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Son cri d’angoisse et de terreur se tut. Ses mains se plaquèrent sur les côtés de sa tête comme s’il voulait la broyer.

—Un mensonge, hoqueta-t-il. Un mensonge – et elle ne le sait pas ! Elle ne sait pas que celui qu’elle aimait n’était… (il ferma les yeux)… pas réel.

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quand il mourra de vieillesse, tu seras encore assez jeune pour profiter de la vie. Regarde celle-ci. N’est-elle pas ravissante ?

—Assez jeune ? Je serai une vieille sorcière ! Qui voudra encore de moi ?

—Tu ne seras pas plus vieille que moi maintenant.

—C’est bien ce que je dis. Une vieille sorcière qui ne…

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Chaia lui sourit et se rapprocha d’elle. Son visage était si net ! Elle pouvait distinguer chacun de ses cils.

Mes rêves ne sont jamais si vivaces…

Il se pencha pour l’embrasser.

… Ni si intéressants.

Leurs lèvres se rencontrèrent. Et ce ne fut pas un chaste et affectueux contact magique, mais un vrai baiser.

Soudain, Auraya se retrouva dans son lit, dressée sur ses coudes. Son cœur battait la chamade mais, cette fois, ce n’était pas dû à la peur.

Le soulagement qui s’attardait en elle se dissipa, la laissant fortement perturbée.

À quoi pensais-je ? Par les dieux ! j’espère que Chaia ne me surveillait pas !

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Je me demande si c’est parce qu’ils nous considèrent comme des barbares, des sauvages qui ne connaissent rien à la civilisation.

—Plutôt comme des êtres indisciplinés, violents et dangereux, suggéra Leiard.

—Ce que nous ne sommes pas, répliqua Mirar.

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C’est toujours mieux qu’un coup de poignard dans le ventre suivi d’une agonie lente et douloureuse, songea-t-elle. Mais je ne peux m’empêcher de penser qu’un trépas trop subit nous prive de quelque chose. La mort fait partie des expériences de la vie. Nous n’en avons qu’une. J’aimerais être consciente de ce qui m’arrive, même si ça implique de la peur et de la souffrance.

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Prologue

Reivan fut la première à percevoir le changement. Au début, ce fut instinctif – une impression plus qu’une certitude. Puis elle remarqua que l’air devenait plus stagnant, plus irritant.

Observant les murs inégaux du tunnel, elle aperçut des dépôts d’une substance poudreuse. Celle-ci recouvrait un côté de chaque bosse et de chaque creux, comme si elle avait été soufflée par un vent issu des ténèbres qui s’étendaient devant Reivan.

Comme la jeune femme comprenait ce que ça pouvait signifier, un frisson lui parcourut l’échine. Mais elle ne dit rien. Elle pouvait se tromper, et ses compagnons étaient encore sous le choc de leur terrible défaite. Tous luttaient pour accepter la mort de leurs amis, de leur famille et de leurs camarades, dont ils avaient dû abandonner les corps enfouis dans le fertile sol ennemi. Ils n’avaient vraiment pas besoin d’un autre sujet de préoccupation.

Même s’ils n’avaient pas été en train de battre en retraite avec le moral au trente-sixième dessous, Reivan aurait gardé le silence. Les hommes de son équipe étaient prompts à se vexer. Comme elle, ils nourrissaient le ressentiment secret de n’être pas nés avec un Talent suffisant pour devenir des Serviteurs des Dieux. Aussi s’accrochaient-ils aux seules sources de supériorité dont ils disposaient.

Ils étaient plus intelligents que la moyenne : des Penseurs, qui se distinguaient des gens simplement cultivés par leur capacité à calculer, inventer, raisonner et philosopher. Cela leur donnait un féroce esprit de compétition. Longtemps auparavant, ils avaient conçu une hiérarchie interne. Les vieux l’emportaient sur les jeunes, et les hommes surpassaient les femmes.

Bien entendu, c’était ridicule. Reivan avait constaté qu’avec l’âge l’esprit tendait à devenir aussi lent et raide que le corps qui l’abritait. Et le fait que les hommes soient plus nombreux dans les rangs des Penseurs ne signifiait nullement qu’ils étaient plus malins. Reivan aimait à le leur prouver… mais le moment était mal choisi pour ça.

Sans compter que je peux me tromper.

L’odeur de poussière s’amplifiait.

Par les dieux ! j’espère vraiment me tromper.

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