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cette phrase d'Albert Camus : vouloir, c'est susciter les paradoxes.
Afficher en entierMais j'ai ouvert et tout s'est arrêté: la circulation de mon sang, l'air dans mes poumons, la tension des ligaments, des muscles, l'imprégnation de l'eau, des gaz, la matière, les fluides intermédiaires, le champ d'informations, le temps, tout a disparu, je n'existais plus, j'étais morte, forcément, puisqu'ils étaient là, dans l'ombre du couloir, deux fantômes, deux silhouettes vieilles et jeunes à la fois, projections fantasmagoriques, sortis du dernier des royaumes,sortis de mon cerveau fiévreux, des psychoses insolubles, des cauchemars spongieux, j'ai compris, j'ai su en les voyant les raisons de leur voyage, ils venaient me chercher....
Afficher en entier"Nous allons reconstituer le tableau de votre vie, je vous le promets jeune fille,et vous savez quoi? S'il manque des couleurs, eh bien nous en fabriquerons des nouvelles.
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« - Je m’appelle Jean. Je m’occupe d’une association caritative, l’Atelier, peut-être en avez-vous entendu parler ? Nous aidons les personnes en grande difficulté, les accidentés de la vie. Nous les guidons administrativement, psychologiquement, nous leur donnons un coup de pouce matériel lorsque c’est nécessaire, bref nous les accompagnons de toutes les manières possibles. L’hôpital nous a signalé votre cas. » (page 64)
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« Nous faisons tous les mêmes erreurs. Fuir nos fantômes plutôt qu’apprendre à vivre avec. » (page 259)
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« Mais lorsque l’on vieillit, Zelda, on apprend à construire sa liberté, et un beau jour, on se souvient que la vie est une grâce qui nous est donnée pour que nous la vivions. » (page 210)
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« Contentez-vous d’être et le reste suivra. » (page 140)
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« Les pires, ce sont ceux qui s’interposent. Ceux qui ne supportent pas de voir leurs proches se reconstruire après telle ou telle épreuve. Eh oui Monsieur Mike : on peut prendre plaisir à laisser son mari, sa soeur, son ami s’enfoncer. Par jalousie, par frustration, par besoin d’exister. » (page 130)
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« Nous allons reconstituer le tableau de votre vie, je vous le promets jeune fille, et vous savez quoi ? S’il manque des couleurs, eh bien nous en fabriquerons de nouvelles. »
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« - Si je résume ce qui m’a été dit, vous avez fait un burn-out, vous étiez épuisée et malgré deux semaines de repos, des signes d’amélioration certains, une volonté réelle de vous rétablir, vous semblez soudain à cran à l’idée de reprendre le collier. Bref, le boulot n’est pas fait, vous êtes encore fragilisée. […]
Il avait une voix douce, rassurante. Il me proposait une chambre, du calme, du temps : tout ce dont j’avais besoin, là, maintenant. Mon angoisse est retombée d’un coup, il l’a senti, m’a tendu le bras. Je m’y suis accroché. » (pages 84-85)
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