Extraits

CE QUESTIONNAIRE A POUR but de vous faire prendre conscience de l’état dans lequel vous êtes, en ce moment, face à certaines difficultés1. Notez à quelle importance et fréquence avez-vous ressenti tel ou tel sentiment durant le dernier mois :

Les médecins ne s’y trompent pas ; la plupart des services de cancérologie s’entourent de psycho logues. Certains médecins comme le Dr Solignac vont même jusqu’à ne plus utiliser le mot « cancer » qui a une valeur négative (stress) dans l’esprit du grand public, mais utilisent le mot « PAC » (prolifération anarchique cellulaire).

Et le cancer n’est-il pas lui aussi une conséquence fâcheuse de cet état de tension permanente dans lequel nous nous trouvons ? Le cancer ne pourrait-il pas « flamber » uniquement parce que les cellules immunitaires chargées de sa « destruction » avant sa véritable constitution ne seraient plus aussi actives que par le passé suite à des stress répétés en intensité et en durée ? Pour qu’une « tumeur » soit détectable au scanner, elle doit présenter au moins un million de cellules à l’intérieur de sa masse. Et pour atteindre ce nombre, il faut 3 à 8 ans d’évolution.

“ Dans les états ultimes, le corps s’autosuicide sans demander l’avis de la conscience... Nos idées noires font marcher notre hypothalamus qui déclenche la sécrétion d’une hormone, laquelle libère à son tour la cortisone. Or la cortisone, si elle a le pouvoir de soulager nos douleurs, peut aussi dilater nos vaisseaux sanguins et détruire notre système immunitaire. Nous voilà ouverts à la prolifération de n’importe quelle maladie : ulcère, pneumonie, cancer. „

Ce plaisir engendre inévitablement la notion de partage : quand on a du plaisir, on désire le partager avec des amis, ce qui engendre encore du plaisir et cela devient une histoire ou une vie merveilleuse sans fin. Ces notions de plaisir et de partage véritables devraient être enseignées dans les écoles, cela permettrait à bon nombre d’élèves et d’étudiants de se déculpabiliser et de pouvoir être des êtres humains responsables.

Des pathologies dites fonctionnelles, même en absence de lésions organiques décelables, constipation chronique, migraines, douleurs cardiaques... peuvent avoir été générées par des émotions profondes et durables. En fait, on peut dire que la maladie, dans ces cas précis, a valeur de message, c’est un cri, un appel au secours comme pour attirer l’attention.

Une des conditions pour qu’un agent stressant agisse plus intensément sur un sujet est un « terrain » prédisposé à telle ou telle pathologie. Ce « terrain » exprime les possibilités ancestrales ou acquises, tant dynamiques que statiques, biologiques et immunologiques, qu’a notre organisme de se défendre contre tous les agresseurs ou d’en tolérer certains ou encore d’être incapable d’éliminer un antigène étranger quel qu’il soit.

Cette énergie vitale est en relation avec nos organes, y compris notre cerveau. Les bonnes et les mauvaises pensées du cerveau affectent tout le corps. Pour les Chinois, le cerveau est un organe au même plan que les autres. Ils insistent beaucoup sur la relation étroite entre les différentes émotions et nos organes, mais également sur l’inverse. Une atteinte organique peut entraîner une modification psychique.

Autrement dit l’état de santé/vitalité de nos milliards de cellules et de notre bien-être sont-ils intimement liés à nos états d’esprit ? Notre organisme transformerait-il en maladies les stress de la vie ?