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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2017-03-02T20:57:19+01:00

" Women want the fairy tale. Not all women, of course, but most women grow up dreaming about the kind of man who would risk everything for them, even knowing they might get hurt. "

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Extrait ajouté par Allyssahp 2018-06-25T09:55:15+02:00

Seules quelques tables de la véranda étaient occupées quand Jeremy arriva. Les conversations ralentirent et les yeux se braquèrent dans sa direction tandis qu’ils gravissaient les marches menant à la porte d’entrée. La mastication se poursuivit cependant; il eu une pensée pour l’etrange regard que nous adressent les vaches quand nous nous approchons de la clôture d’un champ. Il hocha la tête et esquissa un salut, suivant ainsi l’exemple des personnes âgées qu’il avait aperçues.

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Extrait ajouté par Allyssahp 2018-06-24T22:56:18+02:00

Soit la chambre de commerce avait utilisé des photos d’une autre localité sur son site internet, soit il avait laissé passer quelquechose. Il jetaun coup d’oeil sur la carte, puis dans le rétroviseur, pour s’assurer qu’il était bien à Boone Creek.

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Extrait ajouté par Edith972 2018-03-11T20:35:18+01:00

Elle n’était pas naïve au point de nier les séductions du monde moderne. Mais le « soyez beaux, riches, célèbres, allez à des festivités mondaines, et vous serez heureux »… Un raisonnement absurde : sinon pourquoi tant de gens riches, beaux et célèbres se droguaient-ils ? Pourquoi étaient-ils incapables de mener une vie conjugale harmonieuse? 

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Extrait ajouté par Edith972 2018-03-10T18:34:49+01:00

L’ambiance était bien différente dans cette petite bourgade de l’Amérique profonde où les gens jouaient au bingo, allaient au bowling et suivaient les rediffusions de Matlock sur TNT. Il n’avait jamais vu dans sa vie autant de cheveux bleutés et de polyester…

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Extrait ajouté par Edith972 2018-03-10T18:04:01+01:00

Elle n’avait pas trouvé désagréable de parler à un nouveau venu, qui ignorait les derniers ragots de Boone Creek. Elle avait éprouvé une sensation rafraîchissante qu’elle avait presque oubliée.

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Extrait ajouté par Edith972 2018-03-09T19:44:15+01:00

Tel est le secret honteux des journalistes qui écrivent pour des magazines. Ils prétendent se charger personnellement de leurs recherches dont ils ne réalisent en fait qu’une partie, mais se réfèrent, la plupart du temps, à des rumeurs et des demi-vérités. D’où leurs fréquentes lacunes, en général bénignes, mais parfois dramatiques. Tous les articles de tous les magazines comportent des inexactitudes.

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2017-03-02T20:56:05+01:00

" "Did you ever have a dream ?" he asked. "Something you wanted so badly and just when you think you're about to reach out and grab it, something else takes it away ?"

"Everyone has dreams that don't come true", she answered, her voice guarded. "

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Extrait ajouté par bamby114 2013-07-20T10:40:54+02:00

Entouré de colonnes de brique et de grilles de fer forgé rouillé, le cimetière de Cedar Creek était niché dans le vallon, et donnait l'impression de s'enfoncer lentement. Le terrain était ombragé par des chênes couverts de mousse espagnole, et, au centre, par un important magnolia, dont les racines surgissaient du tron et s'étalaient sur le sol comme des doigts arthritiques.

S'il avait été jadis un endroit paisible et harmonieux, le cimetière semblait maintenant à l'abandon. Le sentier, au-delà de l'entrée principale, était creusé de profondes ornières et tapissé de feuilles pourrissantes.

Quelques plaques d'herbe paraissaient presque incongrues, et des tas ed branches s'amoncelaient ici et là ; le terrain ondulé faisait penser à des vagues au bord de la mer. Un fouillis de ronces jaillissait entre les pierres tombales, brisées pour la plupart.

Tully disait vrai; il n'y avait pas grand-chose à voir. Mais, en matière de cimetière hanté, c'était la perfection. Un régal pour la télé! LE lieu semblait conçu spécialement pour Hollywood...

Jeremy sortit de la voiture et étira ses jambes, avant de prendre la caméra dans le coffre. La bise glaciale n'avait pas l'âpreté des bises New-yorkaises ; il inspira profondément pour s'imprégner de l'odeur des pins et des plantes aromatiques. Des cumulus dérivaient dans le ciel, un faucon solitaire tournoyait au loin. La colline était plantée de pins, et dans les champs qui s'étendaient à ses pieds, il aperçut une grange à tabac abandonnée. Recouverte de kudzu grimpant, et dépouillée de la moitié de son toit d’aluminium, elle penchait sur le côté; l'un des murs s’effondrait ; il suffirait d'un coup de vent un peu violent pour qu'elle bascule. A part cela, aucune trace de civilisation.

la porte d'entrée du cimetière grinça sur ses gonds rouillés. Il s'engagea sur le sentier. Les pierres tombales, de chaque côté, ne semblaient pas porter d'inscription ; il lui fallut un moment pour comprendre que les lettres gravées jadis avaient été effacées par les intempéries et le passage des ans. Les seules qu'il parvint à déchiffrer dataient de la fin du XVIII siècle. Plus haut, une crypte sans doute, envahie par les mauvaises herbes ; le toit et les parois avaient cédé, et, à peine plus loin, un autre monument s'était écroulé sur le chemin.

D'autres cryptes et monuments en piteux état lui succédaient ; loin de soupçonner des actes de vandalisme, Jeremy y vit plutôt les signes d'une inévitable détérioration naturelle. Rien ne laissait supposer non plus que l'on avait enterré quelqu'un au cous des trente dernières années, dans ce cimetière apparemment abandonné.

Il s'arrêta à l'ombre du magnolia en se demandant à quoi ressemblait le lieu par une nuit de brouillard. Probablement sinistre, ce qui permettait à l'imagination de vagabonder. Mais s'il y avait de mystérieuses lueurs, d'où provenaient-elles? Les fantômes n'étaient probablement que la réverbération d'une certaine lumière à travers le prisme des gouttelettes d'eau en suspens dans le brouillard ; toutefois, il n'y avait qu'une route à proximité et, en l'occurrence, les gens auraient fait le rapprochement depuis longtemps.

Il lui faudrait une bonne carte topographique de la région pour compléter celle qu'il venait d'acheter. La biblothéque locale lui en procurerait peut-être une. En tous cas, il comptait y effectuer des recherches sur l'histoire du cimetiére et de la ville tout entière. Quand il saurait à quel moment les lumières étaient apparues pour la première fois, il aurait une idée plus nette de leur origine. Evidemment, il devrait passer quelques soirées dans ce lieu lugubre, si le brouillard se montrait coopérant.

Pendant un moment, il fit le tour du terrain en prenant des photos. Il n'avait pas l'intention de les publier ; elles seraient un simple élément de comparaison, au cas où il trouverait des vues antérieurs du cimetière. Il voulait savoir comment il s'était modifié au fil des ans, et avait intérêt à s'informer sur la date ou la cause des premiers dommages et leur évolution.

Il prit aussi une photo du magnolia, le plus grand qu'il ait jamais vu. Son tronc sombre était desséché, et les branches basses auraient fait sa joie et celle de ses frères, quand ils étaient enfants. A condition de ne pas être au milieu des morts...

Comme il survolait ses photos numériques pour s'assurer qu'elles étaient convenables, il distingua un mouvement du coin de l'oeil.

Son regard se posa alors sur une jeune femme qui marchait vers lui. Vêtue d'un jean, de bottes, et d'un pull bleu pâle, assorti à son sac en toile, elle avait les cheveux châtains, dénoués sur ses épaules. Sa peau, légèrement ambrée, se passait de maquillage, mais il fut surtout sensible à la couleur de ses yeux; de loin, ils tiraient sur le violet.

L'inconnue avait certaineemnt garé sa voiture derriére la sienne.

Il se demanda un instant si elle allait le proer de partir. Me cinmetière était peut-être interdit désormais au public. A moins que sa visite ne fût une simple coincidence. Elle continua à s'approcher de lui. Une coïncidence plutôt réjouissante, songea Jeremy. Il se redressa en glissant l'appareil photo dans son étui et sourit.

- Bonjour, mademoiselle !

LA jeune fille ralentit légèrement le pas, comme si elle venait de remarquer sa présence. Une certaine curiosité se lisait sur son visage. Allait-elle s'arrêter? Il crut l'entendre rire, tandis qu'elle le dépassait.

Haussant les sourcils d'un air intrigué, il la vit s'éloigner sans même se retourner.

- Hé! appela-t-il, en esquissant un pas pour la suivre.

Au lieu de s'arrêter, elle tourna la tête vers lui, en marchant à reculons. Jeremy remarqua à nouveau son air inquisiteur.

- Ça ne se fait pas de dévisager les gens, lança-t-elle. Les femmes apprécient les homme capables d'une certaine subtilité...

Elle se retourna, ajusta son sac de toile sur son épaule, et poursuivit son chemin. Jeremy, ébahi, l'entendit rire au loin. Pour une fois, il ne savait pas sur quel pied danser.

Bon, elle ne daignait pas s'intéresser à lui. C'était son droit ! Mais elle aurait pu, au moins, lui dire bonjour. L'arrogance des gens du sud? Une réelle lassitude, si tous les hommes cherchaient à la draguer? A moins qu'elle n'ait pas apprécié d'être surprise en train de...

Mais que faisait-elle?

Jeremy soupira : sa curiosité de journaliste lui compliquait la vie. De quoi se mêlait-il? Et puis, il se trouvait dans un cimetière. Elle était probablement venue là pour honorer ses morts, selon l'usage.

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Extrait ajouté par bamby114 2013-07-20T09:24:35+02:00

Cher monsieur,

Je me nomme Doris McClellan, et j'ai lu, il y a deux ans, dans le Scientific Amerian, votre article sur l'esprit frappeur qui hante le manoir de Brenton, à New-port, Rhode Island. J'ai songé alors à vous écrire; je ne sais pourquoi, je ne l'ai pas fait. Un simple oubli, sans doute, mais, étant donné la tournure que prennent les événements dans ma ville, j'estime qu'il est grand temps que je vous informe.

Avez-vous entendu parler du cimetière de Bonne Creek en Caroline du Nord? Selon la légende, il serait hanté par les esprits d'anciens esclaves. En hiver - de janvier à la fin février -, des lueurs bleutées ont l'air de danser sur les pierres tombales quand le brouillard est dense. Les uns parlent de lumières stroboscopiques, les autres prétendent qu'elles ont la taille de balles de basket. Je les ai vues moi aussi, et elles me font penser à des disques scintillants.

Des gens de Duke University sont venus enquêter l'année dernière; des météorologues ou des géologues, je ne sais plus exactement. Ils ont vu ces lumières et n'ont pas pu en expliquer l'origine ; le journal local a donc fait tout un plat de cette affaire. Si vous descendez jusqu'ici, vous pourrez peut-être trouver une explication au phénomène.

Au cas où vous souhaiteriez des précisions complémentaires, appelez-moi à Herbz, un restaurant de notre ville.

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