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Logan courut vers moi.
Il dévala les marches trois par trois et je les montai encore plus vite qu"il ne les descendit. Il se jeta contre moi au beau milieu de l'escalier, m'enlaçant, collant son visage contre mon cou et le serrant fort. Il me monta sur le dos et continua de se serrer contre moi. Mon cœur battait à tout rompre.
Je n'aurai jamais pensé un jour porter Logan Church ; c'était une expérience nouvelle et tout à fait satisfaisante. Son rire était chaleureux, viril et provenait du fond de son torse.
- Bon sang, je te jure, il n'y a vraiment que toi pour rendre la vie aussi palpitante.
Afficher en entier« — Est-ce que je ressentirais la même chose si tu n’étais pas mon âme-sœur ? Je n’en sais rien, et je m’en fiche. Pour moi, c’est une question qui ne se pose pas. Toi tu veux te la poser, mais je sais qu’en fait, tu le fais surtout parce qu’avant de te rencontrer, j’étais hétéro. Même si tu as accepté de prendre ta place et de faire face à tes obligations aux côtés de ton Semel, même si tu m’aimes, parce que je sais bien que c’est le cas, l’idée de perdre Crane te terrifie.
— C’est mon meilleur ami, dis-je comme pour me défendre.
— C’est ta couverture de repli, et tu le sais aussi bien que moi.
— Logan…
— Je ne devrais pas être jaloux de Crane Adams, et pourtant je le suis. Je suis le Semel de ma tribu, et je suis jaloux d’un de mes membres. Pense un peu à ce que je ressens. »
Afficher en entierSon rire était chaleureux, viril, et provenait du fond de son torse.
— Bon sang, je te jure, il n’y a vraiment que toi pour rendre la vie aussi palpitante.
Ses mots, tout simples, remirent tout en perspective. C’était comme si je venais de tomber d’un paradis où tout le monde me révérait en ayant limite peur de moi, et que j’atterrissais sur terre où je retrouvais mon compagnon, le seul pour qui j’étais avant tout Jin, un véritable concentré d’emmerdes qui rendait la vie plus excitante.
Afficher en entier— Si Crane décide de partir, partiras-tu avec lui ? demanda-t-il en ignorant complètement ma question.
— Non.
— J’espère que c’est vrai.
Afficher en entier— J’ai peur, susurrai-je d’une voix douce.
— De moi ? grogna Logan
— Mais non bien-sûr, lui répondis-je en regardant Mikhaïl, remarquant la façon toute particulière qu’il avait de me regarder, de sentir mon odeur, totalement conscient que je n’étais pas encore remis.
Ça parut même lui faire véritablement mal.
— Enfin, Logan, bien-sûr que tu ne me fais pas peur.
— Alors quel est le problème ?
— J’ai peur de ce que tu vas faire.
— Pourquoi ?
— Parce que je sais que tu m’aimes.
Afficher en entierJe remontai sur le lit, rampant vers Logan. J’admirai les longues lignes de son corps, ses épaules musclées, et surtout les jolies courbes de ses fesses. Le simple fait de l’observer comme ça me coupait le souffle. Mon compagnon était une véritable œuvre d’art, dégageant une odeur de bois de santal. Je ne pus résister et plongeai dans ses cheveux pour le sentir encore et encore. Lui montant à moitié dessus, je me mis à le couvrir de baisers, descendant le long de sa colonne vertébrale pour finir sur ses fesses rebondies. Je baissai doucement l’élastique de son short pour mettre à nu sa belle peau imberbe. Je la mordis, mais si légèrement que c’était à peine une égratignure.
— Qu’est—ce que tu fais ? Son petit rire chaleureux me fit sursauter.
— Ta peau a si bon goût.
Afficher en entier« — Tu dois bien comprendre que c’est sur moi, désormais, que tu peux te reposer. C’est moi qui fais ce que tu es. Et ce qui est le plus important, c’est justement que tu es mon compagnon.
— Non ! Je ne veux pas être réduit à simplement être ton âme-sœur. Je suis bien plus que ça.
— Je n’ai jamais dis que tu n’étais que ça.
— Être ton compagnon…
Je le regardai droit dans les yeux.
— Logan, si je n’avais pas été celui qui t’était destiné, tu ne m’aurais même pas regardé. »
Afficher en entier« — Parfois, les choix que font les autres nous empêchent, nous, de choisir. Tu comprends ? »
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