Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 062
Membres
1 014 971

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Je bois de la vodka dans ma cuisine pendant que j'étends mon linge, une soirée banale en URSS mais triste ici.

Afficher en entier

Il y a encore quelques temps, je me lavais les mains avant d’écrire. Maintenant j’ai compris que se laver les mains et écrire c’est la même chose.

Afficher en entier

Sans ombre, plus rien n'a de corps, de présence. Sans ombre, comment je sais que j'existe ? [...] La nuit, on s'éclaire soi-même, c'est pas pareil, on décide qu'on existe. On apprend à s'exister.

Afficher en entier

Moi je veux tout le temps être collé à lui, j'aime son odeur au matin, je pourrais lécher sa sueur pendant des heures, même son haleine quand il est malade ne me dérange pas, même l'odeur de sa pisse après son passage aux toilettes ne me dérange pas. Je le mords dès qu'un câlin s'éternise, il rigole, moi aussi, mais j'aimerais le manger. En entier, chaque partie. Je commencerais par ses cuisses, je les aime ses cuisses, j'y dépose ma main dès que j'en ai l'occasion. Puis je mangerais ses fesses, puis son dos, son magnifique dos qui m'énerve de perfection, doit être bien tendre, ça se détacherait facilement, un seul coup de dents. Mais rien, je le mords juste assez fort pour qu'il pousse ce petit cri que j'aime qu'il pousse. Mi-apeuré, mi-sexuel. Un cri aigu, mais doux. Je n'ai même plus envie de voir d'autres personnes, depuis des mois. Je n'ai même plus la force de répondre aux gens physiquement plaisants qui m'envoient des messages très clairs sur les réseaux : ils me veulent. Mais pas moi. Moi, je le veux lui, tout entier, tout le temps, jusqu'au dernier os à ronger. Plus personne d'autre ne pourrait en profiter, en moi à tout jamais. Deviendrait un de mes organes, à l'intérieur, un vital.

Afficher en entier

Je mesure 1m79.

Un jour une fille m'a dit qu'elle pouvait me faire confiance juste parce que je lui ai donné ma taille, elle a dit N'importe quel mec aurait rajouté un centimètre pour faire le mètre quatre-vingt, pas toi. Ce qu'elle ne sait pas c'est qu'en réalité, je fais 1m78.

Afficher en entier

Peut-être que vous avez une photo ensemble, bande de cons. Nous si on avait une photo, on la vendrait pas. Vous êtes tous morts maintenant bande de cons.

Afficher en entier

Si un burn-out c’est une entorse, ce que vous avez est une fracture ouverte, c’est plus grave mais si c’est bien soigné vous pourrez très vite remarcher.

Afficher en entier

Quelques mots qu’il m’a répondu un jour résonnent encore aujourd’hui, au fil d’une discussion assez banale je lui ai glissé que je n’arrivais pas à être heureux, que je ne savais pas quoi faire pour accéder au bonheur simple, celui qui ne nécessite pas réflexion, et il m’a juste dit en remontant son verre de blanc vers ses lèvres aride, lâche l’affaire. C’est tout, notre discussion s’est arrêtée là, il l’avait décidé. Peut-être qu’il a raison, qu’il faut que je lâche l’affaire, que comme lui je me laisse porter, une feuille, devient une feuille. Viendra ce qui viendra. Passera ce qui passera.

Afficher en entier

Un truc banal, simple, que tout le monde a au fond du cœur un moment. Il existe quelque part quelqu’un à qui je suis destiné et qui m’est destiné. Quelqu’un avec qui je sais que je dois vivre.

Afficher en entier

La nuit, je pense à mes problèmes, je suis trop lache pour y penser en journée. La nuit, je me dis souvent que ces problèmes là sont des problèmes de merde, que je pourrais décider d’y remédier, que ce serait facile. La nuit, je me dis que quand le soleil sera là, à nouveau, je réglerais tout ça, j’agirai, mais je sais que ce sont des promesses de la nuit, des promesses qui ne se réveilleront pas avec moi le lendemain, des promesses qui vont mourir à l’aube.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode