Commentaires

Mon deuxième de Bussi après les Nymphéas. Je n'ai pas été autant emportée par la lecture mais je trouve la psychologie très intéressante, ce travail sur le cerveau du petit enfant qui est comme de la pâte à modeler, dont les souvenirs sont éphémères. Je ne m'attendais pas à la fin non plus.

Histoire un peu farfelue d un jeune garçon, malone, qui dit au psychologue de l'école que sa mère n est pas sa mère.

Le psychologue en parle à une commissaire de police qui est déjà sur une autre affaire. Les deux histoires vont se rassembler pour ne plus en faire qu une.

Une fois encore, Michel Bussi nous emmène dans ces histoires. On y plonge, ce livre est très addictif. On mène nos enquêtes auprès des personnages, on veut savoir la vérité.

J'aime beaucoup la plume de l'auteur.

Les personnages sont attachants.

L'intrigue rythmée et pleine de rebondissements nous tient en halène jusqu'à la fin du roman.

Je conseille ce livre.

Mon tout premier Bussi.

J'avais beaucoup d'a priori sur cet auteur, et puis à force d'entendre des amis me dire que je me trompais, je me suis décidée à vérifier par moi-même.

C'est l'histoire d'un casse qui a mal tourné.

C'est l'histoire d'un enfant de 3 ans qui ne cesse de dire que sa maman n'est pas sa maman.

Toutes les nuits, son doudou Gouti, une sorte de rat, lui raconte sa vie d'avant, dans un chateau au bord de la mer, avec un bateau pirate tout noir et la forêt des ogres juste à côté.

Nuit après nuit, caché sous la couette, Gouti parle à Malone. Une histoire par jour de la semaine.

Malone ne se trompe jamais de jour, c'est la fusée qui le lui indique.

C'est très important, parce qu'à 3 ans, la mémoire s'efface très vite, alors Malone écoute jusqu'à connaître chaque détail par coeur.

C'est sa maman qui le lui a dit.

Personne ne le croit, hormis le psy scolaire qui va creuser pour essayer d'avoir le fin mot de l'histoire.

*

Pendant ce temps, la commandante Marianne Augresse et sa brigade sont sur la piste des rescapés, dont un grièvement blessé, de la fusillade ayant succédé au casse de plusieurs boutiques de luxe. Bijoux, sacs à main, etc.

Le butin se compte en millions.

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C'est un roman très rythmé que l'auteur nous propose. Jusqu'à la toute fin, on s'interroge, on s'intéresse, on est tenus en haleine.

Niveau suspense, j'ai été servie.

Les personnages sont tous intéressants, on s'attache ou pas.

J'aurais pu avoir un élan pour Marianne sans le bémol suivant.

C'est une femme intelligente, mais je me serais bien passée de ses fantasmes envers ses subordonnés et tout homme qui croise son chemin.

Franchement, ça m'a été pénible.

Attention spoiler, le bras droit de la commandante porte un caleçon Calvin Klein et on voit un bout de peau affriolant entre celui-ci et son tshirt.

Ces digressions sont récurrentes, et franchement, ça n'apporte rien au récit, du moins en ce qui me concerne.

J'ignore si l'auteur ajoute ce genre de chose dans chaque polar, mais si c'est le cas, je ne suis pas du tout la cible.

Je lirai Nymphéas noirs, considéré par beaucoup comme son meilleur roman et puis j'arrêterai parce que ma lecture en a été gâchée.

Imaginez mon long soupir agacé et mon regard qui a bien failli rester bloqué au plafond à chaque passage du genre.

Un retour en demi-teinte, mais je garde le positif quand même et ne regrette pas ma lecture.

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Un peu de temps pour rentrer vraiment dans l'histoire et quelques passages compliqués à comprendre..

Une tournure différente du livre permet de Vraiment rentrer dans l'histoire.

J'ai certainement eu tort de lire un roman de cet auteur. Dans "maman à tort" personnages caricaturaux à l'extrême, (la femme Commandant de la police est particulièrement chargée côté bécasse qui attend un mâle pour lui faire un bébé) et que dire des autres policiers ? le maintes fois divorcé.... Le bellâtre infidèle ? Côté voyous, c'est guère mieux ...

Reste le petit Malone, bien touchant, mais là non plus, on ne voit guère un enfant de trois ans agir comme il le fait, c'est totalement impossible.

Bref, une histoire d'enfant qui prétend que sa maman n'est pas la sienne, sur fond d'une histoire de braquage sanglant à résoudre. Dès le début, on se doute un peu de l'essentiel de l'histoire. A part les rebondissements qui font tourner en rond le lecteur pendant plusieurs centaines de pages pour arriver à 500 pages. Le format obligatoire à atteindre...

Encore un roman qui selon moi, dérape pour en mettre plein la vue au lecteur. Il débute plutôt bien avec une histoire intrigante, puis l'affaire se gâche au fur et à mesure à force de vouloir trop en faire avec des situations invraisemblables.. Un auteur que je ne vais plus lire.

Comme toujours avec Michel Bussi, on ne peut pas lâcher le livre avant de l'avoir fini !

La vérité est juste sous nos yeux mais magnifiquement camouflée pour qu'on ne la devine qu'au même moment que les enquêteurs !

Une intrigue intéressante, avec un bon suspense jusqu’à la fin sur certains points. Malheureusement j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de longueurs et qu’il était difficile de rentrer vraiment dans l’histoire. De plus je pense qu’il y a peut-être trop de personnages et de petites histoires cumulées ce qui rend la lecture parfois compliquée.

Finalement, malgré tout j’ai tout de même aimé l’histoire, je me suis accrochée

Dans ce roman Michel Bussi nous fait douter. Pourquoi un enfant de 3 ans raconterait que ses parents ne sont pas ses parents !

Un roman qui est un gigantesque conte de fée sous intrigue policière.

Très bon livre, je recommande.