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Extrait ajouté par Ambere 2018-11-06T16:42:50+01:00

Pour juguler cette délinquance, la municipalité avait eu une idée lumineuse qui résumait à elle seule le déni qu’elle affichait en matière de criminalité : elle avait créé un «Office de la Tranquillité». Pourquoi pas un Office de la liberté sexuelle pour lutter contre les viols, tant qu’on y était ? Ou un Office de la vie saine pour combattre le trafic de drogue ? On l’aurait ouvert non loin de là, sur une place où, régulièrement, flics et douaniers effectuaient des descentes qui n’avaient d’autre effet que de disperser les dealers et les revendeurs de cigarettes de contrebande pour quelques heures. Ensuite, ils revenaient, exactement à la même place - comme des fourmis momentanément chassées par un coup de botte.

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Claire Diemar avait été ligotée avec une longueur absolument invraisemblable de corde qui s’enroulait à d’innombrables reprises autour de son torse, de ses jambes, de ses chevilles, de son cou et de ses bras, passait sous ses aisselles, entre ses cuisses, écrasait sa poitrine, en formant une quantité considérable de tours, de contours et de nœuds grossiers, la corde râpeuse mordant profondément la peau chaque fois. Espéradieu s’avança à son tour et il regarda par-dessus l’épaule de son patron. Un mot s’imposa immédiatement dans son esprit/ bondage. Les liens et les nœuds étaient par endroits si nombreux, si complexes et si serrés que Servaz se fit la réflexion qu’il allait falloir des heures au légiste pour les couper, puis pour les examiner une fois au labo. Il n’avait jamais vu un écheveau pareil. La saucissonner de la sorte avait dû prendre moins de temps cependant : celui qui avait fait ça avait agi avec brutalité avant de l’allonger dans la baignoire et d’ouvrir le robinet.

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Elle a trahi ta confiance et ton amour, Martin. Elle méritait d'être punie.

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La liberté comme la santé ne sont vraiment appréciées que lorsqu'on en a été longtemps privé.

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Elle a trahi ta confiance et ton amour, Martin. Elle méritait d'être punie.

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David l’horripilait par sa façon de ne rien prendre au sérieux, mais elle avait senti derrière cette façade bouffonne une gravité, une blessure qui troublait parfois son regard. On aurait dit que le sourire qui étirait perpétuellement ses lèvres au centre de sa barbe blonde n’était qu’un bouclier. Pour se protéger de quoi ?

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Il la vit rougir de plaisir et, pendant un instant, il se fit la réflexion qu’elle était comme lui au même âge : désespérément en manque de reconnaissance et d’approbation. Et, comme celui qu’il avait été, elle cachait cette faiblesse derrière une attitude rebelle et une indépendance de façade.

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A cette heure, l'intérieur du labyrinthe enseveli sous la pluie n'était pas l'endroit le plus riant au monde. Elle frissonna et maudit Elias.

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David avait toujours considéré la mort comme une amie. Une complice. Elle l'accompagnait depuis si longtemps. Contrairement à la plupart des gens, non seulement il ne la craignait pas, mais il l'envisageait parfois comme un possible épouse. Epouser la mort...Une formule romantique, lourdement romantique même, on aurait dit du Novalis ou du Mishima, mais l'idée lui plaisait.

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