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Dialogue entre Sally et Roke.

-Combien de temps vais-je rester prisonnière?

-C'est à Styx d'en décider.

-Tu ne peux juste me laisser enfermée ici.

-Regarde.

Il s'éloigna, montrant le cul le plus délectable qu'elle ait jamais vu moulé dans un jean. Elle réprima un gémissement au désir qui explosa en elle, et feignit de passer la tête à travers les barreaux pour lui crier après, et non pas pour admirer ses jolies fesses.

-Tu es un salopard cruel et insensible, sangsue!

-Roke.

Elle fronça les sourcils alors que sa voix désincarnée flottait dans l'air.

-Quoi?

-Je m'appelle Roke, pas sangsue.

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Au moins son trouble intérieur n'était pas visible alors qu'elle croisait le regard noir brûlant de Santiago.

-Pardon?demanda-t-elle du ton froid qui, elle ne l'ignorait pas, le mettait sur les crocs.

Il pointa un doigt sur Levet.

-Pourquoi te déplaces-tu avec casse-pieds?

Elle plissa les yeux.

-Je te prie de ne pas insulter mon ami.

-Oui, n'insulte pas son ami, grommela Levet en se postant à coté d'elle avec un reniflement offusqué. Au cas où tu aurais raté la mammographie, je suis un héros.

Santiago se renfrogna.

-"La mammographie"?

-Le mémo, corrigea Nefri. Raté le mémo.

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Savoir tout ça n'améliora pas l'humeur de Nefri;et elle fut soulagée d'entendre un battement d'ailes, juste avant que Levet descende d'une branche d'arbre en flottant.

-Enfin, se lamenta le minuscule démon. Je commençais à craindre que vous m'ayez oublié.

-Si seulement j'avais autant de bol, grommela Santiago avec hargne.

Il dépassa la gargouille pour se diriger vers le camion presque entièrement dissimulé par les épaisses broussailles. Levet renifla avec mépris et marcha au coté de Nefri.

-Il s'est levé la tête dans l'oreille?

-Dans le cul gargouille, rectifia Santiago en ouvrant la portière du véhicule, qui semblait bon pour la casse-et sans plus de délai. On dit:"je me suis levé la tête dans le cul."

-Pouah!(Levet grimaça). Je ne souhaite rien savoir au sujet de tes parties honteuses.

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— J’ai pataugé dans la boue pour me rendre dans une bibliothèque ?

Elle soutint son regard réprobateur.

— Où aller sinon quand on cherche des informations ?

— Sur Google ?

Elle secoua la tête.

— Google ne détient pas les réponses dont on a besoin.

Il pointa son épée vers les murs ornés de miroirs qui étaient visiblement dépourvus de livres. D’après ce qu’il en voyait, cette salle correspondrait plus aux goûts de Paris Hilton que d’un

érudit.

Nefri ne lui disait pas tout.

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- Hé. C est censé être les pets avant les tartes.

- qu'est ce que... ?oh pour l 'amour du ciel, c 'est "les potes avant les petasses".

- ce n est pas très poli, protesta levet d un ton choqué en se tournant vers nefri. Pardonnez sa grossièreté ma belle.

- je m y efforce.

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S'avançant sous le flot d'eau chaude, Nefri nettoya avec reconnaissance la puanteur tenace du marécage et lava ses longs cheveux avant de tendre la main vers le savon. Alors même qu'elle refermait les doigts sur le flacon, la porte de la douche s'ouvrit et un Santiago nu entra dans la grande cabine.

- Laisse-moi faire, murmura-t-il, s'emparant sans mal de la bouteille.

- Je n'ai pas terminé, cracha Nefri, interloquée.

Malgré elle, elle baissa les yeux sur son corps ferme et parfaitement ciselé.

D'accord, ce n'était peut-être pas entièrement malgré elle, reconnut-elle avec un frisson d'excitation.

Il était...magnifique.

Comme une oeuvre d'art exquise.

L'eau ruisselait sur sa peau hâlée, plaquant ses longs cheveux de jais sur les muscles doux de son torse et scintillant sur son visage fin de toute beauté.

Comment était-elle censée résister à la tentation de faire courir ses doigts, puis ses lèvres, sur ce corps lisse et viril ?

Flairant aisément l'émoi qui explosa brusquement en elle, il fit couler une bonne dose de savon dans sa paume et arbora un sourire empreint d'une promesse coupable.

- Bien, dans ce cas je peux te laver le dos, proposa-t-il.

Elle lutta pour s'éclaircir les idées.

- Je suis capable de me laver moi-même.

- C'est toi qui a dit qu'on devait partager.

- Ces appartements, pas la douche.

il pinça les lèvres.

- Se protéger est toujours bien, tu ne penses pas ?

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— Santiago a téléphoné juste avant l’aube, annonça-t-il.

Ah. Roke avait entendu qu’on s’agitait alors qu’il s’était couché pour se reposer pour la journée, mais il avait été trop tard pour en rechercher la cause.

— Ça a dû être un putain de coup de fil pour que tu rappelles ton Agence tous risques de sa mission gargouille.

Il décocha un regard railleur à l’immense vampire à la longue tresse blonde et aux féroces yeux bleus. Jagr était devenu depuis peu le chef officiel des Corbeaux.

— C’est la fin du monde ? ajouta-t-il.

Le vampire s’avança ; il respirait par tous les pores le guerrier wisigoth qu’il avait autrefois été.

— Non, mais pour ce qui est de ta propre fin, ça peut facilement s’arranger, Geronimo, gronda-t-il.

Roke ricana.

— Tu n’as pas un village à piller, Viking ?

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— Lorsque j’ai pris le job d’Anasso, j’ignorais que je devrais devenir l’homme qui murmurait à l’oreille des vampires. J’avais juste envie de donner des coups avec ma grosse épée.

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- Roke?

- Chuuut, souffla-t-il distraitement.

Déconcertée, elle le regarda continuer à arpenter la pièce, la tête inclinée sur le côté, de sorte que ses cheveux de jais lui frôlaient l’épaule. Il avait l’air de chercher quelque chose. Mais quoi?

Des haricots verts?

- Bon, tu commences à me faire flipper, dit-elle, brisant enfin l’épais silence.

Il rit doucement, et s’arrêta pour enlever les boîtes de conserve.

- Aie confiance, mon amour.

Mon amour. Elle grimaça. Putain, il allait avoir graaaaave les boules quand son sort se dissiperait.

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— Bon sang. (Il sortit son portable.) Préviens la gargouille qu’elle devra rester ici pendant que j’appelle Styx.

— Et tu prétends que je suis autoritaire ? Il fronça les sourcils.

— Tu as une meilleure idée ?

— Non, admit-elle, une expression de défi sereine sur le visage. Je voudrais juste te faire remarquer qu’avant de critiquer mieux vaut…

D’un mouvement rapide qui la prit au dépourvu, il lui passa un bras autour de la taille et l’attira contre lui.

— Mieux vaut faire ça ? (Il se pencha pour poser les lèvres sur la tendre courbe de son cou.) Ou ceci ?

Il la mordilla jusqu’au bord de son pull, savourant son parfum enivrant de jasmin.

— Ou peut-être cela ?

De la langue il remonta sur sa gorge en suivant une veine qui palpitait.

— Ça suffit, protesta-t-elle d’une voix mal assurée alors que ses joues s’empourpraient de désir.

— Loin de là, grommela-t-il.

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