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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-05-01T09:17:08+02:00

Comme dans toute passion. La Russie a toujours aimé la France, la France, elle, ne l'a pas toujours aimée.

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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-05-01T09:16:43+02:00

On les sacrifia pour ce qu'ils représentaient, non ce qu'ils étaient. On apprit par la suite qu'ils avaient vécu un calvaire avant leur assassinat, subissant toutes sortes d'humiliations, ainsi qu'une grossièreté quotidienne. Les portes de la chambre des grandes-duchesses ôtées, les soldats y pénétraient à leur aise... Cent coups de feu furent tirés. On les a achevés à coups de baïonnette. Les corps dévêtus, les visages arrosés d'acide, brûlés, jetés dans une fosse...

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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-05-01T09:16:11+02:00

Elle aurait voulu être célèbre. Franchement, qui ne le voudrait pas?

Étancher sa soif de gloire, être reconnue pour mourir moins vite.

Besoin de séduire? Exister plutôt, exister dans le regard des autres, exister aux yeux du monde.

Combler son vide.

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Extrait ajouté par mlles007 2013-12-11T21:07:33+01:00

Elle fut aussi remarquable comme religieuse, que jadis, comme grande-duchesse.

En octobre 1918, l'armée blanche la retrouva au fond d'un puits de mine, ainsi que les grands-ducs Serge, Jean, Constantin, Igor et le jeune Vladimir Palay, fils du grand-duc Paul, poète talentueux et prometteur de dix-huit ans. Après avoir été assommés à coups de crosse, ils y avaient été précipités vivants ; les gardes rouges lancèrent encore des grenades.

Des paysans entendirent des gémissements et des chants religieux s'élever du puits. Oui, certains vivaient encore. Ils n'osèrent intervenir. La peur s'était insinuée en chacun, et allait longtemps imprégner l'âme russe.

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Extrait ajouté par mlles007 2013-12-11T21:07:22+01:00

Dès qu'elle fixait le regard de sa mère, elle se sentait coupable d'être là, de vivre.

Et soudain la douleur s'engouffre.

La tension martèle ses tempes.

La migraine monte.

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Extrait ajouté par mlles007 2013-12-11T21:07:10+01:00

La maison prenait l'humidité, en dépit de la chaleur extérieure.

A quoi s'attendait-elle?

A retrouver les parfums d'une enfance qu'elle ne regrettait pas? La maison, jadis, sentait le tabac. Les cigarettes de son père. Elle s'y était habituée. L'odeur s'était évaporée avec l'absence du père, et elle se surprit à renifler, à la rechercher. Sa quête fut vaine. Elle ne sentait que le renfermé. La maison se mourrait, elle aussi.

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Extrait ajouté par mlles007 2013-12-11T21:07:03+01:00

« De sa mère, elle se rappelait les injustices, le manque de tendresse et de réconfort dans ses moments de peine. »

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