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extrait chapitre 6 (P.71)

(...)

Je compris soudain pourquoi Elaine et son amoureux venaient se réfugier ici. Cet endroit était tout simplement magique.

Le sourire aux lèvres, je me retournai vers Leith. Il se tenait à plus d'un mètre de moi et m'observait avec une intensité qui me retourna complètement l'estomac. Et lorsque je le vis s'approcher, je me raidis instantanément. Encore un pas. Puis un autre. Un dernier... Son visage n'était plus qu'à quelques centimètres du mien. De sa bouche ou de ses yeux, je ne savais quoi regarder. Ce qui était certain, c'est que j'avais complètement oublié de respirer. Ses iris était si verts, si brillants... De plus en plus brillants... Subitement, il y eu une étincelle, comme des milliers d'étoiles blanches qui en jaillirent.

Je poussait un cri, reculai et manquai de tomber à la renverse. Leith me retint fermement par la taille, me garda contre lui un court instant, puis me lâcha pour disparaître dans la salle des lumière.

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Le sourire aux lèvres, je me tournai vers Leith. Il se tenait à plus d'un mètre de moi et m'observait avec une intensité qui me retourna complètement l'estomac. Et lorsque je le vis s'approcher, je me raidis instantanément. Encore un pas. Puis un autre. Un dernier... Son visage n'était plus qu'à quelques centimètres du mien. De sa bouche ou de ses yeux, je ne savais quoi regarder. Ce qui était certain, c'est que j'avais complètement oublié de respirer. Ses iris étaient si verts, si brillants... De plus en plus brillants... Subitement, il y eut une étincelle, comme des milliers d'étoiles qui en jaillirent. Je poussai un cri, reculait et manquai de tomber à la renverse. Leith me retint fermement par la taille, me garda contre lui un court instant, puis me lâcha pour disparaître dans la salle des lumières.

Je restai immobile, les jambes flageolantes, sans trop savoir si ce à quoi je venais d'assister était le fruit de mon imagination ou pas. Après plusieurs longues secondes, je repris l'escalier pour rejoindre Elaine et découvris Leith nonchalamment adossé contre le mur, les bras croisés sur la poitrine comme si rien ne s'était passé. Il attendait avec ma grand-mère et m'observait fixement, empreint d'une certaine curiosité.

[...]

Je m'empressais de leur emboîter le pas lorsque Leith me rejoignit en deux enjambées pour me retenir par le coude. Malgré moi, je frissonnai.

- Que t'est-il arrivé sur le balcon ? me demanda-t-il.

À moi ? Ça, c'est la meilleure !

- Mais... rien du tout. C'est toi qui...

Je le dévisageai, consternée.

- Tes yeux, ils... ils ont fait comme des étincelles.

Leith m'étudiait avec tout le sérieux du monde.

- Des étincelles ? Que veux-tu dire par là ?

Je balayai l'air de la main, agacée.

- Comme un feu d'artifice, quoi !

Il se composa une expression sereine.

- Eh bien..., je suppose que tu as dû confondre avec la lumière du phare.

Je fronçai les sourcils.

- Comment ça, la lumière du phare ?

- Lorsqu'on contrôle le programmateur des lampes, on fait des essais pour s'assurer qu'il fonctionne bien. Vraisemblablement, les éclairages se sont déclenchés à ce moment-là. Il n'y a jamais eu d'étincelles.

- Ah !

J'étais perplexe, mais ce qu'il disait était bien plus cohérent que mon histoire de feux du Bengale. Cependant...

[...]

- [...] À partir du moment où j'ai compris que tu ne laissais pas mon meilleur ami indifférent, j'ai forcé le destin. Vous étiez faits l'un pour l'autre.

Gwen pouffa soudain de rire.

- Tu es allée jusqu'à croire cette histoire de programmateur sur le phare !

- Tu es au courant pour le phare ! m'étouffai-je.

Un sourire en coin fleurit sur ses lèvres.

- On me raconte tout, mam'selle !

Puis je fronçai les sourcils.

- Je n'ai absolument pas avalé les sornettes de Leith, Gwen. Je sais très bien ce que j'ai vu. Des étincelles ont jailli de ses yeux.

Gwen cessa de rire.

- Et c'est toi qui as raison.

- De quoi s'agissait-il ?

- Du mór-aotrom.

- Du quoi ?

Gwen soupira.

- Littéralement, ça signifie « grande lumière ». C'est un phénomène guidé par l'Esprit et que les garous vivent une fois dans leur vie. Seul un sentiment d'une rare profondeur et d'une sincérité absolue peut le provoquer. Mais pas n'importe quel sentiment.

- Lequel ?

Gwen sourit paresseusement.

- L'amour, Hannah. Le véritable amour.

Extrait 1 : Chapitre 6 : « Pourquoi les types mignons se croient-ils irrésistibles à ce point ? », page 71

Extrait 2 : Chapitre 6 : « Pourquoi les types mignons se croient-ils irrésistibles à ce point ? », page 73

Extrait 3 : Chapitre 19 : « Je sais très bien ce que j'ai vu. Des étincelles ont jailli de ses yeux. », page 216-217

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La nuit et la pluie battante faisaient que je les distinguais mal, mais je savais que ce qui allait suivre serait d'une violence inouïe. Ils étaient debout, face à face, prêts à s'affronter. Pour moi. Ils soufflaient fort, comme des bêtes enragées. Dans un dernier effort, je réussis à me redresser pour m'adosser contre le mur. Mes muscles étaient tellement meurtris que je me demandais comment j'arrivais à ne pas m'écrouler. J'avais mal partout. Je ne les quittais pas des yeux. Je retins ma respiration et les battements de mon cœur s'accélérèrent. Je sentis des bourdonnements dans mes oreilles, des picotements dans mes yeux, et je me mis à trembler. Brusquement, je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien. Je m'enlisais dans des abîmes sombres et sans fin. Avant de m'effondrer sur le sol froid et humide, dans un état de semi-conscience, j'eus le temps de comprendre pourquoi. Il se métamorphosait. Maintenan

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- C'est pour ça que tu ne nous as pas suivis. Tu enrageais! Ah! C'est trop bon!

Il fronça les sourcils, passablement irrité.

- Trop bon de me savoir jaloux?

- Oui! Merveilleux de savoir que je t'ai manqué un peu.

Les traits de son visage se detendirent presque aussitôt.

- Tu m'as énormément manqué, Hannah.

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Hannah...., murmura t'il en me caressant du regard. Tu me rends fou.

Les joues en feu, je battis des cils.

Il se pencha, et de ses lèvres, frôla la naissance de mon oreille, jusqu'à l'arrondi de mon menton.

J'eus un long frisson, il rit et attira ma tête contre lui afin d'embrasser mes cheveux et d'en inhaler l'odeur.

- Va t'en vite, sinon je ne réponds plus de rien, m'avertit-il, aussi fébrile que moi.

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Enfin, il ouvrit lentement les yeux. Les miens étaient déjà inondés de larmes alors que je n'avais plus pleuré une seule fois de toute la semaine, pensant que mes cavités oculaires étaient devenues trop arides pour le faire. Il me regardait, hagard, comme s'il ne me reconnaissait pas, mais il était enfin réveillé. Pour moi, rien d'autre ne comptait. Mon cœur, qui avait marché au ralenti ces derniers jours, se mit à battre la chamade, revigoré par la seule vision de ces deux magnifiques yeux verts qui m'observaient.

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– Je n'ai jamais rien vu d'aussi drôle, dit Leith en souriant.

Il était confortablement installé dans le grand fauteuil au fond de la pièce, une couverture de fortune sur ses jambes.

– Oh, soufflai-je, bouche bée.

– Non, je rectifie, maintenant, c'est encore plus drôle. On dirait que tu viens de rouler à deux cents kilomètres à l'heure sur une moto, sans casque.

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La nuit et la pluie battante faisaient que je les distinguais mal, mais je savais que ce qui allait suivre serait d'une violence inouïe. Ils étaient debout, face à face, prêts à s'affronter. Pour moi. Ils soufflaient fort, comme des bêtes enragées.

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- Combien de temps a-tu décidé de rester à Wick ? demandai-je

- Hum... aucune idée, jusqu'à ce que je trouve ce que je cherche.

- Et qu'est-ce que tu cherches ?

- Je ne sais pas, je n'ai pas encore trouvé ! pouffa-t-il.

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Dans le gros chêne, un homme, vêtu d'un bleu de travail, d'un casque jaune et d'énormes lunettes de chantier, s'affairait à couper à la tronçonneuse les quelques grosses branches qui venaient se coller à la façade. Je marmonnai à voix haute :

- Evidemment... rien à voir avec une moto.

L'homme se tourne vers moi et m'aperçut.

- Bonjour, mademoiselle. Désolé pour tout ce raffut. Je vous ai réveillée ?

"Non pas du tout, c'est le doux chant des oiseaux qui est venu me caresser les oreilles !"

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