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-Aïe ! quelque chose m'est entré dans l’œil !... Quelque chose m'a piqué le cœur !...

Gerda lui prit le visage entre ses mains et regarda attentivement dans les yeux qui clignotaient.

-Je ne vois rien, dit-elle. Ce n'était qu'une poussière.

-Oui, je crois que c'est parti, répondit Kay en se frottant les yeux.

Hélas ! non, ce n'était pas parti ! C'était un tout petit morceau du miroir enchanté que le Diable a fabriqué un jour, qui fait paraître petit et laid ce qui est beau et grand.

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(Extrait de "La Reine des Neiges")

Le traîneau s'arrêta soudain et son conducteur se leva. Son manteau et son bonnet de fourrure n'étaient que de neige éclatante. Kay écarquilla les yeux et vit se dresser devant lui une grande et belle dame d'une blancheur immaculée.

La Reine des Neiges !

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(Extrait de "Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil")

Personne au monde ne sait autant d'histoires que Ferme-l’Œil. En voilà un qui sait raconter ! Vers le soir, lorsque les enfants sont assis tranquillement à la table ou sur leur petit banc, arrive Ferme-l’Œil.

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(Extrait de "Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil")

Lundi.

"Prête un peu l'oreille, dit Ferme-l'oeil, le soir, après avoir mis au lit Hialmar ; maintenant c'est à moi de faire mon métier."

Et alors toutes les fleurs dans leurs pots devinrent de grand arbres qui étendaient leurs longues branches jusque sur le tapis et le long des murs, si bien que toute la chambre avait l'air d'un magnifique bosquet ; et toutes les branches étaient couvertes de fleurs, et chaque fleur était plus belle qu'une rose.

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(Extrait de "Les cygnes sauvages")

Quand le vent faisait frémir les rosiers épanouis devant la maison, elle murmurait aux roses :

- Qu'y a-t-il de plus beau qu'une belle rose !

Mais les rosiers balançaient leurs lourdes fleurs et lui répondaient :

- C'est la petite Elisa.

Chaque dimanche, la vieille paysanne s'asseyait à la porte et lisait son psautier. Le vent effeuillait les pages et disait au Saint Livre :

- Qui peut être plus pieux que toi !

- C'est la petite Elisa ! répondait le psautier.

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(Extrait de "Les cygnes sauvages")

La jeune fille était trop innocente et trop pieuse pour que la pire des magies eût quelque effet sur elle.

Exaspérée, la méchante reine se mit à la frotter avec du brou de noix qui lui noircit la peau ; elle enduisit son visage d'une pommade puante et saccagea sa belle chevelure bouclée. Dès lors, il était impossible de mettre un nom sur cet épouvantail.

Son père la fit venir peu après, et tant de laideur l'indigna : il jura que ce n'était pas sa fille.

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(Extrait de "Les cygnes sauvages")

- Nous autres, tes frères, lui dit l'aîné, nous sommes condamnés à voler comme des cygnes sauvages tant qu'il fait jour, et, dès que le soleil se couche, nous reprenons notre forme humaine.

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(Extrait de "Ib et la petite Christine")

C'était une bohémienne. Elle leur dit quelques mots, mais les enfants avaient si peur qu'ils ne purent d'abord la comprendre. Elle ouvrit soudain sa main gauche et leur montra trois belles noisettes au creux de sa paume.

- Ce sont des noisettes magiques, leur dit-elle doucement. Elles renferment les plus belles choses du monde.

Ib s'enhardit et la regarda dans les yeux.

- Veux-tu nous les donner ? lui demanda-t-il.

- Bien volontiers !

Elle lui donna les trois noisettes et se mit à en cueillir d'autres sur le noisetier. Ib et Christine examinèrent son présent en ouvrant de grands yeux. Ib en choisit une.

- Il y a peut-être dans celle-ci une voiture à deux chevaux, dit-il à la bohémienne.

-Mieux que cela, répondit-elle : un carrosse doré tiré par deux chevaux caparaçonnés d'or !

- Donne-la moi ! dit Christine à Ib.

Ib donna la noisette.

- Et dans celle-là ? reprit-il. Peut-être un châle aussi beau que celui de Christine...

- Il y en a dix encore plus beaux, dit la bohémienne, avec une douzaine de robes en soie, des souliers brodés, un chapeau à voilette... et j'en passe !

- Je la veux aussi ! s'écria Christine.

Ib la lui donna sans hésiter. Restait la troisième noisette, qui était toute noire.

- Celle-là, tu peux la garder, lui dit Christine.

- Qu'y a-t-il dedans ? demanda Ib à la bohémienne.

- Des trois, répondit-elle en souriant, c'est celle qui contient le plus précieux. Ce qu'il y a de meilleur au monde...

Ib la glissa précieusement dans sa poche.

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(Extrait de "Les cygnes sauvages")

Le roi du pays était parmi eux ; il aperçut Elisa et s'étonna fort de trouver pareille beauté en un lieu si désert.

- Que fais-tu ici, ma belle enfant ? lui demanda-t-il en s'avançant.

Elisa se contenta de secouer la tête. Elle n'osait parler, le salut de ses frères étant en jeu, et cacha prudemment ses mains gonflées sous son tablier pour les soustraire à la vue du roi.

- Viens avec moi, lui dit-il, je ne veux pas que tu restes ici. Si tu es aussi bonne que belle, je t'habillerai de soie et de velours, je poserai une couronne d'or sur ta tête et tu habiteras mon plus beau château.

Et il la souleva de terre pour l'asseoir devant lui sur son cheval. Elisa pleurait de désespoir et se tordait les mains.

- Je ne veux que ton bonheur, lui assura le roi. Tu me remercieras bientôt de ma décision.

Et il partit au galop dans la montagne, avec tous les chasseurs qui lui faisaient cortège.

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(Extrait de Les Galoches du bonheur)

La messagère de la Félicité avoua qu'elle n'avait rien accompli d'exceptionnel et que le meilleur de sa tâche restait à faire.

- C'est aujourd'hui mon anniversaire, dit-elle, et l'on m'a chargée en cette heureuse occasion de remettre aux hommes une certaine paire de galoches. Les voici ! Elles ont ceci de spécial que celui qui les chausse se trouve transporté aussitôt à l'endroit et à l'époque qu'il souhaite. N'est-ce pas un excellent moyen pour rendre heureux l'homme le plus exigeant ?

- Je n'en crois rien, dit la Douleur. Il n'en résultera que des ennuis pour leur propriétaire : il bénira le jour où il pourra se débarrasser de ce cadeau encombrant.

- C'est ce que nous verrons ! répliqua l'autre...

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