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- Donc, si je récapitule, repris-je en combattant les palpitations qui menaçaient de me faire bégayer. Vous êtes en train de me dire que votre plan, c'était d'aller enquiquiner le petit-fils du vampire le plus puissant d'Europe ? Vous avez un penchant pour les suicides de groupe non consentis ?

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Sans honte aucune, je dois avouer que je ne gérais pas mes finances au mieux de mes capacités. Globalement, l'argent qui apparaissait dans mon porte-monnaie disparaissait sans que je ne le maîtrise dans une espèce de vortex constitué de sushis, de smooties et de chaussettes aux motifs amusants. Le cycle de la vie des billets et petites pièces, rien qui ne m'ait jamais vraiment inquiétée.

Jusqu'à ce jour.

C'était comme si l'âge adulte m'avait tendu une embuscade au coin de la rue pour me dépouiller.

- Cinquante-quatre euros, répétai-je en fixant le ticket de caisse.

- Francs, me corrigea l'agent Loan en ouvrant son portefeuille.

- Deux cafés, un chocolat chaud, un pain au chocolat et deux tranches de gâteau. Cinquante-quatre euros.

- Francs. Gardez la monnaie, sourit l'agent Loan en tendant l'équivalent de mon budget repas pour une semaine à la serveuse au chignon impeccable.

- On part avec les tasses, à ce prix-là ?

Je retournai le ticket, cherchant une explication à ce mystère. Avait-on souscrit sans s'en apercevoir à un service quelconque, en plus de nos consommations ?

- Finissez votre petit-déjeuner, Stagiaire Parmentier.

- Wooh wooh wooh, ne nous précipitons pas. Je me demande si je ne ferais pas mieux d'investir cette viennoiserie en bourse tous comptes faits.

- Vous voulez bien arrêter de faire le pitre ? Nous avons à faire.

Je soulevai le pain au chocolat et l'inspectai, à la recherche des pépites d'or font il devait être fourré. Rien. Je croquai dedans et grimaçait, déçue par la saveur de margarine. Qu'est-ce que c'était que cette arnaque, encore ?

- C'est bon me demanda Wolfgang qui avait observé mon manège.

- ça a le goût du capitalisme.

Il sourit.

Je ramassai chaque miette dans l'assiette et sur la table du bout de mon doigt mouillé.

[...]

Je terminai le café que Wolgang avait délaissé, et attrapai la part de gâteau picorée par l'agent Loan.

- Vous faites des provisions pour l'hiver ? se moqua ce dernier.

- Je gagne quatre cents euros par mois, lui rappelai-je. Alors non, je ne laisse pas cinquante euros comme ça dans la nature.

- Ce n'est pas vous qui avez payé.

- Question de principe.

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- Un peu de diversité ne fait pas de mal, répondis-je à l'agent Loan. La vie serait bien ennuyeuse si tout le monde portait des pantalons noirs et des chemises blanches, vous ne croyez pas ?

Il jeta un regard lourd sur ma robe décorée de cerises et mon Perfecyo bleu nuit brodé de coquillages.

- Je ne crois pas non.

- Vous êtes aussi amusant qu'un comptable.

- Hé ! s'exclama Wolfgang.

- Parce que vous êtes comptable ?

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Donc mon tuteur, sur qui je passais mes nerfs dès que l'occasion se présentait, n'était autre qu'un Spoiler(cliquez pour révéler)prince vampire, si j'extrapolais un peu ? Oh bon sang, je nageait en pleine romance. Le truc complètement improbable, avec une quatrièmede couverture du genre : "Elle était une goule, c'était un vampire, leur amour était maudit. Pourtant...

Spoiler(cliquez pour révéler)Mon crush imbécile se recroquevilla de gêne dans mon estomac. Déjà le simple fait que j'ai flashé sur l'agent Loan était ridicule. Maintenant que j'en apprenais plus sur lui, c'en devenais pathétique.

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- Vous... m'étouffer.

- C'est exactement ce que devait se dire votre ex, oui.

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« - Oh, mademoiselle Obsner ? Toutes mes excuses, je ne penser pas que vous seriez parmi nous.

- Pourquoi je serais pas là ? Il est con ou quoi?

- Pourquoi ? Transmis-je succinctement.

- Il est rare que les banshees s’investissent dans leurs agences.

- Mais qu’est-ce qu’il en sait, ce trou du c.. »

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- Mais grouillez-vous ! haranguai-je les trois hommes qui me rejoignaient à peine. On n'a pas que ça à faire.

- Vous allez bien Esther ? s'inquiéta Wolfgang.

- Ouvrez cette porte ! m'énervai-je en la lui désignant du doigt.

L'agent Loan fronça les sourcils et arracha le cadenas sans me quitter de ses lunettes.

- OK, souffla-t-il. Restez derrière m... hé !

Je le poussais et pénétrai la première dans le bâtiment.

- Pas le temps pour la coordination des montres. On est pressés, lançai-je en guise d'excuse.

- C'est la première fois que je vous vois aussi enthousiaste, grogna-t-il.

- On est dans une usine de saucisse. Bien sûr que je suis enthousiaste.

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Demain. Demain, je pourrais être malade, vomir, peler, éternuer. Mais ce soir, j'étais en mode ninja. Et les ninjas ne claquent pas des dents quand ils s'apprêtent à pénétrer chez leurs ennemis, que je sache.

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Roger en pyjama, c'était un spectacle. Un spectacle auquel j'aurais sans doute préféré ne jamais être conviée, parce que son pantalon peinait à contenir son ventre et ses fesses. Mais un spectacle tout de même.

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