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— Il te manque plus qu'un nœud pap ou une cravate et ce sera parfait.

— Justement, sais-tu faire un nœud de cravate ?

Il me montra une belle bande en soie blanche et esquissa un sourire timide. Je levai un sourcil.

— Pourquoi ? Tu veux que je t'étrangle avec, c'est ça ?

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— Peux-tu tremper ma plume ? me coupa Sytry en me la tendant.

Je me retournai et le fixai, interloquée. Il avait oublié l'encrier sur la table, bien entendu...

— Tu ne veux pas aussi que je te la taille ?

Oh non ! Je lui avais bien dit ça ? Ma langue était vraiment fourbe par moments, mais là... Zut ! J'avais envie de la mordre pour la peine ! La langue, hein ? Pas...

— Hum... Ma chère, pouffa-t-il d'un air goguenard. C'est une proposition qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Comment pourrais-je refuser ?

— Je n'ai jamais dit ça, tu n'as pas bien compris !

— Si, si, j'ai très bien entendu. Ne t'inquiète pas, je saurai te le rappeler au moment voulu...

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J'attrapai une culotte et un soutien-gorge, puis ouvris l'armoire en hésitant sur le choix de ma tenue.

— La robe verte, me suggéra l'Amerloque.

— Nom d'un cornichon !

Je sursautai en le sentant juste dans mon dos.

— Comment es-tu arrivé jusqu'ici ?

— Comme toi, avec mes deux jambes et un pied devant l'autre. Pourquoi ?

— Ne dis pas de bêtises ! Tu n'as pas fait de bruit en marchant !

— C'est toi qui as les oreilles bouchées, ou alors, tu pensais à autre chose...

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— Oui, allons-y ! Parce que j'ai vraiment l'intention de froisser ces jolis vêtements d'ici la fin de la nuit ! Ricana Sytry.

— Ah, les hommes ! Vous avez toujours envie de vous battre ! m'exclamai-je.

— On ne peut rien te cacher, m'avoua Sytry.

— Humm, fit Lawrence. Le pistolet n'est pas mon arme favorite...

— Ah, toi aussi tu préfères le combat au corps à corps ? lui demanda le prince, pince-sans-rire.

— Oui, et surtout dans un lit !

Je levai les yeux au ciel. Ils s'étaient ligués contre moi ou quoi ? Misère... Faites que je sois assez forte pour supporter ces deux hurluberlus pendant toute la soirée !

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— Aliette ! fit Uphir, tout content. Ça fait longtemps, je suis heureux de vous revoir ! Allez ! Ne faites pas la timide, asseyez-vous à côté de moi, on ne va pas vous mordre !

Magnifique ! La blague préférée des dents longues ! Ils pourraient changer de registre, non ?

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Mes genoux jouaient des castagnettes et mes dents claquaient en rythme.

Je n'aimais pas du tout cet endroit pendant la nuit... Il y avait trop de corbeaux qui croassaient à mon goût. Qu'avaient-ils à faire un boucan de tous les diables en même temps, hein ? Ce n'était pas la saison des amours, pourtant !

Mais, qu'est-ce que tu racontes, Aliette ? Tu n'as même pas idée de la période de reproduction de ce genre de bestiole ! grommelai-je intérieurement

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- Commence par enlever tes grosses mains de ma robe ! Elle est fragile... Je t'ai déjà dit qu'elle m'a coûté la peau des fesses !

- D'accord ! obtempéra-t-il docilement.

Sytry retira sa main de mes hanches et d'un geste précis, retroussa entièrement ma jupe et passa ses doigts sur ma cuisse mise à nu.

- Mais ! Pas de cette façon ! le grondai-je.

- Comment, alors ? Comme ça ?

Son autre main fit glisser ma bretelle et pétrit mon épaule.

- Ou comme ça ?

Soudain, ses lèvres se posèrent sur ma bouche et, avant même de comprendre ce qu'il m'arrivait, sa langue dansait le tango avec la mienne. Ses doigts pianotèrent sur ma clavicule et descendirent sur mon sein pour caresser sa pointe à travers l'étoffe.

source site "dans notre petite bulle"

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Melchom n'avait pas pipé mot pendant le trajet, malgré mes nombreuses questions. Si bien que j'en avais conclu plusieurs choses à son sujet. Petit un : il était peut-être effarouché comme un caneton le jour de son premier bain en public. Petit deux : je l'intimidais, mais ça, je n'en étais pas tout à fait certaine, et enfin petit trois : il serrait les crocs pour ne pas me flanquer une rouste. Parce qu'il est vrai que je n'y avais pas été mollo avec mes bavardages. Oh non ! Il avait eu droit à toutes mes élucubrations et à tous les ragots mondains des quatre coins du globe.

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Si j'avais eu des marmots, je ne les lui aurais certainement pas laissés à garder. On aurait dit la nourrice d'Hitler en personne ! Brrr !

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Mais le regard qu'il porta à ma chemise de nuit fine me donna des bouffées de chaleur partout. Pouh ! Se rendait-il compte à quel point il avait un sex-appeal à faire bégayer les vieilles mémés miros ?

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