Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 072
Membres
1 015 053

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Les définitions limitent. Les limites tuent. Se limiter est une sorte de suicide. Limiter un autre est une sorte de meurtre. Limiter la poésie est un Hiroshima de l’esprit humain.

Afficher en entier

Le parquet de danse luisait de bave tandis qu’y boitaient, chancelaient, glissaient et ballottaient les orteils de crabe et les talons de poulet de plus d’une vingtaine d’organismes désaxés, déglingués et bancals, et que dans le rougeoiement des lanternes chinoises faites à la main, palais fendus, bec-de-lièvre, mâchoires décrochées, tics, convulsions, bouches écumantes, yeux égarés, narines dégoulinantes et crânes pointus se trémoussaient sur divers tempos inspirés par un disque de Guy Lombardo et les modèles cinétiques de ceux qui étaient sur la piste.

Afficher en entier

Mais les projets sont une chose et le destin une autre. Lorsqu’ils coïncident, c’est le succès. Mais il ne faut pas tenir le succès pour un absolu. On peut d’ailleurs se demander si le succès est une réaction adéquate à la vie. Le succès élimine autant d’options que l’échec.

Afficher en entier

Il y a beaucoup de choses qui valent la peine qu'on vive, peu de choses la peine qu'on meure, mais aucune la peine qu'on tue.

Afficher en entier

Pour la plupart des pauvres femmes abruties, lobotomisées, le mariage est l'expérience ultime. Pour les hommes, le mariage est une affaire d'efficacité logistique. L'homme est nourri, logé, blanchi, il a la télé, ... des rejetons et diverses petites gâteries, tout ça sous le même toit... Alors que pour la femme, le mariage est une reddition. Le mariage, c'est le moment où la fille renonce au combat, ... et à partir de là, abandonne tout ce qui compte, tout ce qui est vraiment intéressant, à son mari qui l'a marchandée en échange de la promesse de « s'occuper » d'elle... Si les femmes vivent plus longtemps que les hommes, c'est qu'en réalité, elles n'ont pas vraiment vécu.

Afficher en entier

C'est comme si les murs pleuraient. Comme si l'âme du continent pleurait.

Et pourquoi pleure-t-elle ? Elle pleure sur les os des bisons disparus, elle pleure sur la magie perdue, elle pleure sur les poètes déchus.

Elle pleure sur les Noirs qui pensent comme des Blancs.

Elle pleur sur les Indiens qui pensent comme des colons.

Elle pleure sur les enfants qui pensent comme des adultes.

Elle pleure sur les affranchis qui pensent comme des prisonniers.

Et pleure surtout sur les cow-girls qui pensent comme des cow-boys.

Afficher en entier

Pour vivre pleinement, on doit être libre, mais pour être libre, on doit renoncer à la sécurité. [...] C'est pourquoi j'encourage chacun à prendre des risques, à aller au -devant du danger, à accueillir l'angoisse, à narguer l'insécurité, à faire tanguer la coque et à toujours aller à rebours. En le poussant, en l'aiguillonnant chaque fois que c'est possible, nous arriverons peut-être à accélérer le processus par lequel le besoin de folâtrerie et de liberté deviendra plus fort que le besoin de confort et de sécurité.

Afficher en entier

La plus grande partie des maux que l'homme inflige à son milieu de vie, à ses semblables et à lui-même est due à l'envie.

La plus grande partie de l'envie (que ce soit de pouvoir, de biens, d'attention ou d'affection) est due à l'insécurité.

La plus grande partie de l'insécurité est due à la peur.

Et la plus grande partie de la peur est au fond une peur de la mort.

Afficher en entier

Il n'y a qu'une seule chose qui vaille mieux que le bonheur dans cette vie et c'est la liberté. Il est plus important d'être libre que d'être heureux.

Afficher en entier

La politique est pour les gens qui ont la passion de changer la vie, mais qui manquent de passion pour la vivre.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode