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Extrait ajouté par anonyme 2011-06-03T06:09:00+02:00

Il avait dix ans alors, mais depuis ce jour, Djem était déchiré entre ces deux mondes. Deux mondes qui s'étaient très vite révélés couverts de sang, d'honneur, de pouvoir derrière la foi. Deux mondes qu'il avait surtout découvert depuis trois ans aussi aveugles l'un que l'autre à la véritable miséricorde.

Sa mère s'était trompée. Il n'était pas l'élu de Dieu. Pas d'avantage celui d'Allah, comme le croyait son père.

Il n'était rien en vérité ce jourd'hui qu'un pieu qu'on avait planté en plein désert, et dont les scorpions se disputaient l'ombre.

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Extrait ajouté par BooksFan-ny 2020-05-19T22:22:12+02:00

Séduire n'est pas un crime, Hélène. C'est un devoir. Seul l'amour devrait conduire aux épousailles. L'amour, pas l'intérêt.

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Extrait ajouté par anonyme 2011-06-03T06:09:00+02:00

- C'est Philibert de Montoison, je crois qu'il est réveillé, finit par lâcher Marie d'un trait.

- Vous croyez ? reprit Albrante, sceptique.

- J'en suis sûre, affirma la jouvencelle en bombant le torse devant l'importance de sa responsabilité.

- Soit, lui accorda l'infirmière pour ne pas la vexer. Où est Laurent de Beaumont ?

Un fard empourpra les joues de la novice.

- Il prend le frais, je crois, dit-elle.

Albrante soupira. Cupidon n'avait-il rien de mieux à faire que de troubler ainsi le coeur de cette abbaye ? Elle posa sa cuillère (...) et s'avança vers Marie, qui n'avait pas bougé, écarlate du souvenir indécent des caresses qu'on lui avait prodiguées.

- Vous croyez beaucoup, mais visiblement pas autant qu'il le faudrait pour consacrer votre vie au Seigneur.

La jouvencelle baissa les yeux gênée.

- Je vous assu....

- Silence. Mentir vous couvrirait d'un péché supplémentaire, la coupa l'infirmière.

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Extrait ajouté par anonyme 2011-06-03T06:09:00+02:00

Les autres avaient approuvé et Djem avait fini par accepter. Ses compagnons ne se rendraient jamais. Peut être restait-il encore un espoir, quelque part dans le regard d'Allah. Chaque nuit en entendant la pluie battre violemment contre sa vitre, il songeait à ce poignard sous son oreiller. La lame, courbe comme un croissant de lune, était désormais la seule arme qu'il possédait. Une autre chantait en son coeur que les poètes de Katmouni lui avaient offerte. Celle-là, personne ne la lui prendrait jamais. Elle avait pour nom l'amitié.

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Extrait ajouté par anonyme 2011-06-03T06:09:00+02:00

- Celle que tu as rencontrée a certainement été rendue méconnaissable par les siècles passés dans les eaux du Furon. De fait, l'histoire de Mélusine commence bien avant son mariage avec Raymondin, fils cadet du comte du Forez, ancêtre des Sassenage. Elle commence avec celle d 'une race. La race des fées. As-tu entendu parler de la légende de Bretagne ?

- Celle du roi Arthur et de l'enchanteur Merlin ?

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Extrait ajouté par anonyme 2011-06-03T06:09:00+02:00

" D'une seule note la harpie pourrais faire de toi son esclave. Si tu vois ses narines se coller soudain aux os de son nez, prend garde et bouche-toi les oreilles avant de détaller" l'avait avertie Mélusine avant de la quitter dans la crypte où elle l'avait ramené.

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Extrait ajouté par anonyme 2021-05-17T00:06:03+02:00

Laurent de Beaumont s'écarta de côté, feinta, puis fendit de l'avant, profitant du léger déséquilibre de son adversaire sur un sol inégal. Il reprit l'avantage, mais il sentait bien que ce n'était qu'un leurre.

Philibert de Montoison rétablit sa garde et lui fit face.

— Renonce ! cracha-t-il.

— Plutôt mourir, gronda Laurent de Beaumont avant de réengager le combat.

La chaleur accablante de ce mois d'août 1483 les rendait plus agressifs encore tandis qu'insidieusement leurs corps flanchaient. Laurent de Beaumont le sentait au choc du métal qui se répercutait à présent jusqu'en ses jambes lourdes et lui vrillait les poignets. Avant longtemps, il s'effondrerait.

« Qu'à cela ne tienne, décida-t-il, finissons-en avec panache ! »

Ramassant ses dernières forces, il se rua sur Philibert de Montoison, la pointe en avant.

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Extrait ajouté par anonyme 2021-05-17T00:03:53+02:00

Son destin était en marche. Celui de Mathieu aussi. Ils se retrouveraient. Dans le sang, dans les larmes. Mais, plus fort que tout, leur amour vaincrait. Elle en avait eu la certitude. Plus personne ne la duperait désormais. Non. Plus personne.

Jamais.

 

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Extrait ajouté par Edith972 2016-04-03T03:04:49+02:00

Dans la salle de réception du château, appliquée, Algonde astiquait l'argenterie lorsque, alertée à son tour par le galop, elle vit, au travers de la fenêtre ouverte, le cavalier immobiliser son cheval écumant des naseaux et sauter à terre. Sa curiosité éveillée, la jouvencelle abandonna sa corvée pour se pencher à la croisée.

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Extrait ajouté par Edith972 2016-04-03T02:22:04+02:00

Du coup, face à la tristesse qui la submergeait ce jourd'hui, Algonde était démunie. La seule idée de devoir quitter ce château, cette vaste pièce même où sa mère avait été logée à dater de son veuvage, la désespérait.

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