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- Ça, ma vielle, c'est HORS DE QUESTION. Tu ne nous convaincras pas de te laisser partir toute seule.

- Et puis, Cuba c'est quand même super ringard comme ville, quand on y pense.

- Et c'est quoi cette idée de partir toute seule !? S'insurge Tom. On est tes amis, comment tu peux penser aller chez les Narques et t'éclater sans nous ? C'est hyper égoïste comme réaction !

J’hallucine complément.

- Mais vous êtes tous une bande de tarés bipolaire ! Il y a cinq secondes à peine, vous me hurliez dessus parce que vous ne vouliez pas aller chez les Narques !

Isha me menace de son doigt.

- Ça, c'était avant que tu nous cherches en jouant l'héroïne qui se sacrifie pour sauver ses potes. Pour qui tu te prends ? Mulan ?

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- Elle a raison, petit frère. Il n'y a que toi pour être aussi individualiste. Tu ne connais pas le dicton : " Plus on est de fous, plus on rit" ?

- Si, et toi tu ne connais pas celui qui dit : " Plus on est de fous, plus on ralentit " ?

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- Mais vous êtes tous une bande de tarés bipolaires ! Il y a cinq secondes à peine, vous me hurliez dessus parce que vous ne vouliez pas aller chez les Narques !

Isha me menace de son doit.

- Ça, c'était avant que tu nous cherche en jouant l’héroïne qui se sacrifie pour sauver ses potes. Pour qui tu te prends ? Mulan ?

- Il n'a pas tord, ajoute calmement Arthur, pragmatique.

- Et puis, reprend Face de Citron, tu crois qu'on va te laisser recevoir tout le crédit pour le sauvetage de Gabi ? Je te signale que c'est aussi mon ami, et que je ne te laisserai pas le sauver sans mon aide.

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-J’ai peur, Arthur.

Celui-ci me lance un regard interrogateur. Je m’éclaircis la gorge, mais j’ai toujours l’impression que du gravier crisse quand j’utilise mes corde vocales.

-Je me rends compte que j’ai distribué mon cœur à beaucoup de personnes. Je l’ai distribué sans réfléchir, et toi, Ethan, Tom, Henry, Saphira, et même cet abruti d’Isha, vous en tenez tous un morceau, plus ou moins gros, entre vos mains.[...] Et j’ai peur, Arthur. Parce que les gens autour de moi ont la sale manie de disparaître, dans tous les sens du terme. Et j’ai peur, parce que s’il arrivait malheur à un seul d’entre vous, je crois que les morceaux restants de mon cœur ne s’en remettraient jamais. Et je suis morte de trouille. Morte de trouille de tuer encore quelqu’un que j’aime.

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Il n'est pas mort à cause de toi, Cassiopée. Il est mort pour toi, et ça fait une grande différence.

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Quelqu'un frappe tout à coup à la porte. Deb se relève, les oreilles dressées. Je m'approche de l'entrée et colle mon oreille contre le battant.

– Qui est-ce ?

– Le livreur de pizzas, me répond une voix railleuse. C'est vous qui avez commandé une spéciale questions stupides ?

– La ferme, Isha, répondent à l'unisson quatres autres voix.

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La voix d’Isha retentit devant nous.

— Dites, vous êtes au courant qu’il n’y a pas de messe basse sans curé ? J’ai mon diplôme de prêtre si ça vous intéresse.

Gab lève les yeux au ciel.

— Tu n’arrêtes jamais de dire des bêtises ?

— Désolé, j’ai aussi un diplôme d’âneries. Je suis comme ça moi, un mec polyvalent. Pas étonnant que les filles tournent toutes autour de moi.

Je lui lance un regard qui en dit long et me tourne vers le groupe. 

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— Vils fêlons ! Je vais tous vous pourfendre jusqu’au dernier, bande de vermines assoiffées de sang ! Couards ! Coquins sans foi ni loi ! Venez donc vous frotter au vengeur des âmes perdues !

La voix d’Isha résonne dans tout le château et je ne peux m’empêcher de pouffer de rire. Il fallait qu’il se la joue chevalier. C’était bien sûr plus fort que lui.

Il est censé être victime d’une crise de somnambulisme aiguë.

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— Qu’est-ce que tu nous veux ?

Il secoue la tête.

— Oh, mais je ne te veux rien du tout ! Sache juste avec certitude que si tu nous trahis, à un moment ou à un autre, que ce soit maintenant ou dans deux mois, je serai le premier à avoir ta peau.

C’est ce moment que choisit Gabriel pour éclater d’un rire incrédule.

Korah lui lance un regard courroucé.

— T’as un problème ?

Gabriel continue de rire, plié en deux.

— Excuse-moi, vieux, mais je trouve cette situation tellement grotesque ! Toi avec ta bande de pucerons seriez presque crédibles si vous ne portiez pas encore des couches. Vous me faites bien rire avec vos menaces puériles ! Pour qui vous vous prenez ? La mafia ? Laisse-moi te dire un truc : tes menaces n’intimident personne. Alors tu vas me faire le plaisir de faire demi-tour et de nous oublier, ou on va devoir appeler ta maman.

Isha éclate de rire.

— Amen, mon frère

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Extrait ajouté par Lou8 2020-10-19T13:09:37+02:00

La voix d’Isha retentit devant nous.

— Dites, vous êtes au courant qu’il n’y a pas de messe basse sans curé ? J’ai mon diplôme de prêtre si ça vous intéresse.

Gab lève les yeux au ciel.

— Tu n’arrêtes jamais de dire des bêtises ?

— Désolé, j’ai aussi un diplôme d’âneries. Je suis comme ça moi, un mec polyvalent. Pas étonnant que les filles tournent toutes autour de moi. 

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