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« Il me fixa soudain très intensément, très profondément. C’était à la fois agréable et à la fois intrusif, car je n’avais aucun moyen de me défaire de cette emprise. Oubliant tout autour de moi, je sentis une vague de chaleur m’envahir. Il dévia légèrement son regard sur mes lèvres et je me sentis tout à coup incapable de lui dire non, ou de me concentrer sur quoi que ce soit d’autre que lui. »
Afficher en entier« -Je sais aussi que tu as des craintes que tu n'oses pas me dire, mais je t'aime, je le sens quand tu as quelque chose qui te chagrine, je n'y peux rien, c'est ainsi. N'aie jamais crainte de moi ou de mes sentiments, je t'aime, tu es ancrée en moi. Tu es à moi, ça, ne l'oublie pas non plus. Et ça, tu vois, ce futur, cette branche de cerisier, je me battrai pour le réaliser. Pour t'offrir ce qu'il y a de mieux, pour te donner tout ce que tu mérites et te rendre heureuse.
Les larmes roulèrent sur mes joues. Il les essuya avec son pouce et frotta son index dessus comme pour s'en imprégner, afin de ne rien perdre de moi.
-Je ne pensais pas que mon histoire allait s'écrire de la sorte.
-J'ai foi en toi, lupa, en nous. Même si j'avais cinquante chances de me retourner et de pouvoir réécrire l'histoire, je prendrai le même chemin avec toi, telle que tu es maintenant.
-Vraiment ?
-Oui.
-Oh, Torian, je t'aime... »
Afficher en entier« — Écoute-moi bien, mon ange. Vis ta vie, ne meurs pas jeune, deviens vieille, mais reste aussi belle que ta mère. N'aie aucun regret, parle, crie, rigole, pleure, fais des bêtises. Va en voyage, étudie les massages, écoute du rock, chante à tue-tête, danse comme tu sais si bien le faire. Laisse-toi pousser les cheveux, apprends des coutumes étrangères. Dis à Blody que tu l'aimes et protégez-vous l'une et l'autre.
— Papa...
— Rencontre du monde, joue, rigole, fais-toi des tas d'amis, perds-les puis retrouves-en d'autres, trouve un boulot, puis un autre et encore un autre jusqu'à ce que tu fasses ce que tu aimes vraiment. Tombe amoureuse d'un homme qui te fera comprendre combien tu es magnifique, combien tu comptes pour lui. Fonde une famille, deviens celle que tu veux être. Mange des tonnes de cookies et lis des mangas jusqu'à en avoir mal aux yeux. Sèche les cours si ça te fait rire, va à la plage si tu en as envie, fais le saut de l'ange. Aie peur, mais ne regrette jamais rien. Vis. C'est facile tu as juste à respirer, tu inspires puis tu expires. Tu vis, quoi. »
Extrait de: Athame. « Alfreda Enwy - L'Empreinte - Les Chroniques De Neliel T1. » iBooks.
Afficher en entier— Au fait, j’ai croisé un type à l’aéroport, je l’ai revu hier au cimetière, un flic. Un vrai connard.
— Mais ?
— Mais quoi ?
— Tu n’as pas fini ta phrase, il y avait un mais en majuscule…
— Je crois bien que c’était le plus bel homme de la Terre.
Elle prit une serviette qu’elle enroula autour de ses épaules et vint se rasseoir sur le rebord de la baignoire à côté de moi.
— Raconte.
— Il n’y a rien à raconter, à l’aéroport, je me suis lamentablement vautrée comme une merde par terre, il m’a juste aidée à me remettre debout, et hier il était vraiment très con. J’ai aidé une femme qui se faisait agresser et il est venu prendre ma déposition…
— Il est comment ?
— Il est grand, brun, les yeux sombres, mince, avec des épaules larges, et un torse musclé, et la façon dont son pantalon lui descendait sur les hanches... Oh mon dieu, Blody il y a des mecs quand tu les vois tu sais qu’ils sont beaux, mais ça s’arrête là, et puis il y a les types comme lui qui te rendent complètement dingue en un simple regard… J’avais tous mes sens en ébullition…
Afficher en entierLien vers plusieurs extraits fournis par l'auteur(e) !
http://alfreda-enwy.com/?page_id=28
Afficher en entierTu contrôles parfaitement ton cœur, petite fille. Alors arrête de tergiverser et fais-toi une raison. Dans deux minutes, je te lâche. — Donne-moi au moins un conseil, quelque chose ! Ne me laisse pas comme ça. — Ah ! Enfin ! s'esclaffa-t-il. Enfin une parole sensée, mais je n'ai pas de conseil à te donner. — Ne te fiche pas de moi, papy, m'emportai-je.
Afficher en entier« Les choses visibles sont éphémères, les invisibles sont éternelles.
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