Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 814
Membres
1 013 925

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

On s’embarque, dans la joie et l’enthousiasme, pour une Cythère de rêve et l’on arrive ici, à une île impitoyable où tout se brise ! Tel est l’amour, lieutenant : un leurre comparable à ces feux que les naufrageurs allument sur les côtes dangereuses et qui attirent le navire perdu sur les brisants où il s’éventrera. C’est le naufrage ! Et d’autant plus cruel qu’il se produit à l’instant précis où l’on croyait atteindre le port...

Afficher en entier

Quand donc apprendrez-vous que les hommes ont une vie à eux et entendent la vivre comme bon leur semble. Allons venez, ajouta-t-il plus doucement, je vous ramène chez vous ! Mais que Dieu me damne si je vous laisse encore seule avant que je ne le juge bon !

Afficher en entier

Ai-je rêvé ou bien avez-vous réellement fait allusion à des fers et à un sort comparable à celui d’animaux ? Mais je suis à peine surpris, Madame, de trouver en vous un si chaud partisan de la liberté ! C’est pourtant un mot que les femmes, en général, emploient peu dans votre monde. La plupart d’entre elles préfèrent... et même réclament, une certaine douce et tendre servitude ! Et tant pis si vous n’aimez pas ce mot-là ! Après tout, peut-être n’êtes-vous pas tout à fait une femme ! En revanche, vous êtes libre, Madame ! Tout à fait libre, on ne peut plus libre de tout gâcher, de tout détruire autour de vous, à commencer par votre vie et celle des autres !

Afficher en entier

Elle se retrouvait confrontée à sa propre réalité : une très jeune femme abandonnée, meurtrie et douloureuse, suppliciée par le besoin enfantin d’être aimée. La vie et les hommes la malmenaient, comme si elle était de taille à résister à leur méchanceté, à leur égoïsme. Tous ceux qui l’avaient aimée avaient tenté de l’asservir, de s’en rendre maître... sauf peut-être l’ombre ardente qui l’avait possédée dans la nuit de Corfou ! Celui-là n’avait rien demandé, qu’un plaisir qu’il avait rendu au centuple. Il avait été doux... si doux et si tendre à la fois ! Son corps s’en souvenait avec bonheur comme dans la torture de la soif et il s’était souvenu de toutes les eaux fraîches qu’il avait connues.

Afficher en entier

Marianne, Marianne ! Oublie tout cela... tout ce qui n’est pas nous ! Oublie Napoléon, oublie qu’il y a quelque part au monde un homme dont tu portes le nom, oublie comme je l’oublie moi-même que Pilar vit toujours, dans je ne sais quel coin caché de l’Espagne où elle a choisi de résider car elle me croit toujours au bagne et espère bien que j’y mourrai ! Il y a nous deux, rien que nous deux... et il y a la mer, là... tout près... à nos pieds !

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode