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- C'est drôle. Dans tes autres réincarnations, t'étais pas si con.

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— Arrête ! dit-elle en le frappant une nouvelle fois au menton.

Il posa sa lèvre ensanglantée de l’autre côté de son cou.

— Non, mais ça va pas ?

Un nouveau coup faillit lui démonter la mâchoire. Mais il effleura la pointe de son oreille de sa joue. Chaque fois qu’elle le frappait, il répondait par un baiser ou une caresse.

— C’est censé me faire mal, Valkyrie ? Tu frappes comme une petite fille.

— Une petite fille ? s’exclama Regin en le frappant plusieurs fois dans le bas du dos, le poussant à sortir du bassin.

Jamais il n’avait été aussi heureux d’être battu. Bien sûr, il ne se serait peut-être pas autant réjoui si elle avait été en pleine possession de sa puissance de Valkyrie, et s’il n’avait pas été au bord de la fureur sacrée.

Quand il remonta sur la berge à reculons et trébucha, elle sortit à son tour et sauta à califourchon sur lui pour mieux lui boxer le visage.

Plutôt que de la repousser, il posa ses mains sur ses seins parfaits, émit un grognement en sentant leur poids dans le creux de ses paumes. C’était moelleux et doux. Les pointes de ses seins étaient dures… Malgré lui, il donna un coup de reins sous elle.

Elle chassa ses mains, et il ne protesta pas.

— Tu me chatouilles, Valkyrie, et j’ai l’impression que tu aimerais que je te chatouille en retour.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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- Pourquoi les lanceurs de charge n'ont-ils pas d'effet sur toi ? demanda Chase d'une voix monocorde.

[...]

- Chase, je me donne du plaisir avec des vibromasseurs plus puissants que tes pistolets électriques.

Pas de réaction.

- Tu as absorbé l'énergie dégagée par les lanceurs et tu l'as canalisée pour en user à ta guise. Comment peux-tu faire ça ?

- J'ai branlé un extraterrestre, il y a longtemps. Il avait la bite radioactive.

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— Un conseil, la sangsue : garde tes distances, ou je te transforme le cul en passoire.

Instinctivement, elle leva les bras pour prendre ses épées. Des épées qui ne pourraient jamais être remplacées. Elles avaient probablement disparu lors de l’effondrement de la prison.

Lothaire soupira.

— Regin l’Éloquente.

— Connard.

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La valkyrie haletait, sa poitrine se soulevant contre le torse de Chase. Ses lèvres étaient entrouvertes, charnues, attirantes.

- t'embrasser? Moi?

Il s'attendait à éprouver du dégoût, mais rien ne vint. Il se demandait juste comment elle réagirait. Gémirait-elle contre sa bouche?

- cela t'aidera à te souvenir de moi. Embrasse-moi. Allez, vas-y. Tu sais que tu as très envie de moi.

- jamais.

Éloigné-toi d'elle, bon dieu, éloigne-toi d'elle. Mais il avait besoin d'être ainsi sur elle, de la maîtriser, d'affirmer sa supériorité.

- jamais? Ton sexe vient de te traiter de menteur.

- petite salope.

Il se cala entre ses jambes, avec le désir de lui faire mal.

Dehors la foudre tomba. Regin ouvrit de grand yeux argentés.

- encore.

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— Je ne peux pas la laisser comme ça dehors. Pas toute seule.

Brandr secoua la tête.

— Une Valkyrie armée âgée de mille ans et au bord du pétage de plomb grand format ? Qui serait assez dingue pour vouloir aller la caresser à rebrousse-poil ?

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— C’est toi le chef, ici, alors ? J’ai vu que t’avais pris Lothaire. T’as carrément des couilles, de t’attaquer à un type pareil.

— As-tu des informations sur ce vampire ? Cela pourrait jouer en ta faveur.

— Tu veux faire de moi une balance ? Que je te révèle tout ce que je sais ? Plus je parle, mieux tu me traites, c’est ça ?

Il la fixait toujours, sans cacher son dégoût.

— Alors, tu vas en prendre plein les oreilles, je te préviens ! Lothaire ? Tout le monde trouve qu’il est plus chaud que le soleil qu’il ne verra jamais, mais moi, je ne vois vraiment pas pourquoi on dit ça.

Certaines de ses sœurs valkyries le décrivaient comme fascinant, quasiment ensorcelant.

— Je veux dire, OK, il a un corps de rêve – quand il n’est pas trop grillé –, mais c’est une sangsue, un parasite ! Ses iris sont presque rouges. D’après ce que les filles racontent, on ne sait jamais s’il va vous tuer ou vous embrasser. Et moi, c’est le genre de chose que j’aime bien savoir d’emblée, quand même… C’est important, non ?

Chase plissa les yeux.

— Soit dit en passant, moi, je les aime jeunes, un peu cons et bien membrés. Et Lothaire ne remplit qu’un de ces trois critères. En plus, c’est un vampire, et je méprise les vampires. C’est d’ailleurs un truc qu’on doit avoir en commun, toi et moi…

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« — Précisément. Elle aimait Aidan, dit Lothaire. Je l’ai connu, moi, Aidan le Fier. Aucun mortel n’aurait pu tuer autant de vampires de la Horde sans que j’entende parler de lui. Et je sais que c’était un Viking blond et courageux, considéré comme un dieu par bien des hommes. Les femmes le voulaient dans leur lit et les hommes voulaient lui ressembler. Il était un peu comme moi, finalement, soupira le vampire.

Puis il désigna Declan du menton.

— Tandis que là, on a un Irlandais avec des cheveux noir corbeau, le corps couvert de cicatrices, un caractère sournois et un cœur sec. Et qui réalise l’exploit d’être autant détesté par les mortels que par les immortels.

Bon, ça commence à bien faire, là… Mais Lothaire avait raison. Declan n’arrivait pas à la cheville d’Aidan, l’homme que Regin avait visiblement tant aimé.

Il éprouva une bouffée de haine pour cet homme, et ce n’était pas la première fois. Cette jalousie le dévorait. Même si je suis Aidan.

— J’ai un bien meilleur plan, dit Lothaire.

— Pourquoi vous l’aidez ? demanda Thad. Vous n’aidez jamais personne, d’habitude.

Lothaire soupira bruyamment.

— Je suis un incorrigible romantique.

Incorrigible romantique, mon cul. À quoi jouait Lothaire ? Qu’avait-il à gagner en l’aidant ?

Brandr ricana.

— La source millénaire du mal le plus pur qui se met à faire dans le conseil matrimonial ? Non, merci. »

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Quand Thad enfouit son visage dans son cou, posant ici et là ses lèvres entrouvertes, elle lui donna une petite tape sur l’arrière de la tête.

— Hé, joue pas les vampires avec moi, c’est pas le moment !

Il se redressa brusquement, les crocs pointus.

— Aaaaah ! Où suis-je ?

Regin regarda ses crocs, puis un peu plus bas.

— Bons dieux, mais t’es toujours au garde-à-vous, toi, c’est dingue ! Y a des toilettes, au fond. Va t’astiquer le jonc ou je sais pas quoi, mais fais quelque chose !

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Lothaire commençait à s’ennuyer ferme.

— Quand je serai libre, je crois que je t’arracherai la colonne vertébrale. Puis je te la tendrai l’air de rien, poliment, même, comme si j’attendais que tu fasses un commentaire dessus.

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