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Liste des extraits

À Deux-Rivières, les habitants de Bac-sur-Taren avaient assez mauvaise réputation. Un tas de femmes et d'hommes sournois et malhonnêtes ! Quand on leur serrait la main, disait un proverbe, il était prudent de recompter ses doigts après...

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- À la guerre, mon garçon, des crétins tuent d'autres crétins pour défendre des causes imbéciles. C'est tout ce qu'il convient de savoir. Moi, je suis ici pour l'art.

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Et tourne la Roue du Temps

Et passent les Ères successives,

Laissant leur moisson de souvenirs

Qui deviennent légendes, puis mythes, puis oubli

Avant que la Roue ramène les Ères

Fixées sur la trame à leur place éternelle

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Au loin dans la nuit, les loups accompagnèrent d'un hurlement le fin croissant de la nouvelle lune qui glissai vers l'horizon et il frissonna.

Demain, il serait bien assez temps de recommencer à se soucier des loups. Il se trompait. Ils attendaient de l'accueillir dans ses rêves.

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Que la lumière me sauve des hommes qui pensent avec le poil qu'ils ont sur la poitrine. Je ne sais d'ailleurs pas s'il en existe d'autres.

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Cette fois, le cheval ne faisait aucun bruit. Dans un silence à donner le frisson, le cavalier noir revenait, sa monture sombre s'arrêtant tous les quelques pas en suivant lentement la route dans l'autre sens. Les rafales de vent augmentèrent, gémissant à travers les arbres ; le manteau du cavalier demeura d'une immobilité de marbre. Chaque fois que le cavalier marquait une pause, cette tête encapuchonnée se tournait d'un côté à l'autre, le cavalier scrutant la forêt, cherchant. Juste en face de Rand, le cavalier stoppa de nouveau, l'ouverture perdue dans l'ombre du capuchon vira vers l'endroit où il était accroupi au-dessus de son père.

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-Non, Sara ! implora-t-il. C’est inutile de prendre la mouche. Inutile ! Que ferais-je sans toi ? Cirri est un très bon chat. Un chat d’élite. Le meilleur chat de Baerleon ! Si d’autre clients se plaignent, je leurs dirai d’être plutôt satisfait parce qu’il fait très bien son travail. Oui, satisfaits et reconnaissants ! Sara, tu ne peux pas me laisser tomber…

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La feuille vit le temps prescrit et ne lutte pas contre le vent qui l'emporte. La feuille ne cause aucun mal et finit par tomber pour nourrir les feuilles nouvelles. Ainsi devrait-il en être avec tous les hommes. Et les femmes.

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Dois-je retourner chez moi ? »

« Vous devez aller à Rhuidean. »

« Pourquoi dois-je y aller ? »

« Si vous n’allez pas à Rhuidean, vous mourrez. »

« Pourquoi mourrais-je si je ne vais pas à Rhuidean ? »

« Vous aurez esquivé le fil du destin, laissé votre destin à la dérive des vents du temps et vous serez tué par ceux qui ne veulent pas que ce destin s’accomplisse. »

« De quel destin parlez-vous ? Quelle destinée ? »

« Epouser la Fille des Neufs Lunes ! Mourir et vivre à nouveau et vivre encore une fois une partie de ce qui était ! Renoncer à la moitié de la lumière du monde pour sauver le monde ! Va à Rhuidean espiègle ! Va joueur ! Va ! »

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Cette fois, le cheval ne faisait aucun bruit. Dans un silence à donner le frisson, le cavalier noir revenait, sa monture sombre s'arrêtant tous les quelques pas en suivant lentement la route dans l'autre sens. Les rafales de vent augmentèrent, gémissant à travers les arbres ; le manteau du cavalier demeura d'une immobilité de marbre. Chaque fois que le cavalier marquait une pause, cette tête encapuchonnée se tournait d'un côté à l'autre, le cavalier scrutant la forêt, cherchant. Juste en face de Rand, le cavalier stoppa de nouveau, l'ouverture perdue dans l'ombre du capuchon vira vers l'endroit où il était accroupi au-dessus de son père.

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