semence dans un rugissement. Nous haletons ensemble, nos corps joints et partageons le plaisir de l’autre. Pendant que ma jouissance s’évanouit, mes genoux s’écartent et je m’enfonce dans le lit, Léandre sur moi, toujours en moi.

Il relâche la morsure, puis lèche la blessure.

— Nous devons partir.

Il se retire et je prends une profonde inspiration.

S’habillant rapidement, il ramasse mes vêtements sur le sol et me les apporte.

— Dépêche-toi. On ne devrait pas rester là.

— J’ai aimé rester là, dis-je en roulant sur le dos et en étirant mes bras au-dessus de ma tête.

Son regard se pose sur mes seins, puis plus bas, mes cuisses portent la trace que nous avons fait l’amour.

— Taylor, grogne-t-il. Tu me rends fou de désir.

Il cherche dans la pièce et trouve une petite serviette.

— Voilà.

Après m’avoir nettoyée, il me tend mes affaires.

— Nous devons sortir d’ici. Ce n’est pas sûr.

— Je suis en parfaite sécurité, dis-je en m’asseyant pour mettre ma chemise. C’est toi qui es mal barré.

— Quoi ?

Je claque des doigts et des douzaines de gardes morts-vivants se ruent dans la pièce, suivis par mon père, un sourire cruel sur son visage.

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