Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 795
Membres
1 013 870

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

"Puis je me suis torturé la cervelle - torturé à quel point! Dieu seul le sait - mais sans grand résultat.

Jusqu'à ce qu'un mot magique me revienne.

Ambre.

La veille au soir, j'avais été très bouleversé à l'entendre. Tellement bouleversé que depuis j'avais évité d'y repenser. Maintenant je le désirais. Maintenant je le faisais rouler dans ma tête, et j'examinais toutes les associations qui en découlaient.

Il était chargé d'un désir ardent et d'une immense nostalgie. Il cachait tout au fond de lui un sentiment de beauté oubliée, d'accomplissement grandiose, un sentiment de puissance terrible, presque élémentaire. Il appartenait à mon vocabulaire. Il en faisait partie comme il faisait partie de moi. C'était le nom d'une ville. D'une ville que j'avais connue autrefois. Mais aucun souvenir visuel ne me revint. Uniquement des émotions".

Afficher en entier

- J'aurais tellement souhaité que Benedict soit là et que Gérard ne se soit pas vendu ! dit-il.

- Des souhaits, des souhaits ! Qu'une de tes mains se contente de souhaiter, que l'autre agisse. Si tu les presses l'une contre l'autre tu verras ce qui se passera.

- Bien parlé.

Afficher en entier

Ils étaient encore loin mais ils galopaient sur la plage avec un bruit de tonnerre, chiens hurlant et cors sonnant. Nous courions comme des fous vers la mer, Random et moi, à la suite de notre sœur.

Nous avions de l'eau jusqu'à la taille quand Random a crié : "C'est la mort si je reste et la mort si je continue."

J'ai répondu :

"L'une des deux est imminente, l'autre peut se négocier. Continuons !"

Afficher en entier

"Il y avait une curieuse note d'admiration dans la voix de cette femme qui avouait qu'elle avait essayé de me vendre à mon ennemi, et qui recommencerait à la première occasion, pendant qu'elle parlait de quelque chose dont elle me tenait pour responsable et qui avait saboté ses plans. Comment pouvait-on être aussi machiavélique en présence d'une victime désignée? La réponse jaillit immédiatement du fin fond de mon cerveau: dans notre famille, c'était notre façon de faire".

Afficher en entier

Je relevai ma vitre pour qu’il ne me reconnaisse pas à l’odeur. Mais Julian m’avait aperçu et je crus comprendre ce que ça signifiait. Autour de lui, les chiens couraient comme un ouragan, durs et forts, les mâchoires comme de l’acier. Ils venaient des ombres aux aussi, car un chien ordinaire est incapable de courir aussi vite. Mais j’avais la certitude qu’en ce lieu, le mot « ordinaire » ne s’appliquait à rien.

Afficher en entier

Ça commençait à se dissiper, mais après ce qui me parut être une éternité.

J’essayai de remuer les orteils. J’y réussis. J’étais sur un lit d’hôpital, les jambes dans le plâtre. C’étaient bien mes jambes.

Je fermai les yeux avec force et je les rouvris. Trois fois.

La chambre reprit son aplomb.

Où diable étais-je ?

Les brumes se déchirèrent lentement et la mémoire me revint. Je me souvins de nuits, d’infirmières et d’aiguilles. Chaque fois que je commençais à reprendre mes esprits, quelqu’un entrait et me piquait avec quelque chose. C’était exactement ce qui s’était passé. Exactement ça. Mais maintenant j’étais à peu près conscient. Ils allaient bien être obligés d’arrêter leur petit jeu.

Non ?

Une pensée jaillit : Peut-être pas.

Un léger scepticisme, bien naturel, quant à la pureté des motivations humaines vint assombrir le cours de mes pensées. Je pris brusquement conscience qu’on avait dû m’administrer une bonne dose de narcotiques. Sans aucune raison, eu égard à mon état de santé. Aucune raison non plus pour qu’ils s’arrêtent si on les avait payés pour. Alors fais gaffe et joue les drogués, me conseilla une petite voix intérieure qui, malgré sa sagesse, n’était pas ce qu’il y avait de meilleur en moi.

C’est ce que je fis.

Afficher en entier

Les éléments déchaînés nous secouaient comme une coquille de noix, comme disent ou disaient les poètes. Je sentis mes entrailles se tordre. Nous étions comme des dés dans une main géante, jetés par-dessus bord, et la mer s'élevait jusqu'aux cieux. Le ciel tourna au noir. De la neige fondue en tomba accompagnée d'un tonnerre de fin du monde. Tout le monde hurla. Moi, le premier.

Afficher en entier

Les éléments déchaînés nous secouaient comme une coquille de noix, comme disent ou disaient les poètes. Je sentis mes entrailles se tordre. Nous étions comme des dés dans une main géante, jetés par-dessus bord, et la mer s'élevait jusqu'aux cieux. Le ciel tourna au noir. De la neige fondue en tomba accompagnée d'un tonnerre de fin du monde. Tout le monde hurla. Moi, le premier.

Afficher en entier

Je pénétrai dans les Ombres et je découvris une race de créatures à fourrure dont l'intelligence égalait celle de lycéens moyens - navré, les enfants, mais je veux dire par là qu'ils étaient loyaux, dévoués, honnêtes et trop facilement menés en bateau par des salauds de mon espèce et de celle de mon frère.

Afficher en entier

De toutes les cités qui existent ou qui existeront, Ambre est la plus grande. Ambre était au début de tout et sera à la fin de tout.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode