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Extrait ajouté par LiliDelice 2024-04-11T23:15:21+02:00

— Si je dois traverser les steppes à l’ouest pour pactiser avec le tsar, je le ferai. Si je dois prendre un navire pour gagner les terres au nord de Khanuria et du grand désert, je le ferai aussi. Peu importe quelle alliance je devrai réaliser pour t’annihiler, Jahi ; je prendrai ta tête et celles de tous ceux que tu as un jour connus

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2024-04-17T13:47:44+02:00

Nous sortîmes de la chambre ainsi, près de l’autre, et nous nous rendîmes jusqu’à la salle de réception de la même façon. Pendant ce laps de temps, Adrian me demanda mon accord pour annoncer nos fiançailles.

– N’est-ce pas un peu cruel ? Toute la famille Bonneron sera présente.

– Tu as raison, répliqua-t-il pensif. Peut-être, avec un peu de chance, que cette annonce les fera fuir définitivement.

– Adrian !

– Penses-tu mes espoirs vains ?

– Ce n’est pas la question.

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2024-04-17T12:46:26+02:00

– Cela ne te dispense pas de te marier. Après un tel coup d’éclat, je suppose que tu as une candidate en tête. Mlle Vasselle, peut-être ? dit-il d’un ton où perçait l’amusement.

– Comment…

– Enfin, mon garçon ! Tu la regardes comme si elle était un élégant pot de miel et toi un ours prêt à la dévorer. Le seul à ne pas l’avoir remarqué, c’est toi.

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2024-04-17T10:31:37+02:00

– Appelez-moi Adrian, dit-il soudainement.

– Ce ne serait pas très correct.

– Vous l’avez fait il n’y a pas trois heures, fit-il remarquer avec justesse.

– Uniquement pour vous faire réagir. Vous étiez très impoli, ajoutai-je avec un sourire qui trahissait mon sentiment.

– S’il me suffit de l’être pour entendre mon prénom franchir vos lèvres, j’accepte l’invitation avec plaisir.

– Ce n’est pas ce que je voulais dire !

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2024-04-16T14:17:14+02:00

– Puis-je espérer obtenir une réponse à ma question ? reprit-il enfin.

– Vous savez ce que l’on dit : l’espoir est une boisson dangereuse, on risque de s’y noyer avant d’étancher sa soif.

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2024-04-14T19:03:11+02:00

– Il y a presque un an, nous avions prévu de faire notre entrée ensemble, lors de ce même bal. Bien que nous ayons plusieurs mois de retard, je dois reconnaître que cela me plaît assez de débuter ma vie d’adulte lors de cette soirée.

– Quelle est donc cette soirée ?

– Pardonnez-moi, la réponse me semblait si évidente que je n’ai pas cru nécessaire de vous la préciser.

En avisant son regard malicieux, autant que le silence théâtral qu’elle laissa flotter après ses excuses, je sus qu’elle mentait. Un peu amusée, j’attendis qu’elle poursuive. Sans que je le comprenne, une sorte d’empressement grossissait à l’intérieur de mon ventre. Miranda la laissa enfler suffisamment puis, dans un geste lent, posa sa tasse sur la soucoupe.

– Dans dix-huit jours, nous ferons notre entrée lors du bal annuel de la reine Katalina, celui-là même que nous avons loupé l’année dernière, ditelle alors. Tenez-vous prête, Lucinia ; nous avons un prince à séduire.

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2024-04-14T22:17:10+02:00

– Votre père vous laisse un sursis, mais dans un an, vous n’aurez plus le choix, m’avertit-elle la mine soucieuse. Il serait plus avisé de vous trouver quelqu’un à aimer avant que l’on ne vous impose quelqu’un de titré.

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Extrait ajouté par Emeraudebouquine 2024-03-13T15:30:52+01:00

Ce jour-là, un soleil radieux éclairait le ciel. En plus de quelques nuages blancs, une brise légère et fraîche adoucissait cette agréable chaleur.

Pourtant, lorsque je me levai, un pressentiment désagréable m’envahit. Ce pressentiment me fit l’effet d’un poids dans l’estomac, comme une enclume me dictant de rester sagement au fond de mon lit. Mais, comme la plupart des gens, j’avais besoin de me lever le matin afin d’aller travailler. À regret, je m’extirpai de la douce chaleur de mes draps pour commencer cette journée.

La veille, en regardant les dernières informations sur mon

Smartphone, j’avais appris la disparition de trois jeunes femmes d’à

peu près mon âge. Elles avaient disparu à la suite d’une randonnée en Suisse, et malgré les recherches, personne n’avait retrouvé leur trace. J’avais ressassé ces infos toute la nuit, alors peut-être que ce pressentiment était lié à ça.

Après une douche revigorante et un petit déjeuner copieux, je sortis, un café à emporter dans une main.

L’heure matinale ne rendait pas les rues désertes, bien au contraire.

Les gens s’amassaient sur les trottoirs, se bousculant et pestant les uns contre les autres. Ceux qui avaient opté pour un trajet en voiture n’étaient pas dans une meilleure situation ; j’entendais les nombreux coups de klaxon qui témoignaient d’un mécontentement général.

Moi, en revanche, je n’étais pas de si mauvaise humeur. Cet

étrange sentiment ne me quittait pas, mais je l’avais plus ou moins réduit au silence. Alors, d’un pas tout de même plus nerveux que d’ordinaire, je parcourais mon trajet habituel.

Après dix petites minutes quotidiennes de marche, j’atteignis la bouche du métro. Dix stations plus tard, j’émergeai des souterrains et aperçus de nouveau la clarté du jour. Mon bâtiment était

à deux rues d’ici, il ne me fallait pas plus de cinq minutes supplémentaires pour l’atteindre.

Si je devais être honnête, je fus presque surprise d’en franchir les portes. Mes maigres efforts pour faire taire mon pressentiment n’avaient que moyennement fonctionné : j’avais jeté des coups d’œil inquiets à tout va. En réalisant que je me trouvais dans le petit hall de mon entreprise, une vague de soulagement étreignit mon cœur. À partir de ce moment, ce sentiment d’inquiétude disparut.

Installée à mon bureau, je m’attelai donc à la rédaction d’une

énième page Web, m’assurant de l’optimisation du SEO et de la pertinence de mon texte. Mon boulot consistait à rédiger du contenu pour le Web, ni plus ni moins. L’entreprise dans laquelle j’avais été

embauchée vendait ses services à d’autres entreprises, et nous recevions des briefs pour préparer notre prochaine mission. J’avais dû rédiger des pages Web pour des fleuristes, des boîtes qui vendaient du maquillage, des vêtements… Chaque fois, je me devais de faire des recherches, histoire d’écrire un texte pertinent.

Alors que je terminais une phrase, l’un de mes supérieurs vint se poster devant mon bureau. Éric n’était pas mon supérieur direct, mais celui encore au-dessus. J’esquissai un sourire poli.

Il me fit un signe de tête, sans doute pour me saluer, puis je vis ses yeux se plisser. Trois ans que je travaillais ici, et il n’avait toujours pas retenu mon prénom.

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