Alexiane De Lys

Une lecture prenante et qui nous capte sans qu'on puisse vouloir en sortir. J'ai adoré le personnage de Thiziri. Elle a une différence. Pour cela elle a dû faire plus pour être acceptée et malgré cela ce ne fut pas suffisant. D'où le plaisir inoui lorsqu'on la voit s'en sortir mieux que bien. Une histoire qui parle d'écologie, de protection de la faune et de la flore. D'un lien potentiel entre le végétal et l'animal. Une fois démarrée les aventures se succèdent et sont parfois violentes mais pas assez pour rebuter un large public. Bravo encore une fois madame de Lys pour cet univers riche et intéressant.

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En lisant le résumé et en achetant le livre, mes pensées ressemblaient plutôt à ça : pourquoi pas ça à l’air sympa, peut être un peu cliché par contre…

Mais pas du tout ! La plume d’Alexiane de Lys est entraînante, j’ai dévoré le livre en un temps record ! Alors c’est vrai, c’est une histoire de sirènes. Mais l’auteure nous conte son roman de manière à ce qu’on ait l’impression de découvrir un tout nouveau monde ! La romance, que je n’attendais pas puisqu’elle n’était pas présente dans le résumé, existe ! Un enemy-to-lover tout simplement délicieux !

Bref, j’ai adoré et ne peux que vous le conseiller !

J'ai adoré (re)découvrir les mythes des sirènes et ondines autour du monde.

Je connaissais déjà les Marie Morgane de Bretagne et leur cité d'Ys, je connaissais également les sirènes scandinaves - La petite Sirène en est le parfait représentant physique même si elle s'éloigne malgré tout des légendes.

Mais ce livre m'a permis de découvrir les Iemnajas - les ondines du Brésil, mais aussi le terme des Margygrs européennes

Elle crée autour de ses différentes sirènes un univers extrêmement riche et intéressant : L'histoire de la symbiose avec l'animal qui les marque et leur donne leur queue ainsi que leurs caractéristiques physiques et leurs capacités.

Une nouvelle fois - j'ai lu Thiziri il y a peu - l'auteur axe une partie de son roman sur l'écologie.

Elle parle ici de la pêche de masse, qui abîme les fonds marins, ainsi que la surconsommation qu'elle entraîne : toujours plus, au détriment de l'océan.

Elle parle du non-respect de l'Homme pour l'environnement, qui détruit plus qu'il ne préserve.

L'intrigue est géniale, remplie de secrets, de mensonges, de non dits... On part sur une quête dangereuse, pour laquelle tout le monde veut se servir de l'héroïne.

Quant aux origines de l'héroïne justement, la fin m'a surprise, je ne m'attendais pas à de telles révélations !

Moi qui aime le monde des sirènes, j'ai vraiment adoré ma lecture !

Waouh ! Quelle claque !

Et là, comme certains lecteurs, je me demande "mais pourquoi je n'ai pas acheté le tome 2 tout de suite à Mons ?!"

L'univers du livre se laisse découvrir petit à petit.

Cette nature hostile à l'Homme, loyale aux Ekomers, terrain de chasse de créatures plus improbables les unes que les autres.

Cet univers à la Avatar est tellement bien décrit qu'on a envie y plonger et à la fois, on est bien mieux dans son canapé à lire les (més)aventures de Thiziri !!

Et puis, il y a la découverte qui n'aurait jamais dû être...

Les premiers doutes s'installent et on commence à faire des hypothèses, des spéculations sur ce que pourrait la vérité de ce monde, caché avec tant de soin par les Anciens.

On découvre les Ekomers et leur façon de vivre en symbiose avec la nature. Cette relation est à la fois simple et complexe, et belle en même temps.

Ce livre possède de jolies valeurs : écologiques, mais aussi morales, de justice, de respect et de tolérance.

Ce livre est une très belle leçon !!

Je l'ai commencé en douceur avant de le dévorer, et désormais, l'attente va être longue avant d'avoir la suite...

Ce roman est une bombe !

Un magistral ôde à la beauté de la nature, à sa puissance et sa faiblesse.

Les Ekomers sont un peuple vraiment très éloigné des humains de par sa façon de penser et son lien - extrêmement fort - avec sa planète.

Thiziri est une héroïne géniale, pleine de ressources et le cœur empli de justice et de bienveillance.

Spoiler(cliquez pour révéler)Elle s'adapte aisément au peuple Ekomers et je trouve l'équilibre Siolka/Siolke très beau !

J'ai aussi adoré Syssénay et Elyrwa !

Très hâte de découvrir la conclusion de cette magnifique lecture !

Une belle histoire avec une saveur écologique qui se termine bien. La forêt vivante qui s'exprime et qui peut se défendre contre ceux qui lui font du mal c'est très intéressant. Thiziri est un personnage intense que je n'oublierai pas. Aventures et même du chagrin accompagne le lecteur jusqu'à la fin. à lire

Ça y est, le dernier tome de ma série coup de cœur de cette année est terminé. Cette trilogie était absolument magnifique, fascinante par son univers unique qui devient vite familier, touchante par ses personnages attachants pleins de fragilités et surtout addictive au possible ! Ce dernier tome conclut avec panache et brio une aventure qui aura durée trois tomes et nous aura fait visiter différentes parties du monde, nous trimballant à gauche à droite dans les valises de Perséphone, au grès des revirements de situations plus qu’inattendus, particulièrement présents dans cette dernière intrigue. J’ai vraiment aimé cet aspect du récit puisqu’on ne peut pas deviner où l’auteur veut nous amener ni ce qu’elle prévoit pour nos chers personnages. L’histoire est menée d’une main de maître, aucun coin sombre n’est laissé au hasard, tous les mystères sont résolus et toutes les réponses (ou presque) aux questions posées dans les autres tomes ont été apportées (je dis presque parce qu’il reste quelques points à éclaircir, mais on me dit dans l’oreillette qu’il faudra lire le préquel pour en savoir plus…). Les personnages ont tellement grandi eux aussi entre le tome 1 et 3 ! Mais ceux qui m’ont le plus touchés sont Mewen et Tante Méduse. L’un par la découverte progressive de sentiments qu’il pensait ne jamais ressentir, puis par le face à face avec sa propre vulnérabilité et son chemin vers le pardon, l’autre par son parcours dans les étapes du deuil et sa reconstruction progressive avec toujours la volonté de protéger ceux qu’elle aime. Et vraiment, la romance Mewen-Persie est juste incroyablement touchante, mignonne, attendrissante, etc. Je suis gaga de leur couple, ils sont trop choupiiiis ! J’ai aussi été époustouflée par la créativité de l’auteur et tout l’univers qu’elle a su créer autour des personnages, la science, la culture et l’histoire de ce monde sous-marins (et je pense qu’il y en aura d’avantage à apprendre dans les préquels justement!)

Bref, j’ai vraiment tout aimé dans ces livres et je les recommande chaudement à quiconque ayant soif d’aventure, de légendes et de romance. Vive Alexiane de Lys et ses livres merveilleux !

Spoiler(cliquez pour révéler)Ps : L’épilogue… Mais l’épilogue quoi !!! J’avoue avoir versé une petite larme (bon ok, une cascade de larmes) quand j’ai lu qu’ils s’étaient mariés et j’ai bien évidemment sauté dans tous les sens avec toutes les autres petites scènes entre eux absolument trop mignonnes.

Ce livre fut une trèst belle découverte.

J’ai vraiment adoré l’univers « post apocalypse » où la faune et la flore ont repris leur droit et on ils ont une certaine conscience.

J’ai beaucoup l’héroïne Thiziri, elle est vraiment attachante et a une belle force de caractère.

Les personnages secondaires ne sont pas en restent. Ils sont vraiment bien construits et tout aussi attachant.

J’ai apprécié découvrir le peuple des Ekomers, leurs huses et coutumes.

L’univers est vraiment incroyable! Je ne vous cache pas que ça m’a fait penser à avatar.

Les descriptions sont top et rendent la lecture immersive.

J’ai hâte de découvrir la suite!

L'histoire est chouette même si elle ne révolutionne pas le genre et que certains aspects sont donc un peu prévisibles. Le suspens est manié avec subtilité, les personnages très attachants, et le message, s'il est un peu manichéen, n'en reste pas moins très beau. Une lecture agréable à conseiller.

Bon, je n’ai encore une fois pas été conquise par ce roman. Heureusement qu’on avait organisé une LC avec une copine, sinon je pense que je ne serai pas allée plus loin. En effet, la longueur et la lenteur du tome 1 n’est pas contrebalancée par les deux derniers : cette saga aurait gagné à être bien plus courte. L’univers de ce tome 3 est constant par rapport à celui des deux premiers tomes : il n’y a pas d’extension réelle, mais on découvre « en vrai » plusieurs pôles dont on entendait parler depuis le tome 1. Les descriptions sont parfois trop lourdes, ce qui tend à rendre le récit inutilement long. Enfin, certains, certains détails propres à l’univers restent : par exemple, certains dialogue qui sont censés être en Islandais sont traduits en français, mais certains mots restent en VO, ce qui donne un mélange particulier.

L’histoire est également très redondante (décidément, je n’aurais de cesse de le dire tout au long de cette saga). Ainsi, on a une grosse impression de déjà vu, quoique certains passages soient très intéressants et étonnants, mais trop peu nombreux à l’échelle de la saga. De plus, le rythme des actions et donc du récit est grandement déséquilibré, ce qui renforce cette impression que l’histoire est trop compliquée inutilement. De plus, je n’ai pas trouvé que la fin était à la hauteur de l’attente (et dieu sait si elle était longue depuis le début du tome 1), avec encore et toujours des éléments incohérents.

Pour ce qui est des personnages on retrouve sensiblement les mêmes que dans les tomes précédents. Ainsi, l’accent est mis sur les relations entre les personnages, qui va beaucoup trop vite à mon gout dans leur évolution, et qui est également trop poussée à l’extrême. Parlons un peu de l’héroïne : je l’ai trouvée de plus en plus agaçante, ce qui n’a pas aidé à ma lecture… Pour ne dire qu’une seule chose : ses émotions, elle nous les rabâche sans cesse au lieu de nous les montrer. De plus les personnages secondaires ont du mal à rester dans leur personnalité quand vient le développement des actions qui paraissent alors complètement hors-personnages (je ne peux malheureusement pas en dire plus sans gâcher la seule surprise de ce roman). Ce manque de continuité avec les personnages est vraiment déplorable.

Je vais clôturer a chronique sur la plume de l’autrice qui, croyez-moi, continue de dégringoler en qualité. Le récit est ponctué de beaucoup trop nombreuses lourdeurs, ce qui ne le rend pas agréable à lire. Néanmoins, le message porté depuis le tome 1 sur la cause animale est plutôt bien réussi, mais encore une fois trop rabâché. De plus, il y a un sérieux problème de propos anti-féministes et/ou misogyne qui gâchent complètement la perception de l’héroïne.

Une saga que je suis bien contente d’avoir finit, et de na pas avoir à relire un jour.