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“Je pris donc une nouvelle inspiration pour me calmer, observai ces deux femmes qui comptaient plus que tout pour moi et ma bouche prit à nouveau une décision avant que mon cerveau n’ait eu le temps de réagir.

— Mitch a un faible pour moi, j’ai un faible pour lui et je crois bien qu’on m’a échangée à la naissance, déclarai-je.

Roberta et LaTanya me dévisagèrent quelques secondes avant d’éclater de rire à l’unisson.”

.

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“— Pourquoi tu insistes autant ? demandai-je sèchement.

— À ton avis ? répliqua-t-il.

— Aucune idée.

— Se pourrait-il, Mara, que ce soit parce que, moi aussi, j’ai un faible pour toi ?

Je m’enfonçai dans le fauteuil, dévisageant Mitch, complètement médusée.

Puis je sentis ma carapace se refermer autour de mon cœur.

— La ferme, chuchotai-je.

Ses yeux examinèrent mon visage avant de capturer les miens.

— Putain, même ça, tu refuses de l’entendre.

— La ferme, soufflai-je.

— Que t’est-il arrivé ? 

— Mitch, la ferme.

Il posa à nouveau sa main contre ma mâchoire.

— Chérie, que t’est-il arrivé ? demanda-t-il avec douceur.

— La ferme.

Son pouce effleura ma joue à nouveau ; c’était si doux, si tendre. Puis il glissa les doigts dans mes cheveux.

— Est-ce que quelqu’un t’a fait du mal ?

Toujours aussi délicat.

Tellement beau.

— Je t’en prie, tais-toi.

— Chérie, qui t’a fait du mal ?

— La ferme.

Il glissa sa main derrière ma nuque et approcha son visage à deux centimètres du mien. Ses yeux expressifs étaient tout près. Très près.

— Qu’est-ce qu’on t’a fait ?

Ce fut à cet instant que je perdis le contrôle. Je ne pouvais pas en supporter davantage, pas quand il était si près de moi, avec sa voix grave et sa main si douce, avec ses yeux plongés dans les miens comme s’il pouvait lire dans mon âme.

Il fallait que ses questions cessent. Il fallait que je le fasse taire.

Et c’est ce que je fis. Je pris son visage entre mes mains pour le pencher vers moi tout en relevant légèrement la tête. J’inclinai doucement mon visage au dernier moment et plaquai violemment mes lèvres contre les siennes.

Aussitôt, ses bras se refermèrent fermement autour de moi et il m’attira contre lui. Il me souleva en se redressant ; j’étais collée à lui. Il pencha la tête, ouvrit la bouche, je fis de même et sa langue caressa la mienne. Je glissai mes mains de son visage à son cou. Mitch sentait bon, j’aimais sentir son corps contre le mien. Personne ne m’avait embrassée depuis bien trop longtemps. Destry et moi avions rompu un peu plus de deux ans auparavant. Depuis, je n’avais même pas eu un seul rencard, encore moins un amant et certainement pas de baiser.

Et celui-ci était vraiment génial. Pas parce que Mitch était un dix et demi qui embrassait une deux et demie, ce qui relevait du miracle. C’était purement et simplement un baiser génial. Mitch savait très bien ce qu’il faisait et j’aimais tout, absolument tout ce qu’il faisait. C’était sans doute la raison pour laquelle une de mes mains remonta le long de sa nuque pour se faufiler dans ses cheveux. J’avais vu juste : ils étaient doux. Et épais. Ils étaient aussi beaux qu’ils en avaient l’air.

Je me pressai contre lui, je voulais plus de lui, plus de baisers. Son bras autour de ma taille descendit encore un peu, s’enroula autour de ma hanche et, enfin, il m’attira vers lui. Je poussai un gémissement venu du fond de la gorge. Je glissai mon autre bras autour de lui et je sentis les muscles bien dessinés de son dos. J’adorais la sensation et me collai un peu plus à Mitch. Ma poitrine contre son torse, bassin contre bassin, sa langue mêlée à la mienne. Nous nous embrassâmes longuement, nos lèvres scellées, nos langues dansant à leur propre rythme, nos corps fermement enlacés, nos bras retenant l’autre. C’était le meilleur baiser de toute ma vie, peut-être même de l’histoire de l’humanité et j’aurais voulu qu’il dure toujours.”

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“— Si jamais tu sors encore une fois de ma bagnole alors que je suis pas encore complètement à l’arrêt, je te jure que je te fous une fessée, chérie. Tu piges ?

Ma poitrine se soulevait rapidement au rythme de ma respiration. Je ne voyais plus rien, ma vision était floue et je perdis aussi la faculté de réfléchir.

Ses deux mains, l’une sur ma hanche, l’autre sur mon ventre, donnèrent deux légères pressions. 

— Tu piges ? insista Mitch dans un souffle.

J’acquiesçai.

Deux nouvelles pressions sur ma hanche et mon ventre, puis je sentis littéralement ses lèvres frôler ma nuque quand il chuchota :

— Bien.

Il me relâcha enfin. Mon corps, se rendant soudain compte qu’il était libre, tenta de s’échapper. Je réussis à faire un pas avant qu’un bras solide ne se referme sur moi. Mon corps fit demi-tour sur lui-même et je me retrouvai face à face avec Mitch, son bassin collé contre le mien.

Son bras autour de ma taille, il glissa sa deuxième main dans mon cou.

— Bon, encore un ou deux trucs à mettre au clair, expliqua-t-il à voix basse.

Mon Dieu. Il était si proche. Il avait l’air sérieux, parlait à voix basse, mais adoptait aussi un ton autoritaire, ferme. Je savais déjà que c’était synonyme d’ennuis pour moi.

J’avais vu juste.

— Mitch, les enfants…

— Pour commencer, on les emmène au restaurant Chez Lola pour leur offrir un bon repas, déclara-t-il.”

Je battis des paupières.

Chez Lola ?

Chez Lola ?

C’était un super restaurant et leurs plats étaient fantastiques, mais les enfants n’étaient pas habitués à ce genre d’endroit. Sans être hyper chic, ce n’était pas non plus une chaîne de fast-food et les prix n’étaient pas donnés. Je n’avais pas vraiment demandé à Mitch de m’accompagner, mais puisqu’il semblait déterminé à venir, je pensais aller au mexicain le plus proche, prendre des plats à emporter et ramener les enfants chez eux. Après quoi, je me serais occupé de Bill, puis je serais rentrée chez moi, loin de Mitch.

Aller chez Lola signifiait s’asseoir à table, prendre son temps. Passer du temps avec Mitch. Mitch passerait du temps avec moi et les enfants.

Quel genre d’homme souhaiterait ça ? Des gosses qu’il ne connaissait pas et une femme qui, selon lui, vivait en faisant l’autruche ?

Peut-être était-il véritablement cinglé.

— Mais…, voulus-je protester.

— C’est moi qui paie, m’interrompit-il. Et ne t’avise pas d’ouvrir la bouche pour protester, sinon je vais être obligé de trouver un moyen de t’empêcher de parler. Et je choisirais un moyen qui ôtera à Billy le moindre doute quant à mes intentions envers toi.

Je restai bouche bée, les yeux écarquillés.

— Compris ? demanda-t-il.

Non. Oh que non. Pas le moins du monde. Absolument pas.

— Hm…, marmonnai-je.

— Oui ou non, ma belle.

— Euh…, bredouillai-je.

Il eut un petit sourire et je déglutis. Ma gorge se noua quand ses yeux se posèrent sur mes lèvres.

— « Hm » et « euh » ne sont pas des réponses acceptables, chérie, expliqua-t-il à voix basse.

— Mitch…

Son petit sourire s’élargit et je refermai la bouche d’un coup sec.

— Compris ! déclara-t-il.

Il me prit la main et m’entraîna vers les portes pour rejoindre les enfants : ils nous observaient, leurs expressions à l’opposé l’une de l’autre. Billie était heureuse, Billy pas du tout. Mitch nous mena à sa voiture. J’ouvris la portière pour Billy ; Mitch ouvrit celle de Billie et la hissa sur la banquette arrière. Billie pouffa de rire. Elle riait pour un rien. Mitch se glissa derrière le volant.

— Tout le monde est bien attaché ? demanda-t-il.

— Oui ! s’écria Billie.

— Oui, murmurai-je.

Billy ne répondit pas.

— Bray, Brent et Derek ne touchent jamais Tatie Mara de la façon dont, toi, tu la touches, déclara Billy d’un ton clairement accusateur.

— C’est vrai, admit Mitch. Tu es attaché ?

Aucune réponse. Je me tournai sur mon siège pour jeter un coup d’œil à Billy. Il me foudroya du regard.

Les bras croisés, il tourna son regard noir vers Mitch.

— Ouais, grogna-t-il.”

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Cependant, ce dernier me fichait la trouille, aussi, je faisais tout pour l’éviter au maximum.

Pourtant, chaque fois qu’il me voyait, son regard s’adoucissait et il souriait ensuite.

Comme en ce moment même.

Bon sang.

Ce sourire. Je le ressentais au creux du ventre. Je n’avais jamais vu des yeux aussi beaux que les siens. Quand il avait ce regard doux et que ses jolies lèvres esquissaient un sourire, c’en était presque trop. Quatre ans auparavant, lorsqu’il avait emménagé et que j’avais aperçu ce sourire pour la première fois, j’avais failli m’effondrer. Fort heureusement, depuis, je m’étais entraînée à garder le contrôle. Je ne faisais plus que vaciller légèrement.

— Bonjour ! me lança-t-il tandis que je les contournais.

Pas de chance. Non seulement ce type avait une bouche et des yeux magnifiques, mais il était aussi bien bâti, très grand et toujours superbement habillé. Il avait une voix superbe, grave et profonde.

— Bonjour, marmonnai-je.

Je jetai un coup d’œil à la Sept et demie qui l’accompagnait : celle-ci m’observait comme si j’étais une vermine sortie de son repaire. D’expérience, je savais que les sept à six jetaient parfois ce genre de regard à la clique des trois et moins.

— Bonjour, ajoutai-je à son intention, par pure courtoisie.

Elle m’adressa un vague coup de menton pour toute réponse, comme si ce simple effort lui en coûtait.

Puis j’observai mes pieds. Non seulement il fallait que je me concentre pour ne pas trébucher, mais en plus, si jamais j’apercevais à nouveau l’inspecteur Mitch Lawson, je risquais de me remettre à le dévisager. Et si cela durait trop longtemps, mes yeux allaient finir par sortir de leur orbite.”

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« — Est-ce que j’ai l’air d’un type qui ne sait pas ce qu’il veut ?

Non seulement il avait l’air de savoir parfaitement ce qu’il voulait, mais il agissait en conséquence. Parce que Mitch était un homme qui savait ce qu’il voulait.

— Non, chuchotai-je.

— OK, est-ce que j’ai l’air d’un type qui ne se rend pas compte qu’il vient de trouver ce qu’il a toujours cherché ?

Mon Dieu !

— Non, articulai-je, la poitrine en feu. »

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« J’avais du mal à la croire (surtout à propos de moi qui serais une Onze). Mais Mitch avait déchiré mon cocon et m’avait aidée à prendre mon envol ; j’étais donc (assez) convaincue d’être au moins un bon huit. »

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« Johnny Depp était canon, rien à redire, mais il ne tenait pas la comparaison avec Mitch. Trop mince, pas assez grand et ça m’aurait étonné qu’il prononce mon nom aussi joliment que Mitch. »

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Extrait ajouté par camille510 2017-11-16T15:50:40+01:00

love you, Bud,” he whispered to Billy and two more tears escaped.

“I love you too, Mitch,” Billy whispered back, my breath hitched and both males’ eyes came to me.

I waved my wineglass at them and murmured, “Don’t mind me. Have your moment.”

Mitch leaned back, letting Billy go and grinning at me. “Men don’t have moments.”

“You do,” I returned. “I’m witnessing one.”

“This isn’t a moment, honey, it’s a meeting of the minds,” Mitch contradicted me.

“It’s a moment, Mitch,” I contradicted him.

Mitch transferred his grin to Billy and asked, “Are we having a moment?”

Billy stared up at Mitch then he looked at me.

Then he answered, “Nope.”

Billy didn’t even know what a moment was. He was just agreeing with Mitch because Mitch was a guy and I was a girl who was crying.

I rolled my eyes, gave his hand another squeeze, let it go and then swiped at the wet on my face, muttering, “Whatever.”

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Extrait ajouté par camille510 2017-11-15T17:52:42+01:00

“Since I have your attention, baby, and I see you beatin’ your retreat, I want you to take this with you when you slide back into that cocoon. Straight up, Mara, I want you in my bed. And when you’re in my bed, I’m gonna be in you. And while I’m movin’ inside you, I’m gonna make you come with your long, f**kin’ legs wrapped around my back, when my hands are finally on that fantastic f**kin’ ass of yours, your tongue’s in my mouth and you’re kissin’ me as only you can kiss me. I know you got a way of twistin’ shit so it’s f**ked up in your brain so I’m hopin’ if I’m direct about just what I want from you, it might penetrate and you might keep it straight long enough to give us both what we’ve been wantin’ for a long, f**kin’ time.

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Extrait ajouté par camille510 2017-11-15T12:57:22+01:00

Can I have a kiss before coffee?” he asked.

“No,” I answered.

“After?” he asked.

“No,” I answered.

“Before you leave for work?”

“No.”

“When you come home?”

I put pressure on my hands on his chest and snapped, “No!”

“All right,” he surprisingly agreed and I jumped right on it.

“Good, let me go. I need coffee and to check on the kids.”

“No.”

My head tipped to the side. “Pardon?”

“No.”

“Mitch, let me go.”

“No.”

“Mitch!”

Suddenly his hand wasn’t massaging my neck. His fingers had shifted up, curled around my scalp, he tilted my head to the side and his mouth was on mine.

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