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- Tu sens comme un train.

- Avec une énorme cheminée, répliqua-t-il en lui emboîtant le pas.

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Spoiler(cliquez pour révéler)- Je n'ai jamais couché avec un homme, précisa Annabelle avant de lui adresser un regard interrogateur. Etes-vous contrarié par ce que je ne l'ai pas dit plus tôt ? Je suis désolée. Mais ce n'est pas le genre de choses qu'on peut simplement lâcher à l'heure du thé ou dans le hall d'entrée... "Voici votre chapeau, et, au passage,

je suis vierge..."

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— Peut-être a-t-il rendez-vous avec quelqu'un. Dans ce cas, Annabelle n'a pas intérêt à foncer comme un rhinocéros en chaleur.

— Pourrais-tu trouver une métaphore plus flatteuse, très chère? demanda Annabelle d'une voix douce.

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— Que... qu'est-ce que vous voulez dire? bégaya Burdick, visiblement indigné.

— Je veux dire que j'infligerai la pire des punitions, mentale, physique et financière, au premier qui osera pénétrer sur mon territoire.

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« - J'ai passé une partie de ma jeunesse à transporter des quartiers de boeuf et de porc jusqu'à la boucherie de mon père. Vous porter est bien plus agréable.

- Comme c'est aimable, marmonna Annabelle, les yeux fermés. Toute femme rêve de s'entendre dire qu'on la préfère à une vache morte. »

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« Hunt la rattrapa en deux enjambées et, refermant les mains sur ses épaules, il la fit pivoter.

- Fini de jouer, à présent, déclara-t-il en la secouant légèrement. Dites-moi ce que vous voulez. Immédiatement. Avant que je ne perde le peu de patience qu'il me reste.

Annabelle fut saisie de vertige en sentant son odeur de savon et de linge frais si délicieusement virile. Elle voulait s'insinuer sous ses vêtements.... elle voulait qu'il l'embrasse jusqu'à perdre connaissance. Elle le voulait, lui, l'arrogant, le méprisable, l'envoûtant, le séduisant Simon Hunt. Mais il serait impitoyable, elle le savait. Son orgueil menacé se révolta, et c'est d'une voix étranglée qu'elle répondit :

- Je ne peux pas.

Hunt la dévisagea, les yeux brillants d'amusement.

- Vous pouvez avoir ce que vous voulez, Annabelle ... A la seule condition de le demander. »

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Le silence suffocant s'éternisa jusqu'à ce que, ayant dégluti avec peine, Hunt demande d'une voix enrouée :

-Je ne devrais sans doute pas poser la question. Mais que diable faites-vous ? Ces mots tirèrent Annabelle de sa paralysie. Elle ne pouvait certes pas rester ici et discuter avec lui en petite tenue. Mais sa dignité - ou ce qu'il en restait - lui interdisait de piailler comme une idiote en se précipitant vers ses vêtements comme Evangeline et Daisy l'avaient fait. Optant pour un compromis, elle alla récupérer sa robe à grands pas et la plaqua contre elle avant de faire de nouveau face à Simon Hunt.

-Nous jouons au Rounders, répondit-elle d'une voix bien plus haut perchée qu'à l'accoutumée. Hunt jeta un regard alentour avant de revenir à elle.

-Pourquoi vous...

-On ne peut pas courir correctement avec des jupes, coupa Annabelle. J'aurais pensé que c'était évident. Hunt détourna le visage en hâte, mais pas assez vite pour qu'elle ne remarque pas son sourire.

-N'ayant jamais essayé, il faudra que je vous croie sur parole. Derrière elle, Annabelle entendit Daisy dire à Lillian d'un ton accusateur :

-Tu prétendais que personne ne venait jamais dans cette prairie !

-C'est ce qu'on m'avait dit, répondit Lillian en se plaçant au milieu de la corolle formée par sa robe, puis en se baissant pour s'emparer du corsage et le remonter

-Vos renseignements étaient exacts, mademoiselle Bowman, intervint le comte tout en gardant les yeux soigneusement fixés au loin. Ce champ n'est pas fréquenté, habituellement.

-Dans ce cas, pourquoi êtes-vous là ? répliqua Lillian d'un ton accusateur, comme si c'était elle, et non Westcliff, le propriétaire du domaine. Le comte tourna brusquement la tête, posa un regard incrédule sur la jeune Américaine, puis détourna de nouveau les yeux.

-Notre présence est un pur hasard, répliqua- t-il froidement. Je souhaitais inspecter la partie nord-ouest de mon domaine aujourd'hui. Il souligna le « mon » distinctement quoique subtilement.

-Alors que M. Hunt et moi-même étions sur le sentier, nous avons entendu vos cris. Nous nous en sommes inquiétés, et sommes venus dans l'intention de proposer notre aide si besoin était. Pas un instant je n'ai songé que vous puissiez utiliser ce champ pour... pour...

-Jouer au Rounders-en-culottes, compléta Lillian charitablement, tout en passant les bras dans ses manches. Le comte parut incapable de répéter cette phrase ridicule. Il fit volter son cheval et lança, par-dessus son épaule :

-J'ai l'intention d'être frappé d'amnésie dans quelques minutes. Avant cela, je suggérerais que vous vous absteniez à l'avenir de toute forme de nudité en plein air. D'autres personnes vous surprenant ainsi ne se montreraient peut-être pas aussi indifférentes que M. Hunt et moi.

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Elle atteignait le premier étage lorsqu'un gros homme apparut sur le palier. Au-dessus de son visage rouge et luisant, une mèche se dressait sur sa tête comme une crête de coq. Il la dévisagea avec un petit sourire suffisant. -Bonsoir, lord Hodgeham, articula Annabelle avec raideur, ravalant la honte et la fureur qui lui nouaient sa gorge. Hodgeham était l'une des rares personnes au monde qu'elle haïssait de toutes ses forces. Soi- disant ancien ami de son père, il passait épisodiquement, mais jamais aux horaires de visite habituels. Il arrivait tard le soir et, contre toutes les règles de la bienséance, restait seul dans une chambre avec la mère d'Annabelle, Philippa. Dans les jours qui suivaient ses visites, Annabelle constatait que quelques-unes de leurs dettes les plus pressantes avaient été mystérieusement réglées. Et que sa mère se montrait anormalement nerveuse, irritable et peu loquace. Il était presque impossible pour Annabelle d'imaginer que sa mère, si à cheval sur les principes, permettait à qui que ce soit d'user de son corps contre de l'argent. Pourtant, on ne pouvait tirer une autre conclusion de ces visites, ce qui l'emplissait de honte et d'une rage impuissante. Sa colère n'était pas dirigée uniquement contre sa mère. Mais aussi contre leur situation, et contre elle-même qui n'avait pas encore réussi à décrocher un mari. Il lui avait fallu longtemps pour se rendre compte que, si jolie et charmante fût-elle, et quel que fût l'intérêt qu'un gentleman semblait lui montrer, elle ne recevrait pas de demande en mariage.

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Comme il se penchait vers elle, Annabelle ravala un haut-le-cœur tant l'odeur de son corps - un mélange de sueur rance et d'eau de Cologne - était répugnante.

-Peut-être que la prochaine fois, c'est vous que j'essaierai, murmura-t-il. Sans doute s'attendait-il qu'elle fonde en larmes, rougisse ou le supplie. Mais elle se contenta de le fixer d'un regard froid.

-Espèce de vieil imbécile vaniteux, si je devais devenir la maîtresse de quelqu'un, vous ne croyez pas que je pourrais trouver mieux que vous ? Hodgeham grimaça un sourire, quoique au prix d'un effort visible qui ravit Annabelle.

-Il n'est pas sage de votre part de vous faire un ennemi de moi. Quelques paroles bien placées, et je pourrais détruire la réputation de votre famille sans espoir de rachat. Si j étais à votre place, continua-t-il en la parcourant d'un regard hautain, je ne me montrerais pas aussi dédaigneuse, avec mes oripeaux et mes bijoux en verroterie.

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- Après m'avoir donné les indications de base, elle m'a dit que je devais vous laisser faire ce que vous voulez, en essayant de ne pas me plaindre si je n'aimais pas quelque chose. Et, au cas où cela deviendrait trop déplaisant, elle m'a suggéré de penser à l'énorme compte en banque que vous allez m'ouvrir.

Annabelle regretta ses paroles dès qu'elles eurent franchi ses lèvres, car elle s'attendait que Simon s'offense d'une telle candeur. A tort.

- Voilà qui change, fit-il en riant. D'ordinaire, on conseille de penser à l'Angleterre. Dois-je vous séduire en vous susurrant à l'oreille des transferts de soldes et des taux d'intérêt?

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