Extrait

- "J'étais un idiot." Elle était d'accord. "Les signes étaient là mais je ne voulais pas les voir."

Elle arqua un sourcil, intriguée malgré elle. Cela semblait être un bon début.

- "Les signes ?"

Il acquiesca.

- "Oui, j'ai arrêté de regarder les autres femmes, je suis devenu surprotecteur et possessif quand quelqu'un te regardais - Seigneur, j'ai failli frapper un marchand pour avoir baissé les yeux sur ta robe ce jour-là sur le marché - j'ai oublié mon honneur en t'emmenant au lit avant nos vœux, et j'étais alternativement misérable et irrationnel, faisant des choses ridicules. »

- "Tu veux dire comme me kidnapper?"

Il fronça les sourcils.

- "Non. Comme je l'ai dit, c'était censé être romantique. »

- "Qui t'as dit ça?"

- "MacSorley."

- "Je pense que tu ferais mieux de trouver de nouveaux amis."

Randolph fit une grimace.

- "Cela semblait un peu, euh, peu orthodoxe."

- "C'est un euphémisme." Elle lui lança un regard lourd de sens. «Alors je dois comprendre que tu professes maintenant m'aimer parce que depuis que tu m'as emmené au lit tu n'as pas sauté dans celui d'une autre femme, parce que tu étais un peu inquiet pour moi et que tu n'appréciais pas quand les regards d'autres hommes louchaient sur mon corsage ? Elle leva les yeux au ciel. "Cela semble à peine suffisant pour construire une vie."

Il ne semblait pas aimer qu'elle lève les yeux au ciel ou son ton désinvolte. Son regard s'est aiguisé.

- "Tu es aussi la femme la plus irritante que j'aie jamais rencontré."

Il avait l'air si merveilleusement frustré qu'elle se demanda s'il était temps d'avoir pitié de lui. Elle ne pouvait pas entièrement cacher son sourire. "Vraiment ? Pourquoi ne pas avoir dit ça immédiatement. "

Il la regarda comme s'il ne pouvait pas le croire. "Bon sang, le Faucon avait raison."

[Traduction personnelle]