« Il faut dire que j’ai mis toutes les chances de mon côté et s’il faut que je déménage à Paris pour être avec elle, je le ferai. Quand ça la concerne, plus rien n’est rationnel et j’ai décidé de l’accepter sans me foutre le cerveau à l’envers. »

« — Je veux te voir tous les jours lever les yeux au ciel parce que je ne comprends rien à tes références cinématographiques, je veux manger des jackets potatoes chaque midi rien que pour être seul avec toi, je veux continuer à te parler de ma vie en haut d’une cabane en bois et surtout, Anaïs, surtout, je veux continuer à entendre tes éclats de rire et subir tes moqueries quand je suis trop bête et têtu. 
[…]
 — Tu veux aussi m’écouter chanter du Spice Girls ?
Il écarquille les yeux, ne s’attendant pas à cette question. Puis, il rit. Je ne sais pas si c’est de soulagement ou de ma blague pourrie, mais c’est un rire sincère qui me touche profondément.
— Du Spice Girls ou ce que tu veux d’autre, je m’en contrefous. Je veux t’aimer et je te veux dans ma vie, tous les jours, c’est tout ce qui m’importe. »

« — J’ai été un connard arrogant et suffisant, la plupart du temps dans ma vie, Anaïs. Mais je veux qu’il y ait une exception. Au moins une seule, tu m’entends ? Et c’est toi, cette exception. Juste toi. »

« Je veux être meilleur, juste pour elle.  »

«  Mais j’espère que le bébé aura tes yeux », ai-je ajouté.
« Ah oui ? »
« Ce sont les plus beaux yeux que j’aie jamais vus.  »

«  Le tunnel a fini par se terminer et j’ai vu la lumière. J’ai vu la lumière le jour où je t’ai rencontrée.  »

« Où que tu ailles, je veillerai sur toi.  »

« Puis elle se penche brusquement et presse ses lèvres sur ma joue. C’est un doux baiser, doux et tendre. Le genre de baiser qui dénoue les nœuds et qui fait briller la lumière dans les coins les plus sombres »

« — Papa.
La voix d'Amelia est chantante, douce et joyeuse.
— Est-ce que je peux avoir une petite sœur ?
— Tu dois poser cette question à ta maman, dit Levi avec un sourire grandissant.
— Alors ? demande Amelia, les yeux grands ouverts.
Le fait que Levi n'ait pas dit non signifie apparemment oui.
Mes yeux s'écarquillent.
— Est-ce que tu lui as dit de me demander si elle peut avoir une petite sœur ? demandé-je en pinçant Levi.
— Aïe ! s'exclame-t-il en riant, en me projetant de l'eau. Non !
— Elle n'a pas appris ça toute seule. Si tu veux un bébé, il te suffit de demander. »

« — Tu es millionnaire ? murmuré-je.
[…]
— Milliardaire, me corrige-t-il. »

« — Tiens, tu as installé des transats, ai-je noté.

En effet, six superbes chaises longues avaient pris place autour de la piscine. Il y avait aussi des coussins géants, les gros moelleux dans lesquels on peut buller ou même dormir.

— Tout ça n’était pas là, la dernière fois que je suis venue.

— Non, en effet. J’ai demandé à Alvin de me dégoter de quoi accueillir mes invités, en particulier ceux qui préfèrent s’installer près de la piscine plutôt qu’à table. 
Il avait investi là-dedans à cause de moi ?

Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. »

« — Je ne veux plus jamais que tu me fuies. Si tu recommences, je viendrai te rechercher quoi qu’il arrive. Je veux que tu te graves bien ça dans ta tête. En retour, je te promets de ne plus jamais te donner une seule raison de me fuir. »

« J’étais prêt à lui confier mon cœur pour l’éternité. »

« — Tu vas dormir avec moi, ai-je décrété sans lui laisser le temps de protester. […]

— Le lit est assez grand, Olive. Tu viens dormir avec moi, point.

— Bon. D’accord.

— Quoi, c’est tout ? Pas de contestation ?

— Eh bien, j’ai eu une sacrée trouille à cause de ta groupie, alors c’est le moins que tu puisses faire… pour me protéger, bien sûr. Donnnnnc… je ne serai pas fâchée de partager ton lit, j’avoue. »

« Après avoir boulotté deux de mes viennoiseries en plus des siennes, elle s’était assoupie contre moi.
Je n’avais pas bougé d’un millimètre pendant tout le reste du vol »

« — Bébé, tu mérites tout ce qui accroche ton regard. Je ferai en sorte que tu aies tout, même ce que tu n’oses pas demander.
— Alec, soufflé-je. Tout ce que je veux, c’est toi.
Il sourit et repousse mes cheveux du bout des doigts.
— Tu m’as déjà, Elena. Pour toujours. »

« — C’est… c’est bien assez, Alec. Je prendrai tout ce que tu m’offriras, et si c’est tout ce que je peux attendre de toi, ça me suffit. Tu me suffis. »

« — Tu n’as pas à faire semblant, Elena. Je suis ton mari et je ne suis pas toujours le meilleur pour communiquer, alors j’ai besoin que tu me dises ces choses. J’ai besoin que tu me dises quand je te blesse, quand je fais quelque chose de stupide. Je t’écouterai toujours, Elena, et je ferai toujours des efforts pour les choses qui sont en mon pouvoir. »

« — Je te donne tout ce que je peux, Elena. Tout ce que je suis. Tout ce qu’il reste de moi. »

« — Assurez-vous que ma femme ait tout ce dont elle a besoin. Donnez-lui les menus des repas en livraison également.
Alice hoche la tête, mais elle semble incrédule.
— Je… Vous allez la laisser dans votre bureau ? Seule ?
Elle semble clairement tenter d’être discrète, mais elle échoue lamentablement.
Alexander redresse sa cravate et opine.
— Vous étiez là le jour de notre mariage, non ? C’est ma femme. Que va-t-elle me voler ? Tout lui appartient déjà. »

« Elena est tout ce que je pensais vouloir, mais je me surprends désormais à vouloir lui donner tout ce qu’elle se refuse à demander. Je veux qu’elle se repose plus sur moi. Je veux qu’elle me demande de l’aide. Je veux qu’elle utilise toutes mes relations pour récupérer ce qu’elle a perdu.
Et c’est bien là le danger… Elena me donne envie de lui offrir le monde. »

"- Je suis amoureux de toi, Ophelia. Entièrement, éperdument amoureux de toi au point d'en devenir fou.
- Vraiment ?
- Vraiment.
- Moi aussi, je t'aime.
(...)
- Qu'est-ce que je vais faire de toi ?
- Tu m'as déjà posé la question.
- Tu as une réponse à me donner ?
Elle se mordit la lèvre inférieure.
- M'aimer pour l'éternité ?
(...)
- Ça ne devrait pas poser de problème.
J'étais certain que je n'aimerais jamais personne d'autre qu'elle. "

"Je ne la voudrais pas seulement dans cinq ans. Je la voudrais dans dix, vingt, trente, quarante ans. Jusqu'à mon dernier souffle, je la voulais à mes cotés.
Elle a toujours été la seule.
Aucune autre.
(...)
De toute ma vie, je n'avais jamais ressenti le besoin aussi écrasant d'être avec quelqu'un comme j'avais besoin d'être avec Ophélia. Je voulais rester avec elle toute ma vie"

Atticus

"- Tu es tellement belle que je ne peux pas détourner les yeux."

Atticus à Ophélia

"- Il faut que tu arrêtes d'être plus belle chaque fois que je te vois. Je ne pense pas pouvoir en supporter davantage.
(...)
- Tu vois; je savais qu'un charmeur se cachait quelque part en toi."

"- Je ne ferais jamais ça, tu sais, dis-je.
Atticus s'arrêta pour me regarder.
- Faire quoi ?
- Te tromper. Je sais que notre relation n'est pas conventionnelle, mais quand même. Je suis... à toi, dis-je en me sentant rougir.
[...]
- Tout comme je suis à toi."

Atticus et Ophelia