Réponses au commentaire de Plassans
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Celui qui a lu la première moitié peut difficilement s'arrêter. Maintenant habitué aux personnages, ayant compris que Dantès/Monte Cristo a mis en oeuvre une vengeance complexe, comment ne pas vouloir connâitre le dénouement. Les fils ont été tissés et se rejoingnent ; la toile est prête ; les coupables vont y tomber d'eux-mêmes.
Machiavélique, Dantès comme un Dieu vengeur apporte la mort et le scandale, restant la plupart du temps dns l'ombre, laissant même périr des innocents avec indifférence tandis qu'il se montre bienveillant avec ceux qu'il aime.
Dans ce roman à tiroirs, reconnaissons que beaucoup d'éléments sont absurdes, que Dumas travaille insuffisemment la langue, que les personnages sont peu fouillés et que le descriptions sont quasi absentes (malgré la longueur du récit).
Dumas, habitué à fréquenter les salons se montre souvent bavard et superficiel. C'est moins bon que le début mais c'est un oeuvre incontournable.
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