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- Oui, on me l’a dit. Tu es impressionnant.
- Non, je fais ce que je dois faire. Tu n’es pas fâché ?
- Pourquoi ? Parce que tu tentes de sauver l’un des nôtres ?
Afficher en entierKylian
Mon cœur,
Tu t'es endormi. Un instant, tu es sorti de cette salle de bain, nu, la peau sur les os, tu nous as souri, l'instant suivant tu était entouré d'un cocon d'eau et endormi, sans un au revoir.
Tu nous as dit "je souhaite tester une nouvelle forme de méditation, celle décrite par cette Aura. J'ai lu et relu ses instructions et j'ai compris comment recréer les conditions, ici, dans cette maison".
Nous t'avons préparé cette chambre, dans l'espoir que tu y trouverais cette paix tant méritée.
Une autre façon de méditer et de rebondir.
Où?
Tu t'es endormi, nous laissant seuls, me laissant seul, encore une fois, si proche et si loin de toi.
Assis près de toi, sans te toucher, me crève le cœur. Alors je rêve d'user ma peau sur la tienne, te tenir entre mes bras pour ne plus jamais avoir froid, t'entendre sourire après mes délires, e vanter de tes soupir qui t'échappent malgré toi ....
Afficher en entierChapitre 2 :
« … Mes yeux se fermaient malgré moi, conscients que nous n’étions qu’au début du cauchemar.
— Bonne nuit, petit Aura. Je viens de t’attraper. Cela n’a pas été facile de te courir après. Tu m’as donné du fil à retordre, dix longues années. C’était une très belle partie de chasse, petit coquin. Tu es enfin à moi. Je t’ai gagné…
D’où ça sortait ça ?
Je ne savais pas qui il était, ce qu’il voulait.
Je m’écroulai après ces mots, sombrant dans un sommeil sans rêves.»
Afficher en entierChapitre 2 :
« … Je dévisageai l’homme, confus. Lui ; la seringue vide ; à nouveau lui. Je me retrouvai assis, par terre, sur le cul, les jambes étendues devant moi, les bras ballants.
— Mais qu’est-ce que ? essayai-je d’articuler.
Ma tête devint de plus en plus lourde, impossible de bouger, mes sens s’endormaient, les sons se diluaient dans l’air. Lionel hurla quelque chose du style, « Ne touchez pas à l’Aura ». Deux coups de feu claquèrent dans l’air, atténués par la sensation de coton enfoncé dans mes oreilles. L’odeur de la poudre assaillit mes narines. Comme au ralenti, je vis Lionel tomber, puis Priam et fus submergé par le goût ferreux du sang frais. La salope, elle venait d’abattre les deux pumas
Je voulus… Je voulus …»
Afficher en entierLe froid à l’intérieur de mes os et de mes muscles courbaturés me réveilla désagréablement. Totalement engourdi, je ne ressentais plus mes jambes.
Afficher en entierEnfant se réveiller chez soi dans le noir, au fond de son lit n’était pas toujours rassurant. Il y avait tous ces monstres hideux qui se cachaient dans le fond du placard ou sous le lit
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