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"- Combien d'enfants aimeriez-vous avoir ?
J'ai serré les bras autour de ma poitrine.
- Deux. Pour qu'ils ne soient jamais seuls comme je l'ai été.
- Un garçon et une fille ?
- Deux garçons. Je ne souhaite la vie de fille à personne."
Afficher en entierRien de tel que la mort pour passionner les vivants
Afficher en entierSon sourire n'était plus qu'un fin trait sur son visage, et elle a bougé nerveusement dans sa robe. Avec leurs visages pâles tournés vers moi, leur collerette blanche qui brillait au soleil, on aurait dit deux marguerites.
Afficher en entierIl n'y a pas vraiment de différence entre être fille ou épouse. La seule chose qui change, c'est l'homme qui donne les ordres.
Afficher en entierLes lois sont comme des toiles d'araignées ; les petites mouches s'y prennent, les grosses passent au travers.
Sir Francis Bacon
Afficher en entierMoi qui avait grandi dans une demeure en pierre noire sous un ciel gris, je me sentais à Gawthrope, avec ses couleurs riches et chaudes, comme perpétuellement sous le soleil levant, ses trois étages constellés de fenêtres lumineuses, scintillantes comme les joyaux de la couronne, et sa tour s'élançant en son milieu, plus comme une princesse qu'une simple maîtresse des lieux.
Afficher en entier— Je parie que vous n’avez peur de rien, ai-je lancé.
— Bien sûr que si, a-t-elle rétorqué en tirant sur un fil lâche de son tablier. J’ai peur des mensonges.
Afficher en entierIl n’y a pas vraiment de différence entre être fille ou épouse. La seule chose qui change, c’est l’homme qui donne les ordres.
— Vous avez sans doute raison. Mais vous auriez des enfants. C’est ce que toute femme désire, c’est notre dessein dans la vie.
Elle a baissé les yeux.
— Les enfants ne valent pas toute la peine que l’on se donne.
Afficher en entier« Les lois sont comme des toiles d’araignée ; les petites mouches s’y prennent, les grosses passent au travers. »
— Sir Francis Bacon
Afficher en entierJe me suis souvenue des mots d’Alice : j’ai peur des mensonges. Je comprenais ce qu’elle voulait dire, à présent : les mensonges avaient le pouvoir de détruire des vies, mais aussi d’en créer d’autres, comme en attestait le ventre de Judith qui poussait sur un tissu de mensonges.
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