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... Il avait du mal à accepter ce qu'il venait d'entendre, ce qu'il venait de comprendre. Son père avait été flic toute sa vie. Jamais il n'avait mentionné son adhésion au compagnonnage. Cela n'avait pas de sens ! Pourtant, Jack ne pouvait pas l'avoir inventé. S'il connaissait Mona Safran, c'était forcément qu'il avait compagnon et membre de la loge. Une chose était sûre : cela expliquait ses liens si forts avec Paul Cazo.

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La vieillesse était le plus terrible des affronts, parce qu'on ne pouvait jamais la battre. Elle finissait toujours par l'emporter.

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... sa définition de l'amitié: l'important n'était pas forcément d'être présent les jours de fête, mais de ne jamais être absent les jours de crise.

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Après avoir pioché plusieurs ouvrages de référence dans le rayon consacré à l'histoire médiévale, il prit place à une table parmi les étudiants. Il feuilleta les livres qu'il avait sous les yeux et lut avec attention les différentes biographies qu'il put trouver au sujet de ce personnage.

Avant tout, on y relatait la brillante carrière religieuse de cet homme né en Auvergne vers 938. Après des études dans un monastère bénédictin, il s'était fait remarquer en 963 par le comte de Barcelone. Celui-ci l'avait emmené en Espagne où il avait poursuivi ses études. Passionné d'arithmétique, il s'était notamment permis d'abandonner l'emploi des chiffres romains, leur préférant ceux des marchands arabes, nombreux à Barcelone.

Après trois ans passés à étudier en Espagne, Gerbert d'Aurillac avait accompagné le comte de Barcelone à Rome, où il avait rencontré le pape Jean XIII et l'empereur Othon Ier. Celui-ci, impressionné par son érudition, lui avait alors confié l'éducation de son fils Othon II. Repéré quelques années plus tard par l'archidiacre de Reims, il prit la direction du collège épiscopal de cette ville.

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II. Il y a une étendue.

Je continue sur cette étendue, la voie qui m'est tracée. Étrangement, ce fut plus facile que la première fois. Les gestes me viennent presque naturellement, maintenant. Et puis, j’étais en terrain connu. Il est mort sans surprise, en silence.

J'ai ressenti la même excitation et peut-être du plaisir. Le plaisir de retrouver cette intensité. Le sang. La peur dans leurs yeux, au tout dernier instant. L'intérieur de leur crâne. L'interdit.

Je me débarrasse de ce qui pourrait me retenir. C'est comme si je n'étais pas moi-même dans ces moments-là. Pourtant c'est ce que je dois devenir. C'est ma mission. Par elle, je me dépasse.

Les choses se mettent en place. Le secret se dévoile. Les carrés se juxtaposent et le message prend forme. Le secret se dessine sur l'astrolabe. Bientôt nous pourrons retourner à la source.

Le creux doit sortir.

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Ils fonçaient droit vers le domicile de Zalewski afin de s'équiper avant de partir délivrer Lola. Essayer en tout cas. Krystov n'avait pas hésité une seconde ni émis la moindre réserve. Au cours des derniers jours, les deux hommes avaient noué des liens de confiance suffisants pour agir comme deux collègues.

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La douleur, il la côtoyait depuis longtemps. Il avait même fini par l'apprivoiser. C'était le lot des hommes de son âge. Mais ce que cette femme était capable de faire dépassait largement tout ce qu'il avait pu ressentir jusqu'à présent . Et il ne voulait pas partir ainsi. Partir dans la plus aiguë des souffrances.

Jean Colomben serra les poings. Ne pas y penser. Il fallait qu'il se concentre sur autre chose. Il savait pertinemment qu'il n'avait pas le choix. Qu'elle finirait, de toute façon, par le tuer de la même manière qu'elle avait tué les cinq autres. Au bout du compte, il n'y avait qu'une route à suivre : celle qui menait vers la mort. Et il fallait qu'il prenne cette route sans dévier. Il suffisait qu'il se fasse une promesse : ne plus jamais ouvrir la bouche. Oui. Se tenir à cette seule promesse, quoi qu'il advienne. Ne plus jamais ouvrir la bouche.

Et comme pour sceller son serment, Jean Colomben ouvrit soudain les yeux et prononça ce qui devait être ses dernières paroles.

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La voix féminine du GPS leur signala bientôt qu'ils étaient arrivés à destination. Sur la droite, en retrait des rares maisons qu'il y avait alentour, un mur de pierre encerclait un parc paysager en haut duquel on apercevait le toit bleuté d'un pavillon du XIXème siècle. Au milieu du mur, à quelques pas de la rue, une grande grille noire en fer forgé marquait l'entrée de la résidence.

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Albert Khron s'efforça de garder son calme. Les mains toujours croisées derrière le dos, le vieil homme parlait d'une voie grave et posée.

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Le commissaire divisionnaire Allibert débarqua en milieu d'après-midi au tribunal de grande instance de Chartres, rue Saint-Jacques. Il monta rapidement l'escalier en pierre jusqu'au bureau du procureur Rouhet, impatient de lui apporter enfin cette première bonne nouvelle. Depuis que Mackenzie avait été habilité par le procureur à enquêter sur l'affaire du trépaneur en parallèle, la DIPJ de Versailles allait d'humiliation en humiliation. Alors que l'agent des RG progressait rapidement dans son enquête, eux n'avaient rien de concret. Il était grand temps de reprendre la mainn.

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