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Les manuscrits "oubliés" du docteur Watson ont la fâcheuse habitude de se retrouver 100 ans après, dans une vieille malle en fer blanc, déposée dans une banque ou on fond d'un vieux grenier... Ici, pas du tout !

Non, pas de malle en fer blanc ! le manuscrit dit "de Jack l'Éventreur" se trouvait au fond de la poche du docteur Watson. Son éditeur n'en cru pas ses yeux.

Le début du récit porte la date du 31 août 1888 (date du premier meurtre attribué au tueur de Whitechapel)...

Ce livre me faisait de l'oeil depuis très longtemps, mais il était assez compliqué à trouver. C'est donc toute contente que je reçu le paquet envoyé par un magasin de vente en ligne...

La surprise fut de taille puisque le carton n'était guère épais. Normal, le livre ne fait que 150 pages. Moi qui le croyait plus gros, je suis restée un peu étonnée. 150 pages écrites avec de grands caractères. 1h de lecture et on en parlait plus.

Le premier récit porte donc la date du 31/08/1888... mais si vous vous attendiez à du sanglant, faudra aller voir ailleurs car nous sommes face à un adulte qui nous parle de son enfance, de ses souvenirs, de ses cauchemars...

Si les premières années furent agréables, la mort du père plongera toute la famille : le narrateur, sa mère et sa grande soeur dans les affres de la misère. Seuls les livres permettront au gamin de tenir le coup car c'était un moyen pour lui de s'évader au travers des images, étant encore trop jeune pour savoir lire.

Le récit est sombre, la misère dans les rues de l'East End est terrible. Un bébé peut se retrouver jeté mort sur la chaussée boueuse, sans que cela émeuve quelqu'un.

Une chose m'a souvent dérangée durant la lecture : les dates de rédaction du récit... le narrateur nous parle de ses souvenirs d'enfance, mais les yeux e peuvent s'empêcher de lire les dates et de s'étonner qu'il y ait de la neige en septembre... Bon sang, j'avais encore oublié que les dates ne correspondaient pas au "véritable déroulement", mais juste à la rédaction des souvenirs.

C'est assez étrange de lire un tel récit aux travers les yeux d'un enfant... Il a beau les avoir écrit à l'âge adulte, ce sont les mots d'un enfant et ses interrogations qui transparaissent dans le récit.

L'enfant n'avait pas compris de quelle manière sa mère avait eu de l'argent, ni pourquoi elle se sentait "sale", ni pourquoi son ventre grossissait alors qu'elle mangeait peu.

Le lecteur, lui, il avait compris qu'elle avait fait ce que tant d'autres avaient fait avant elle pour s'en sortir : la prostitution occasionnelle, qui était courante des ces quartiers.

Si le début m'avait emballé, j'ai été déçue par la suite et je termine cette lecture avec un sentiment mitigé et des tas de questions :

- Les récits sont-ils la réalité ou des cauchemars ?

- Où se trouve la réalité et ou se trouve ce qu'il a imaginé ?

- Fut-il réellement l'Éventreur ? le récit, hormis sur un court passage, ne laisse rien penser de tel. Et même ce passage n'est pas très clair. La seule chose qui pourrait faire pencher la balance vers le vrai journal du tueur est qu'il commence le 31/08/1888 et se termine le 8/11/1888, veille du dernier meurtre.

- Pourquoi ne nomme-t-il jamais sa soeur, se contentant de l'appeler "Grande Soeur" ?

En résumé, j'avais hâte de lire ce livre, mais j'en sors déçue... Très, très déçue.

La fin pourrait être plausible mais c'est une vieille théorie à laquelle je n'ai jamais adhéré.

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