Nicholas Sparks
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Note moyenne : 8.2/10Nombre d'évaluations : 2 669
1 Citations 1 717 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Je ne connaissais pas du tout Nicholas Sparks, et franchement c'était une excellente découverte.
J'ai beaucoup aimé le thème de ce livre. Je pense qu'il ne faut pas lire le résumé qui divulgâche un peu l'histoire, certains éléments annoncés comme déclencheurs n'arrivent qu'à la moitié du livre.
Two by two (Tous les deux en français) est un livre qui parle d'un homme, d'un père, qui se retrouve en difficulté dans sa vie. Sa vie professionnelle prend un tournant radical et des tensions commencent à apparaître dans son couple. Heureusement, et c'est là toute la beauté du livre, à travers ces difficultés il va finalement retrouver sa fille, London, et apprendre à la connaître.
J'ai trouvé le livre très beau et très juste. La relation père-fille n'est pas souvent abordée dans la littérature et j'ai trouvé très belle l'histoire de ce père qui redécouvre sa fille.
Dans un premier temps Russell et sa femme Vivian, occupent un peu les rôles attribués traditionnellement aux membres d'un couple : la femme mère au foyer et le père gagne-pain. Puis à travers le changement de carrière de Russell, ces différents rôles seront remis en question.
Ce livre parle avant tout d'un couple qui bat de l'aile, qui essaie de se réconcilier mais avec certaines difficultés, et de la difficulté d'être parent lorsqu'on n'est plus sur la même longueur d'onde avec l'autre parent.
J'ai particulièrement apprécié, au début, que Vivian ne soit pas dépeinte comme la grande méchante. A travers ses actes, et grâce aux tentatives d'interprétation de Russell on peut comprendre que la vie n'est pas aussi simple qu'elle le semble pour elle. L'évolution professionnelle de Russell, les retrouvailles
Et c'est justement parce que j'ai aimé cette nuance au début que son personnage m'a dérangé dans le dernier quart du livre où je trouvais qu'il devenait trop caricatural.
La fin du livre m'a vraiment fait pleurer, et j'ai bien aimé l'épilogue qui, même s'il semble un peu facile, sonne juste.
En résumé ce livre, c'est à la fois un couple qui essaie de survivre mais se déchire et un père et sa fille qui apprennent à se connaître, en faisant des erreurs, mais toujours de leur mieux.
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À peine débuté que j'ai tiqué.
Comment ça les négations sont mangées ?!!
"Fais pas ça", "me dis pas"...etc.. et dans la bouche de tous les personnages !! Adultes, ados, enfants n'utilisent jamais le "ne". Et c'est laid. :(
Ça m'a piqué les yeux tout du long. Pire ! J'ai mis un temps fou à rentrer dans l'histoire tellement c'est polluant. Mauvaise traduction ? Vilaines tournures de l'auteur ? No lo se.
Heureusement la multiplicité des points de vue aide à l'immersion.
J'ai eu le coeur serré par Steeve, souris aux interventions de Jonah, haussé les sourcils du fait de Ronnie, haï viscéralement Marcus, apprécié grandement Will, grincé des dents à cause de Blaze...et j'en passe !
J'ai donc réussi à faire abstraction du défaut d'écriture, et même des coquilles rencontrées.
Mais vers la fin du texte il y en a une telle recrudescence...que cela m'a sorti de l'histoire !
Résultat ? Tout en ayant les larmes aux yeux de la situation en cours, je rongeais mon frein de voir le bout de ce phrasé pauvre. (Alors qu'on a pourtant des déclarations père/fille d'une tendresse positivement magnifique !)
Pour la révélation incendie, ça n'en est pas une, on avait déjà compris. Et le pataquès qui en découle (avec des notions du bien et du mal très changeantes) me laisse perplexe.
La dernière page tout en mièvrerie m'en a même fait lever les yeux au ciel au lieu de me réjouir.
Demi-teinte donc pour ce roman. Je me suis d'ailleurs fais la réflexion que les films issus des romans de Nicholas Sparks sont mieux que la version papier originale. C'est ballot ! ^^
(Il est bon scénariste donc.)
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Il y a une belle histoire, c'est mièvre, c'est mignon. Je suis en période où j'apprécie de lire des histoires romantiques, le ciel est bleu, la vie est rose. Malgré la tragédie qui conclue le livre, je n'ai pas eu de sentiment de tristesse mais une plénitude en fait. Je me suis sentie bien après la lecture du livre. J'ai trouvé les deux adolescents, Ronnie et Will, agréable à suivre. Leurs histoires est sympathique. Le père est compréhensif, sacré zénitude, je ne suis pas sure que je pourrai avoir les mêmes réactions dans son cas. En bref, une lecture détente/loisirs très appréciable.
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L'histoire ne m'a pas captivé, le début est assez lent et j'ai décroché, j'avais envie de plus de rythme.
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J'avais vu le film à l'époque, je savais donc à quoi m'attendre mais cela ne m'a pas empêché de pleurer toutes les larmes de mon corps, la dernière partie étant extrêmement dur à lire car il est question de fin de maladie, de fin de vie, de pardon, d'amour. C'est une belle histoire, douloureuse mais lumineuse ! La romance n'est pas le centre du roman pour moi, c'est vraiment la reconstruction de Ronnie et sa relation avec son père qui le sont, d'où le titre qui prend tout son sens. Les multiples points de vue apportent un vrai plus à l'histoire et cette histoire est bien riche en émotion. C'est vraiment la lecture idéale pour la saison estivale mais il faut se munir d'une boîte de mouchoirs car elle ne peut laisser insensible. Les romans de Nicholas Sparks, bien que "simples" au premier abord, arrivent toujours, d'une manière ou d'une autre, à m'émouvoir.
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Si vous avez besoin d'une bonne lecture sans prise de tête et un brin émouvante, les romans de Nicholas Sparks sont vraiment l'idéal. J'ai plutôt passé un bon moment avec ce titre qui parle de deuil, du fait d'aller de l'avant, d'apprendre à aimer à nouveau... et il y a une véritable intrigue autour de la psychopathie, de l'obsession, avec un tueur en série qui m'a fait froid dans le dos. J'ai cru que je n'allais pas pleuré durant ce roman mais j'ai eu tort, les larmes ont coulé vers la fin. L'écriture de Nicholas Sparks en soi n'a rien d'exceptionnelle, c'est écrit simplement, de même que ses histoires sont relativement "faciles" mais il y a un quelque chose, un quelque chose qui arrivera toujours à toucher la corde sensible du lecteur.
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J'ai été très touchée par cette histoire en partie vraie, les personnages principaux ont réellement existé et l'auteur s'en est inspiré pour écrire ce livre. J'ai trouvé ce bouquin bouleversant, passionnant et romantique. L'auteur m a embarqué dans son récit, une lecture difficile à mettre de côté une fois commencée. Les personnages sont attachants. Une belle romance comme on les aime. Je le recommande !
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Mignonne petite lecture légère.
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https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2025/01/24/retrouvailles-nicholas-sparks/
Retrouvailles est un roman de Nicholas Sparks mettant en scène Trevor, un ancien médecin blessé dans l’explosion d’un hôpital en Afghanistan, et qui souffre depuis de stress post-traumatique. De retour dans la maison de son grand-père après le décès de celui-ci, il fait la connaissance de Nathalie, une énigmatique shérif adjointe qui ne le laisse pas indifférent…
Un jour, il faudra qu’on m’explique comment cet écrivain peut être réputé pour ses romances. Non parce qu’autant certains de ses livres ne sont pas dépourvus de qualités (bon, celui-là, si, ou presque, mais j’y reviendrai), autant ses histoires d’amour sont au mieux médiocres, au pire calamiteuses.
Les personnages partagent deux bières, passent cinq pages à faire griller un steak (oui, oui, cinq pages, c’est vous dire à quel point c’est le genre de récit qui tient en haleine…), et bim, c’est l’amour fou ! Absolument pas crédible. Je crois d’ailleurs qu’à ce niveau, Retrouvailles touche le fond, dépassant de loin Un choix.
Il n’y a aucune alchimie entre Trevor et Nathalie, et j’ai trouvé cette dernière absolument antipathique. « Je vous repousse, mais en réalité je vous aime, mais notre relation est impossible, mais je ne peux pas vous dire pourquoi… » Euh… Bah si, en fait ?
Attention, spoilers dans ce paragraphe ! POURQUOI est-ce qu’elle ne s’est pas montrée honnête depuis le début, au lieu d’accabler un pauvre type déjà traumatisé avec ses volte-face ? Surtout qu’elle l’admet elle-même, TOUT le patelin était au courant de son drame personnel, donc N’IMPORTE QUI aurait pu révéler N’IMPORTE QUOI ! Fin des spoilers !
Que de temps aurait-on gagné si les personnages étaient capables de s’exprimer, avec des mots de surcroît ! Là, on tourne en rond pendant les deux tiers du livre, avec un mystère en filigrane, dont on devine facilement l’élément autour duquel il gravite.
Et quand je dis « on », je parle du lecteur, bien sûr, parce que Trevor ne peut pas penser à Nathalie et avoir la lumière à tous les étages concernant son grand-père et les évidences qui sautent aux yeux. Quoique si, elles finiront par lui venir en un claquement de doigts dès lors qu’il aura décidé de s’y pencher pour de bon, mais je ne vous dit pas combien de steaks auront cuit avant ça…
Je concédais plus haut que les œuvres de Nicholas Sparks possédaient tout de même (pour la plupart) des qualités, et j’en retiens une en particulier. S’il est, à mes yeux, un piètre auteur de romance, je reconnais en revanche volontiers son talent pour le drame.
Le problème ? Eh bien, ici, il est survolé. Nathalie étouffe tout, Nathalie gangrène tout, alors que Callie est un personnage nettement plus intéressant. Callie, avec qui Trevor n’aura au bout du compte qu’une poignée d’interactions, et dont le devenir et les problèmes seront (trop) vite réglés, surtout au regard de leur envergure.
On passera là encore davantage de temps sur ceux de Nathalie, qui ne m’ont à l’inverse inspiré ni compassion ni émotions. Attention, spoilers jusqu’à la fin du paragraphe ! Ce qui arrive à son mari est moins une épreuve qu’un écueil, et on se doute bien que l’auteur finira par s’en débarrasser comme d’un vieux déchet pour permettre à ses protagonistes de bénéficier d’une happy end. De fait, difficile d’éprouver de l’empathie pour un type qui apparaît d’entrée comme destiné à l’abattoir… Fin des spoilers !
J’ai longuement hésité quant à la note que j’allais donner à ce roman. L’histoire de Callie étant loin de contrebalancer la pénible intrigue de Nathalie, il ne vaut pas la moyenne à mes yeux, maiiiiis… je la lui accorde malgré ça. Parce qu’il y a des abeilles. Beaucoup d’abeilles. Et j’aime les abeilles, à défaut d’avoir aimé cette œuvre.
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J'ai vu il y a longtemps le film tiré du livre donc je n'ai eu guère de surprise. Mais mis à part le fait que j'ai eu du mal avec la narration à la troisième personne j'ai apprécié la plus de l'auteur.
Avant d'être une histoire d'amour, il s'agit avant tout d'une histoire d'amour filiale qui m'a touché plus que tout.
Afficher en entierOn parle de Nicholas Sparks ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
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Dédicaces de Nicholas Sparks
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Editeurs
Michel Lafon : 20 livres
Pocket : 9 livres
Michel Lafon Poche : 7 livres
France Loisirs : 5 livres
Éditions Robert Laffont : 4 livres
Libra Diffusio : 3 livres
Grand Central Publishing : 3 livres
Sphere Books : 2 livres
Biographie
Nicholas Sparks est l’un des conteurs les plus aimés au monde. Tous ses livres ont été des best-sellers du New York Times, avec plus de 105 millions d’exemplaires vendus dans le monde, dans plus de 50 langues, dont plus de 75 millions d’exemplaires rien qu’aux États-Unis.
Sparks a écrit l’une de ses histoires les plus connues, The Notebook, sur une période de six mois à l’âge de 28 ans. Il a été publié en 1996 et il a suivi avec les romans Message in a Bottle (1998), A Walk to Remember (1999), The Rescue (2000), A Bend in the Road (2001), Nights in Rodanthe (2002), The Guardian (2003), The Wedding (2003), True Believer (2005) et sa suite, At First Sight (2005), Dear John (2006), The Choice (2007), The Lucky One (2008), The Last Song (2009), Safe Haven (2010), The Best of Me (2011), The Longest Ride (2013), See Me (2015), Two by Two (2016), Every Breath (2018), The Return (2020) et The Wish (2021) ainsi que les mémoires de 2004 Three Weeks With My Brother, co-écrites avec son frère Micah. Son vingt-troisième roman, Dreamland, a été publié le 20 septembre 2022.
Les adaptations cinématographiques des romans de Nicholas Sparks, dont The Choice, The Longest Ride, The Best of Me, Safe Haven (sur lequel il a tous servi de producteur), The Lucky One, Message in a Bottle, A Walk to Remember, The Notebook, Nights in Rodanthe, Dear John et The Last Song, ont eu un brut mondial cumulé de plus de trois quarts de milliard de dollars. The Notebook a également été adapté en comédie musicale, avec la musique et les paroles d’Ingrid Michaelson.
Sparks vit en Caroline du Nord. Il contribue à une variété d’organismes de bienfaisance locaux et nationaux, et est un contributeur majeur au programme d’écriture créative (MFA) de l’Université de Notre Dame, où il offre des bourses d’études, des stages et une bourse annuelle. Il a cofondé The Epiphany School à New Bern, en Caroline du Nord, en 2006. En tant qu’ancien athlète boursier complet (il détient toujours un record d’athlétisme à l’Université de Notre Dame), il a également passé quatre ans à entraîner des athlètes d’athlétisme à l’école secondaire publique locale. En 2009, l’équipe qu’il a entraînée à la New Bern High School a établi un record du monde junior en salle au 4×400 mètres, ainsi que des records nationaux des lycées américains au 800 QN et au 1600 QNI. Cliquez pour regarder la vidéo Runner’s World avec Nicholas.
La Fondation Nicholas Sparks, une organisation à but non lucratif 501 (c) (3), a été fondée en 2011 pour fournir des bourses d’études et financer des programmes éducatifs pour les jeunes défavorisés et défavorisés. Entre la fondation et les dons personnels de la famille Sparks, plus de 15 millions de dollars ont été distribués à des organismes de bienfaisance, des programmes de bourses d’études et des projets méritants. Parce que la famille Sparks couvre toutes les dépenses opérationnelles de la fondation, 100% des dons sont consacrés à des programmes.
sources : site de l'auteur
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