Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 915
Membres
1 014 274

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Ne reste pas là, tu veux, Connors? Tu la déstabilises.

Apercevant le com branché, il sourit de toutes ses dents.

- Salut, Peabody.

- Bonjour. (Elle avait du mal à déglutir.) Ravie de vous voir... je veux dire, comment allez-vous?

- Très bien, et vous?

- Hein?

- Connors, soupira Eve, arrête, tu veux? Ou j'éteins l'écran.

- Ce sera inutile, lieutenant, fit Peabody d'une voix altérée tandis que Connors glissait hors du champ. Seigneur, souffla-t-elle en adressant un sourire idiot à Eve.

- Calmez vos hormones, Peabody, et au rapport!

- Bien, chef.

Afficher en entier

Nue jusqu’à la taille, elle s’assit sur le lit et se débarrassa de ses chaussures. Elle lui lança un coup d’œil pour s’apercevoir qu’il restait planté là, les mains dans les poches, avec un sourire en coin. Elle haussa un sourcil.

— Alors, monsieur Mieux… qu’allez-vous faire avec votre femme sexy ?

Connors s’avança en se passant la langue sur les lèvres.

— Agir.

Elle eut à peine le temps de percevoir la lueur d’humour et de désir dans ses yeux avant que sa bouche ne se referme sur son sein.

— Traître !

Mais elle éclata de rire tout en saisissant sa tête à deux mains pour qu’il continue.

Afficher en entier

Connors se figea soudain.Puis il la saisit par les épaules.

-Quoi?

Le rire d’Ève s'éteignit.Il semblait bouleversé et ses yeux étaient sombres et féroces.

-Qu'y a-t-il?

-Tu ne le dis jamais.

Emu, il l'attira pour enfouir son visage dans sa chevelure.

-Tu ne le dis jamais, répéta-t-il.Que tu m'aimes...

Déconcertée à son tour, elle haussa les épaules.

-Mais si, je le dis. Ça doit m'arriver.

-Pas comme ça. Pas aussi spontanément. Pas dans des moments pareils.

Elle voulut protester mais elle comprit que c'était la vérité.Elle se sentait idiote.

-Je suis désolée.C'est dur pour moi.Je t'aime, dit-elle calmement.Parfois , ça me fait peur parce que tu es le premier.Et le seul.

Il la fixa dans les yeux.

-Tu as changé ma vie.Tu es ma vie .(ses lèvres frôlèrent les siennes)J'ai besoin de toi.

Afficher en entier

- Il était mauvais, celui-là.

Elle garda les yeux fermés, essayant de se concentrer sur Connors, sa force, sa présence rassurantes. Il était encore habillé et les lumières de la chambre à coucher étaient réglées au minimum.

Afficher en entier

- Seigneur, Dallas !

Oubliant son uniforme, Peabody l’étreignit.

- Vous m’avez fichu une trouille bleue.

Afficher en entier

- Tu l’aurais fait toi-même… si tu avais su comment t’y prendre.

Tandis qu’Eve fronçait les sourcils, l’émotion de Mavis se transforma en amusement :

- C’est vrai, quoi, Dallas. Avec toi, on aurait eu droit à des hot dogs au soja et à des pâtés de légumes ! C’est Connors le responsable de tout ça.

Afficher en entier

Dans le couloir, Eve s'affolait. La porte était verrouillée, Connors avait désactivé tous les codes d'accès. De même dans son bureau adjacent. Il avait aussi débranché tous les moniteurs. Elle n'avait aucun moyen de savoir ce qui se passait dans la pièce.

- Seigneur,il est entrain de le tuer !

Elle se mit à cogner sur la porte. En pure perte. Finalement, au bout de quelques minutes, le battant glissa. Elle se rua à l'intérieur. Tranquillement assis derrière le bureau, Connors fumait.

Le coeur serré, elle se tourna vers Jess. Il était pâle comme la mort,mais il respirait En fait, ses poumons sifflaient tel un climatiseur déréglé.

Connors leva le verre de cognac qu'il s'tétait servi.

- Il n'a pas une marque. Et je crois qu'il commence à comprendre ses erreurs.

Eve se pencha pour examiner les yeux de Jess. Il se tassa sur lui-même comme un chien battu. Le son qu'il émit était à peine humain.

- Que lui as-tu fait ?

- Beaucoup moins que ce qu'il méritait.

Afficher en entier

Je suis d'accord, jusqu'à un certain point, répondit Reeanna. Mais la marque du code génétique - ce qui nous prédispose au succès ou à l'échec, au bien ou au mal, si vous voulez - supplante tout le reste. Des monstres apparaissent aussi dans des familles les plus aimantes, les plus rassurantes. Et on trouve de la bonté et de la grandeur dans les bouges les plus sordides. Nous sommes ce que nous sommes, le reste, c'est de la littérature.

Afficher en entier

Trois semaines n’avaient pas changé Police Central. Le café était toujours immonde, le bruit insupportable…

Elle était heureuse d’être de retour.

Ses collègues s’étaient arrangés pour lui laisser un message. Son vieux copain Feeney, le sorcier de l’électronique, avait encore trafiqué le code d’entrée de son ordinateur :

BON RETOUR AU BERCAIL, LIEUTENANT FOLAMOR. BRAVO !

Afficher en entier

Le docteur s’appelait Wang et il était vieux, comme la plupart des médecins de l’espace. Il aurait pu prendre sa retraite à quatre-vingt-dix ans mais, comme beaucoup de ses confrères, il avait choisi de se balader d’un site à l’autre pour soigner les plaies et les blessures, le mal de l’espace, les troubles de l’équilibre dus à l’absence de gravitation et accoucher les femmes.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode