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« Un rival. Lui. C’était inimaginable, et pourtant… Lucinda Barrett. Il appréciait sa compagnie, mais il y avait autre chose. Il avait désespérément besoin de sa présence, de sa sérénité, de son indépendance, de l’image qu’elle avait d’elle-même – elle représentait un tel espoir aux yeux d’un homme qui en manquait depuis si longtemps.

Il savait qu’il aurait dû garder ses distances, ne fût-ce que par égard pour elle. Il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir envie d’entrapercevoir le paradis, mais de là à vouloir attirer un ange dans son monde… S’il osait faire cela, ils s’enflammeraient et se consumeraient.

Non, elle ne les voyait pas autrement que des amis, et c’était ce qu’ils resteraient – dût-il en périr. Cela ne lui serait pas trop douloureux. Il était déjà mort depuis des années. »

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« — Nous cherchons donc à le rendre jaloux ? Ne pensez-vous pas qu’une telle tactique soit un peu prématurée ?

— Nous ne cherchons pas à titiller sa jalousie. Nous faisons en sorte qu’il voie en vous autre chose que la secrétaire de votre père. À ses yeux, vous devez être une dame entourée d’admirateurs.

D’admirateurs. Robert se plaçait-il dans cette catégorie ? Ou bien s’agissait-il seulement d’un remerciement de sa part pour les boutures de rosiers ? Lucinda concentra son regard sur les oreilles d’Isis. Peu importaient les motivations de son compagnon. Ils avaient passé un marché, voilà tout. 

— Qu’auriez-vous fait si j’avais décidé d’aller à Hyde Park plutôt que de sortir de Londres ?

— Je savais que vous ne le feriez pas.

— C’était bien présomptueux de votre part, répondit-elle en fronçant les sourcils. Comment pouviez-vous en être aussi certain ?

— Parce que vous êtes une personne attentionnée et que vous saviez que je détesterais aller à Hyde Park au beau milieu de la matinée. Mais, au cas où vous auriez malgré cela opté pour le parc, ajouta-t-il, son léger sourire resurgissant, je savais que la marquise d’Eaton, qui se trouve être la belle-sœur de lord Geoffrey, vient au parc avec son entourage tous les mardis et jeudis. C’était un plan de secours, cependant, car elle ne verra pas lord Geoffrey et la famille Newcombe avant après-demain soir.

— Vous êtes machiavélique ! Sachez néanmoins que je n’aime pas du tout Hyde Park, moi non plus. »

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Cela faisait trois ans qu il l observait derrière les barreaux de son enfer privé, et voilà qu ils s étaient parlé. Elle ne s en était pas aperçue, évidemment, mais elle l avait attiré un peu plus près de la lumière. Et désormais, tout semblait... différent.

Pour la première fois depuis trois ans, il s endormit sereinement, un doux sourire aux lèvres, au lieu de céder au sommeil dans la terreur, en se demandant s il reverrait la lumière du jour le lendemain.

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Il était chez lui. En Angleterre. À Londres. Personne n allait le priver de boire ou de manger, ni le battre comme plâtre parce qu il avait osé parler. Personne n avait plus fait cela depuis trois ans. Il était libre. Il était en sécurité.

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- Oh, c'est possible, en effet, répondit Evie en s'asseyant sur le canapé, lissant consciencieusement les plis de sa robe de mousseline jaune et rose tandis qu'un valet apportait le thé, puis repartait. Lucinda, tu seras peut-être surprise d'apprendre que je sais garder un secret mieux que n'importe laquelle de nos connaissances.

- Vraiment ? Pourquoi me dis-tu cela ?

- Laisse-moi te donner un exemple, répondit son amie en servant le thé. Te souviens-tu qu'à l'époque où je commençais à donner des leçons à Saint, il a disparu de Londres pendant toute une semaine ?

Lucinda s'assit face à Evie et prit une gorgée de thé, regrettant que ce ne soit pas du cognac ou quelque autre alcool fort.

- Oui, je m'en souviens.

- Eh bien, s'il avait disparu, c'est parce que je l'avais séquestré.

Lucinda, choquée, faillit recracher son thé sur le tapis persan du salon.

- Tu l'avais quoi ?

Evelyn eut un petit hochement de tête satisfait.

- Nous avions eu une dispute. Il m'avait annoncé son intention de faire démolir l'orphelinat que je m'efforçais de sauver, alors je l'ai enfermé pendant une semaine dans le sous-sol du bâtiment pour le faire changer d'avis.

Pendant un long moment, Lucinda ne put rien faire d'autre que contempler son amie, sidérée. Dire que Georgiana et elle étaient persuadées qu'Evie était la plus timorée des trois !

- Et le traitement a fonctionné, dit finalement cette dernière.

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- Que diable lui avez-vous donc fait ? demanda Tristan, arpentant le couloir devant la porte close de Robert.

- Je n'ai rien fait, répondit Georgiana, veillant à parler plus bas que son époux. Il a voulu tenter une chose pour laquelle il n'était pas prêt. Rien de plus.

- Mais...

- Baissez la voix, Tristan. Il n'a pas besoin de savoir que nous débattons de son cas.

- Il progressait, siffla Tristan.

- Il continue à progresser. Enfin, je crois, soupira-t-elle. Voilà près de deux semaines qu'il n'a pas eu une de ses... attaques.

Dare continua de marcher en silence un moment.

- Je sais ce que l'on fait aux femmes qui souffrent d'hystérie.

- Tristan, voyons Votre frère n'est pas une femme et il n'est pas hystérique.

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- Une journée n'est jamais complètement réussie tant qu'on ne me menace pas de me bannir d'un club, dit Tristan. Cette algarade m'incite cependant à me demander ce qui t'a poussé à vouloir déjeuner ici. Tu devais bien te douter que les gens se montreraient curieux.

- Qu'ils me dévisagent autant que cela leur chante, répondit Robert, à condition qu'ils gardent leurs distances. J'ai voulu déjeuner ici parce que j'en avais envie. Et si cette raison n'est pas suffisante...

- Elle l'est amplement. Et je pense qu'après ce qui vient de se produire, personne n'osera venir s'enquérir de ta santé, si cela peut te consoler.

- En effet.

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- Rob ! s'exclama Bradshaw en fendant la foule. Par mon ancre ! Que diable fais-tu ici ?

- « Par mon ancre » ? répéta Dare en gloussant. Te voilà bien nautique, Brad.

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Robert frappa le sol du poing. Qu'était-il censé faire ? Rester assis par terre et laisser Lucinda épouser quelqu'un d'autre sous prétexte que c'était une solution simple et satisfaisante ? Mais avec qui d'autre que Geoffrey aurait-elle bien pu se marier ? Lui ? Il ricana. Lui, se marier ? Et pas avec n'importe qui, avec Lucinda Guinevere Barrett ! Comme s'il avait pu envisager une telle chose, avec la corde de pendu qu'on lui avait pratiquement passée autour du cou pour haute trahison....Avant tout, il devait apporter la preuve de son innocence.

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** Extrait offert par Suzanne Enoch **

Chapter One

I never saw a man in so wretched a condition.

-- Robert Walton, Frankenstein

Fourteen months later

"No, I don't think you cheated, Evie, and I wish you'd stop saying it." Lucinda Barrett sent her friend an exasperated look as she settled deeper into the window seat.

"I know," Evie replied, "but I only intended on delivering lessons to a scoundrel. And now I've ended up married to him." With a scowl she rose, striding toward Lucinda's refuge and back again. "I mean, for heaven's sake, less than two months ago I was plain old dull Evie Ruddick, and now I'm the Marchioness of St. Aubyn. I can't even believe--"

"You were never plain or dull, Evie," Georgiana interrupted as she glided into the drawing room and signaled her butler to close the door behind her. "And as for apologizing, firstly I'm late for my own tea, and secondly I seem to have married the object of my lesson as well."

Lucinda grinned. "Neither of which is an offense for which you need to apologize, Georgie."

Smiling, Georgiana motioned Evie to a seat on the couch and sank carefully down beside her. "Perhaps, but a little over a year ago I would have shot anyone who even suggested I would marry Tristan Carroway. And now here I sit, Lady Dare -- and two months away from bringing yet another Carroway into the world."

Evelyn chuckled. "Perhaps it'll be a girl."

"That would only begin to even the odds against me." Georgie shifted, plainly uncomfortable. "I'll never understand how Tristan's mother could be brave enough to produce four more boys after the example he set. If not for his aunts, I should be completely outnumbered -- and they've abandoned me to take the waters at Bath."

"Speaking of the Carroway brothers," Lucinda said, knowing she was deliberately stalling, now that she'd finally decided to tell her friends about her own plans, "did I hear you say that Lieutenant Carroway is due back in London?"

"Yes. Bradshaw's ship should be in Brighton by the end of the week. He's hoping for a new assignment to the West Indies, of all places." Georgie narrowed her eyes. "Why do you want to know about Shaw? You've decided on him for your lesson, haven't you?"

"Good heavens, no." Lucinda's cheeks warmed. "Can you imagine my father's reaction if I began paying attention to a Navy man? Not that delivering a lesson means imminent marriage, of course."

Evie snorted. "The odds do seem fixed in that direction."

Georgie's gaze was more speculative. "Nor is that possibility something you should ignore." She sipped her tea, gazing at Lucinda over the rim of the cup like some all-seeing blonde-haired gypsy girl. "You have decided on a student."

"Oh, I knew it!" Evie seconded, applauding. "Who is the villain?"

Hesitating, Lucinda looked from one successful lesson deliverer and happily married friend to the other. What would they say if they knew she'd watched their maneuverings with a combination of interest and growing jealousy? Did they realize that since Evie had married St. Aubyn she'd been on the lookout for a student of her own? And not so much one in need of a lesson as one she wanted to marry. She sighed. Of course they realized it. They were her closest friends.

"Well, I have narrowed down the search," she hedged.

Yes, she'd narrowed it down -- to one.

"Tell us," Georgiana pressed. "This whole lesson thing was mostly your idea, anyway. No more delays, my dear."

"I know, I know. It's just --"

"And no excuses," Evie interrupted.

"Fine." Lucinda took a deep breath. "It's Lord Geoffrey Newcombe." She closed her mouth to wait and to watch.

Lord Geoffrey, the Duke of Fenley's fourth son, was quite possibly the most beautiful man she'd ever seen. Other ladies of the same opinion referred to him simply as "the Adonis." Curling golden hair, light green eyes, broad shoulders, and a smile that could charm a cobra --it was no wonder that women threw themselves at him with nearly calculated regularity.

And that was the problem. The choice was so obviously directed more toward matrimony than lesson giving. Dozens of more poorly behaved single gentlemen practically littered Mayfair, after all. John Talbott, for example. What did it matter if he only had one eyebrow that ran almost ear to ear? Or there was Phillip R --

"Lord Geoffrey," Georgiana said slowly. "He's a splendid choice."

"Yes," Evie seconded with her pixie smile. "I agree."

Relief made Lucinda's shoulders sag. "Thank you. I really have given this a great deal of thought. I mean, he's a war hero -- a fact of which my father would certainly approve -- and he's quite handsome, but at the same time he could definitely use a few lessons. He's arrogant and insensitive ... " She trailed off. "I'm being terribly obvious about why I chose him, I'm afraid."

"No, you're not," Evelyn countered. "You're being brilliant, as usual. I mean, how can you ignore the fact that Georgie and I both fell in love with and married our students? You have to take that into consideration."

Georgie was nodding. "Nor can you ignore the fact that you and your father are quite close, and that General Barrett would have to have some fondness for whomever you decided to take on as a student, whether you thought anything beyond your lessons might occur, or not."

"Exactly," Lucinda said, smiling at the effort her friends were willing to go through to justify her choice. "As far as I can tell, the general thinks highly of Lord Geoffrey socially, and I know he worries that I'll be left all alone when he hops the twig, as he puts it."

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