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Commentaire de Biquet

L'Année du lion


Commentaire ajouté par Biquet 2020-07-01T15:44:23+02:00

Le nom original du livre en Afrikaans est « Koors » donc fièvre. Pourquoi ne pas conserver ce nom original qui lui allait si bien ?

Après l’épidémie mondiale d’un virus inconnu une nouvelle communauté se reconstitue sur le site de la petite ville de Vankloof, sise à côté du barrage du même nom sur le fleuve sud-africain Orange. Cette nouvelle implantation est appelée « Amanzi » bref « eau » en dialecte zoulou.

L’essentiel de l’histoire se passe dans la partie orientale de la RSA : Kimberley, Bloemfontein, Petrus ville. Par moment j’ai regretté l’absence d’une carte de la RSA. J’ai donc dû faire un usage intensif de Google Earth afin de situer géographiquement les différents épisodes de l’intrigue. La fin du livre nous promène plus à l’Ouest ded u pays avec une visite des villes de Williston, Calvinia, Wupperthal ou Lambert’s Bay.

Tout au long du livre, l’écrivain fait appel à sa grande culture historique : la fonction de dictateur dans la république romaine était attribuée par le sénat de citoyens et le plus célèbre d’entre eux fut un modeste cultivateur Cincinatus, le philosophe Spinoza est à la base de la création du concept de panthéisme, le sociologue israélien Noah Harari émet en effet des avis écologiques avec lesquels on peut ne pas être d’accord.

Ce livre constitue un superbe marketing touristique pour la RSA et aussi une référence métaphorique à son histoire dont l’allusion au grand Trek de Boers de 1835, acte fondateur de la mythologie afrikaaner

Une fois de plus ce nouveau livre catastrophe fait penser à un Robert Merle dans « Malevil » ou « les Hommes protégés », à un « Station Eleven » de Emily St. John Mandel.

Deux héros principaux : un veuf Willem Storm » et son ado de fils « Nico ». Outre les Storm il y a aussi Bird Canary, l’évêque Nkosi Sebego, Okkie, Sofia Bergman, Domingo.

Pour un écrivain comment terminer un tel roman ? Le nôtre Deon Myers a intelligemment décidé de taire disparaitre deux de ces héros. C’est pourquoi tardivement ce roman catastrophe se mue en roman policier.

Par contre ce livre m’a déçu dans un autre aspect de sa conclusion : pour le meurtre de deux personnages clés d’accord mais quant à faire réapparaître la mère de Nico sous la forme d’une activiste écologiste extrémiste pour cela je suis moins acheteur. Elle et son groupe de penseurs allumés ont créé ce virus et l’ont sciemment dispersé pour éliminer 95% de la population mondiale, des génocidaires à large échelle donc.

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